L’illettrisme, un tabou qui perdure Des journées nationales d’actions contre l’illettrisme s’organisent partout en France à du 8 au 13 septembre. Environ 7 % de la population active est concernée par ce fléau insuffisamment pris en compte, selon de nombreux spécialistes. Il y a ceux qui prétendent avoir oublié leurs lunettes pour éviter d’avoir à lire un panneau. Ceux qui n’ont jamais de stylo pour remplir immédiatement les formulaires administratifs. Ceux qui ont mis un collègue dans la confidence pour déléguer la rédaction des rapports et des courriels. Selon les dernières statistiques de l’Insee publiées en 2012, 7 % de la population est concernée. > Relire : L’illettrisme en recul chez les jeunes Tous, et c’est là la différence avec l’analphabétisme, ont bien été scolarisés en France. D’autres sont bien sortis de l’école avec des connaissances, mais faute de les mobiliser régulièrement, ont peu à peu « désappris ». « Illettrisme rime avec perte d’autonomie, résume Hugues Lenoir. Une majorité d’hommes
Savoir-faire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sur les autres projets Wikimedia : savoir-faire, sur le Wiktionnaire Le savoir-faire est la connaissance des moyens qui permettent l'accomplissement d'une tâche. Le terme équivalent anglais know-how est assez régulièrement utilisé, sans utilité particulière, dans la littérature technique et économique. Le savoir-faire est différent des autres savoirs comme la connaissance scientifique car il peut être directement appliqué à une tâche. Une des limitations du savoir-faire est sa dépendance à un travail ; ainsi il tend à être moins général que la connaissance. Un des avantages du savoir-faire est qu'il peut impliquer plus de dimensions, comme l'expérience manuelle, l'entrainement à résoudre des problèmes, la compréhension des limites d'une solution spécifique, etc. Les savoir-faire, les techniques et les matériaux traditionnels[modifier | modifier le code] Recherches et inventaires[modifier | modifier le code]
Qu'est-ce que la Connaissance ? Avant toute considération, il faut insister : toute connaissance de quoique ce soit est une représentation de la chose étudiée. Elle porte sur les manifestations de cette chose (elle est phénoménologique) et non sur la chose en soi (elle n'est pas nouménale). L'appréhension de l'en-soi de la chose ne relève pas de la connaissance rationnelle, mais d'une démarche intuitive d'une autre nature. Construire une connaissance d'une chose revient, ainsi, à construire une représentation adéquate de cette chose. Connaître une chose, c'est disposer d'une représentation de cette chose apte à rendre compte de toutes ses manifestations ultérieures. La connaissance est donc évolutive selon un balancement dialectique entre la représentation ancienne et les faits nouveaux. Dans ce qui précède, il est parlé de "la chose". Symétriquement, la connaissance que l'on a d'une chose, peut être holistique ou analytique. Pour connaître une chose, trois dimensions complémentaires sont indispensables. Mémoire.
Sous-traitance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La sous-traitance est un contrat par lequel une entreprise demande à une autre entreprise de réaliser une partie de sa production ou des entreprises auxquelles sont agréées certaines parties de travail. Le sous-traitant est différent du simple fournisseur car il fabrique un produit conçu par le commanditaire ou, souvent, en commun avec lui. Typologie de la sous-traitance[modifier | modifier le code] Il existe plusieurs types de sous-traitance :[1] Considérations juridiques[modifier | modifier le code] En France, la sous-traitance est régie par la loi no 75-1334 du 31 décembre 1975[2] qui définit la sous-traitance comme « l'opération par laquelle un entrepreneur confie par un sous-traité, et sous sa responsabilité, à une autre personne appelée sous-traitant l'exécution de tout ou partie du contrat d'entreprise ou d'une partie du marché public conclu avec le maître de l'ouvrage » : Considérations économiques[modifier | modifier le code]
« INTELLIGENCE » - Les Utopiales 2014 Après avoir exploré ses propres « Origines » en 2012 et laissé libre cours à sa passion pour les « Autres Mondes » en 2013, le Festival International de Science-Fiction de Nantes s’est lancé un nouveau défi pour l’année 2014 et vous a proposé la plus lointaine, la plus exaltante, la plus centrale de toutes les aventures : celle de l’intelligence. » Écrivains, scientifiques, artistes, réalisateurs et dessinateurs ont étudié ce thème en se concentrant sur quatre axes : Intelligences terriennes / Intelligences artificielles / Intelligences extraterrestres / Le cerveau humain.
