l'insertion scolaire des compétences en littératie médiatique / E-dossier de l'audiovisuel : L'éducation aux cultures de l'information Né le 14 janvier 1951 à Bruxelles, Thierry De Smedt est professeur à l’École de communication (Comu) et au Centre de recherche en communication (Recom) de l’Université catholique de Louvain (Belgique). Ses recherches, développées au sein du Groupe de recherche en médiation des savoirs (GReMS), portent sur l’appropriation sociale des technologies de l’information et de la communication. Il a suivi de près l’évolution de l’éducation aux médias, depuis son apparition, avec une attention particulière à l’évaluation des effets éducatifs des différents dispositifs mis en œuvre par les praticiens. L’article, issu d’une conférence donnée en séminaire à Paris le 12 février 2011 1 , présente une matrice à double entrée des nouvelles compétences en littératie médiatique, comme moyen d’évaluer les effets de l’éducation aux médias et comme guide dans la conception des matières enseignées à l’école. Nous obtenons ainsi trois objets médiatiques élémentaires selon la configuration suivante. 1. 2. 3.
Dominique Cardon | Sciences Po | MedialabSciences Po | Medialab Contact : Dominique.Cardon[AT]sciencespo.fr Dominique Cardon est directeur du Médialab de Sciences Po. Il a été chercheur au Laboratoire des usages (SENSE) d’Orange Labs et professeur associé à l’Université Paris Est/LATTS. Ses travaux ont d’abord porté sur les formes ordinaires d’expression dans les médias traditionnels : émissions « Les auditeurs ont la parole » de RTL, messages d’indignation pour l’abbé Pierre sur France Inter, Menie Grégoire, Téléthon, etc. Il s’est ensuite consacré à l’étude des usages des technologies de communication. Il a ainsi travaillé sur la visiophonie, les outils coopératifs, les transformations des situations de travail sous l’effet des technologies numériques, le télétravail et les relations entre sociabilités et pratiques culturelles.
CV HAL : Publications d'Alexandre Serres Number of documents Alexandre Serres est maître de conférences honoraire en Sciences de l'Information et de la Communication à l'Université Rennes 2. Il a été co-responsable de l'URFIST de Rennes, de 2002 à 2018. Ses recherches portent sur la question de l'évaluation de l'information, les cultures de l'information et la translittératie, la didactique de l'information et la formation des étudiants à la culture informationnelle, les évolutions de l'information scientifique. Liste des publications dans la fiche personnelle, sur le site de l'Université Rennes 2. Alexandre Serres. Eric Delamotte, Alexandre Serres, Vincent Liquète. Cédric Fluckiger, Eric Delamotte, Philippe Jeanne, Alexandre Serres, Marlène Loicq, et al.. Alexandre Serres. Ghislaine Filliatreau, Didier Chollet, Michèle Hadchouel, Catherine Labbé-Jullié, Marc Léger, et al.. Alexandre Serres. Alexandre Serres, Joachim Schöpfel, Hans Dillaerts. Alexandre Serres. Alexandre Serres.
Epistémologie de l'information A travers une démarche à la fois épistémologique et historique, il s’agit de familiariser les étudiants avec la complexité de quelques notions-clé des sciences de l’information et de la communication (information, communication, document…), de montrer leurs différentes acceptions, leurs typologies. Il s’agit également d’introduire quelques uns des grands modèles théoriques de l’information et de la communication, selon une partition entre modèles linéaires (Shannon, Lasswell, Jakobson) et non-linéaires (cybernétique, Ecole de Palo Alto). Les parties 5 à 9 visent une introduction aux enjeux, aux notions et aux problématiques des cultures de l'information. Plan : •Prologue •1/ Introduction : complexités •2/ Repères historiques: modèles et théories •3/ Approches de la notion d’information •4/ Du support au savoir *5/ Introduction à la culture de l’information *6/ Culture de l’information : acteurs, étapes.. *7/ Quelques questions vives *8/ Translittératie, cultures de l’information *9/ Conclusion
Translitteraties : le big bang de la lecture en ligne / E-dossier de l'audiovisuel : L'éducation aux cultures de l'information Alan Liu est professeur au Département d’anglais de l’Université de Californie, Santa Barbara, où il enseigne depuis 1988. Il est titulaire d’un Ph.D. de l’université de Stanford 1980 et il a enseigné au Département d’anglais et au Programme des British Studies de l’université de Yale de 1979 à 1987. Il est spécialisé dans la culture de l’information, les nouveaux médias, la théorie littéraire, les cultural studies, et l’art et la littérature britannique romantique. Il a publié Wordsworth: The Sense of History (Stanford Univ. Press, 1989), The Laws of Cool: Knowledge Work and the Culture of Information (Univ. of Chicago Press, 2004), et Local Transcendence: Essays on Postmodern Historicism and the Database (Univ. of Chicago Press, 2008). Nous assistons aujourd’hui à l’explosion de la lecture en ligne, sur tous les supports offerts par les nouvelles technologies. La lecture en ligne, à l’évidence, résulte d’une reconfiguration des médias de littératie. Cela survient en deux étapes. 1.
Patrick Eveno Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Patrick Eveno, né en 1947, est un universitaire français, spécialiste de l’histoire des médias. Biographie[modifier | modifier le code] Il est professeur agrégé au lycée Jean Renoir de Bondy jusqu’en 1990, puis à l’Université Paris X-Nanterre. En janvier 2013, il a été nommé par Aurélie Filippetti à la Commission de réflexion sur la réforme des aides à la presse[10]. Patrick Eveno a été rédacteur en chef de la revue semestrielle Le Temps des médias et secrétaire général de la Société pour l'histoire des médias de 2000 à 2007. Patrick Eveno était ami avec l'universitaire Jacques Marseille, dont il a partagé le bureau à la Sorbonne pendant douze ans[12]. Analyses[modifier | modifier le code] Il considère que les syndicats de journalistes, comme le Syndicat du livre CGT, « pensent à leurs intérêts corporatifs » et analysant les rigidités du syndicat face aux mutations de la presse évoque une « attitude suicidaire »[14].
Alexandre Serres Alexandre Serres est Maître de conférences en Sciences de l'Information et de la Communication, co-responsable de l'URFIST de Rennes, Université Rennes 2, Président de l'Association du Réseau des URFIST. Parlez-nous de vous… Qu'est-ce qui vous a amené à vous spécialiser dans les sciences de l'information et de la communication ? Quel chemin vous y a conduit ? Alexandre Serres : Je suis venu aux Sciences de l'information et de la communication « de l'intérieur » pour ainsi dire, plus exactement du monde de la documentation, l'un des domaines professionnels liés aux SIC. Le fait de travailler à l'université est un facteur décisif pour pouvoir mener en parallèle un travail de thèse, et j'ai pu commencer vraiment mes recherches à partir de 1996, sous la direction de Jean-Max Noyer. Les SIC sont vastes… Comment et où vous situez-vous ? Alexandre Serres : Il est vrai que les SIC sont très larges, très diverses. Dans votre domaine, sur quoi travaillez-vous plus précisément ? Serres, Alexandre.
Qu'est-ce que la "translittératie"? | Agence Nationale de la Recherche - Projet Translit La « translittératie » englobe les trois sens de l’Information = actualité (en relation au dispositif de la presse), Information = document (en relation aux médias numériques), Information = donnée (en relation aux usages sociaux, professionnels et cognitifs du Web). Dans cette perspective, le terme désigne donc l’ensemble des compétences d'interaction, mises en œuvre par les usagers sur tous les moyens d'information et de communication disponibles : oral, textuel, iconique, communicationnel, numérique, etc. Savoir lire, écrire, compter et naviguer Les technologies de l'information requièrent une nouvelle instruction de base. Les illettrés du virtuel risquent de nouvelles exclusions sociales. Comment relever ce défi ? Revue Quart Monde : Vous êtes parmi ceux qui considèrent la révolution de la communication et le développement d'Internet, « le cyberbang » dites-vous, comme une mutation de première importance. Comment définiriez-vous la nature de l'évolution en cours et où identifiez-vous les principaux risques d'exclusion ? Philippe Quéau : La question d'Internet aujourd'hui peut être comparée à celle de l'alphabet au temps de Jules Ferry. Je considère que le défi d'Internet et de tout ce qui est derrière cette technologie est du même ordre. En effet, la manière de se déplacer dans la virtualité des informations devient de plus en plus subtile, et maintenant, la manière de créer de la valeur passe de plus en plus par des formes sophistiquées. C'est une vision plutôt pessimiste. Il faut croire à l'effet amplificateur.
Serge Abiteboul Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Serge Abiteboul en 2016. Biographie et travaux[modifier | modifier le code] Responsabilités scientifiques[modifier | modifier le code] Il est nommé membre du Conseil national du numérique (CNNum) pour une durée de trois ans en janvier 2013[7]. Serge Abiteboul a été président du Conseil scientifique de la Société informatique de France[8]. Publications[modifier | modifier le code] Web Data Management, 2011, Cambridge University Press, avec Ioana Manolescu, Philippe Rigaux, Marie-Christine Rousset, et Pierre Senellart [9]Foundations of Databases, 1995, Pearson [10] avec Richard Hull et Victor VianuData on the Web, 1999, Morgan Kaufmann[11] avec Peter Buneman et Dan SuciuSciences des données : de la logique du premier ordre à la toile, Collège de France & Fayard (2012) [12]Le Temps des Algorithmes, Le Pommier (2017) [13] avec Gilles DowekTerra data, Le Pommier (2017) [14] avec Valérie Peugeot Écriture[modifier | modifier le code]