Externalisation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'externalisation, sous-traitance ou impartition (Québec) désigne le transfert de tout ou partie d'une fonction d'une organisation (entreprise ou administration) vers un partenaire externe. Elle consiste très souvent en la sous-traitance des activités jugées non essentielles et non stratégiques : pour une entreprise, il s'agit de celles qui sont les moins productrices de revenus. Il s'agit d'un outil de gestion stratégique qui se traduit par la restructuration d’une entreprise au sein de sa sphère d’activités : ses compétences de base et son activité principale (core business en anglais). pilotage étroit par l'entreprise donneuse d'ordre ;engagement du prestataire externe. Le terme d’infogérance désigne quant à lui les services d'externalisation informatique proposés par des SSII. Le processus inverse, c'est-à-dire la reprise à l'interne de l'entreprise des activités externalisées est parfois observé. Selon P.
Créativité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Marina Bay Sands à Singapour. Sur les autres projets Wikimedia : créativité, sur le Wiktionnaire créatif, sur le Wiktionnaire originalité, sur le Wiktionnaire La créativité décrit — de façon générale — la capacité d'un individu ou d'un groupe à imaginer ou construire et mettre en œuvre un concept neuf, un objet nouveau ou à découvrir une solution originale à un problème. Opérationnellement, la créativité d'un individu ou d'un groupe est sa capacité à imaginer et produire (généralement sur commande en un court laps de temps ou dans des délais donnés), une grande quantité de solutions, d'idées ou de concepts permettant de réaliser de façon efficace puis efficiente et plus ou moins inattendue un effet ou une action donnée. Origine du mot[modifier | modifier le code] Le mot est un calque de l'américain « creativity », néologisme des années quarante, sans aucune connotation artistique. Adoption du mot en français[modifier | modifier le code]
Knowledge intensive business services Knowledge Intensive Business Services (commonly known as KIBS) are services and business operations heavily reliant on professional knowledge. They are mainly concerned with providing knowledge-intensive support for the business processes of other organizations. As a result, their employment structures are heavily weighted towards scientists, engineers, and other experts. The first discussion of KIBS to use the term seems to have been in a 1995 report to the European Commission "Knowledge-Intensive Business Services: Users, Carriers and Sources of Innovation" [1] In the decade since this appeared these sectors of the economy have continued to outperform most other sectors, and have accordingly attracted a good deal of research and policy attention. The European Monitoring Centre on Change (EMCC) has published online a number of reports and studies of KIBS. From NACE Division 72: Computer and related activities From NACE Division 73: Research and experimental development
Organisation apprenante Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une organisation apprenante est une organisation humaine (entreprise, administration, etc.) qui met en œuvre un ensemble de pratiques et de dispositions pour rester en phase avec son écosystème. Chaque entreprise peut être considérée comme un système vivant opérant au sein d'un écosystème. À l'intérieur de l'entreprise, comme dans un organisme multicellulaire, chaque membre est lui-même attentif à cet écosystème. Historique et origines[modifier | modifier le code] Né des travaux de Chris Argyris[1] et de Peter Senge[2], le concept et la pratique de l'organisation apprenante se sont développés tout au long des années 90 et 2000, la réflexion sur le « comment apprendre » faisant la suite des recherches de Jean Piaget[3] sur l'émergence de l'intelligence chez l'enfant, l'apprentissage par accommodation, par assimilation... Transposition pratique en termes de management[modifier | modifier le code] Elle s’appuie sur : ↑ Chris Argyris et Donald A.