1001 questions juridiques pour les professeurs documentalistes
Réponse : Bonjour,1°) Il est interdit par la loi de diffuser en public les cassettes vidéos ou D.V.D. achetés dans le commerce ou loués dans un vidéoclub ou encore empruntés dans une médiathèque ou faire des diffusions en utilisant le streaming. En effet le possesseur du support (achat dans le commerce, locataire de l'œuvre ou emprunteur) n'obtient que la possibilité de visionner le film uniquement dans le cadre du cercle de famille. Le club cinéma du collège ne rentre évidemment pas dans ce cadre là mais également un club sportif, une maison de retraite ou autres.
sans titre
Ni bien privé, ni bien public, un « commun » c’est : une ressource gérée par une communauté de partage qui s’auto-organise pour placer cette ressource en bien commun, en gérer les conditions d’accès, et pour la protéger contre les différents risques qui la menacent. Penser les communs du numérique c’est se donner le pouvoir de penser collectivement la culture numérique et la transmission des connaissances, se donner le droit de décider et d’agir socialement sur l’environnement informationnel de demain. Pour plus d’information sur cette notion lire : le blog Savoirs Com1 : « Politique des Biens communs de la connaissance » et le manifeste qui définit entre autres ce que sont les biens communs informationnels :"Biens communs qui peuvent être créés, échangés et manipulés sous forme d’information, et dont les outils de création et le traitement sont souvent eux-mêmes informationnels (logiciels).
LE DESIGN THINKING EN BIBLIOTHÈQUE
Un kit pratique pour la conception de projets centrés sur les usagers Le design thinking permet de résoudre de façon créative les défis quotidiens que l’on rencontre en bibliothèque. IDEO emploie depuis de nombreuses années cette méthode qui accorde une place centrale aux usagers pour imaginer des services, des espaces et des produits innovants. Cette approche a fait ses preuves dans de nombreux domaines, comme l’éducation, le commerce, l’économie solidaire ou la santé. Nous avons conçu ce kit spécifiquement pour les bibliothécaires et nous sommes impatients de découvrir ce que vous allez en faire !
Prof-doc : un nouveau cadre réglementaire [APDEN]
Intitulé du métier La circulaire n°2017-051 du 28 mars 2017 relative aux missions des professeurs documentalistes abroge la circulaire n° 86-123 du 13 mars 1986 définissant les missions des “personnels exerçant dans les CDI” (B.O. n°12 du 27 mars 1986) et instaure l’intitulé officiel du métier de “professeur documentaliste”, en lieu et place de tout autre, conformément aux dispositions statutaires du décret n°2014-940 du 20 août 2014 et de sa circulaire d’application, qui définissent désormais le statut des professeurs documentalistes au sein de dispositions communes à celles de leurs homologues des autres disciplines. Ainsi, nous vous conseillons de : Statut Le professeur documentaliste est, sans ambiguïté, un enseignant, en termes de droit professionnel.
Biens communs numériques
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Trois exemples de communs numériques Les biens communs numériques correspondent à l'ensemble des ressources numériques produites et gérées par une communauté. Comme les autres biens communs informationnels, ils se caractérisent par leur non-rivalité : leur utilisation n'est pas exclusive et elle ne leur inflige aucune détérioration. En raison de leur caractère facilement duplicable, les biens numériques sont, par nature, propres à une gestion partagée et collective[1]. De nombreux acteurs défendent le mode de production et de gouvernance dont ils relèvent, comme la Free Software Foundation œuvrant en faveur des logiciels libres ou la fondation Wikimédia par ses dispositifs collaboratifs centralisant et indexant la connaissance.
Transformer les bibliothèques en « Maisons des Communs » sur les territoires – – S.I.Lex –
J’ai plusieurs fois essayé sur ce blog de creuser la question des liens entre bibliothèques et Communs, voire d’essayer de repenser la bibliothèque en elle-même comme un Commun (voir ici, notamment). Or il se trouve que le mois dernier, j’ai été invité par la médiathèque Gilbert Dallet de Crolles dans le Grésivaudan à participer aux côtés de Lionel Dujol à un événement intitulé « Biens communs de la connaissance : un enjeu pour les bibliothèques« . J’ai souvent eu l’occasion de croiser Lionel Dujol ces dernières années et il s’agit d’un des membres de la première heure de SavoirsCom1, mais c’est la première fois que nous avions l’occasion d’intervenir tous les deux sur ce sujet lors d’une conférence publique.
Le droit d’auteur. Livre Ier – généralités
Les propriétaires du célèbre jeu vidéo Grand Theft Auto IV, sorti en 2008, viennent de retirer une cinquantaine de morceaux de musique de sa bande originale du fait de l’expiration de la cession de leurs droits. Cet événement qui modifie la personnalité de ce jeu et sans doute son attrait aux yeux des joueurs, relance la question du droit d’auteur à l’ère numérique. En effet, si au regard du Code de la propriété intellectuelle, le jeu vidéo est une « œuvre de l’esprit » à part entière, comment peut-elle être amputée d’une partie de ce qui la caractérise ?
Pour une économie politique des Communs
Les "Communs" reviennent en force dans le débat public. Avec une force qui mérite qu'on creuse un peu cette notion, même si elle devient l'un des buzzwords que la toile affectionne. Les "Communs" avaient été un peu oubliés depuis quelques décennies. Malgré les travaux essentiels de l’économiste Elinor Ostrom, qui lui avaient valu un prix de la banque de Suède en matière d'économie (le "prix Nobel" d'économie), la sentence de Garett Hardin sur la "tragédie des communs" semblait définitive, dans un monde simplifié par une vulgate néolibérale assez prompte à sauter sur des conclusions rapides. En matière de communs, le travail de l’économiste Elinor Ostrom est incontournable. Il est à l’origine de l’acception technique des biens communs, désignant d’abord une ressource rivale et non-exclusive, ce qui les distingue des biens publics, qui eux, sont non rivaux et non exclusifs.
L'ABF s'engage pour les communs des savoirs et l'accès ouvert à Internet -
En ouverture du Congrès annuel de l’ABF, Actualitté rapporte cette annonce : La Charte du droit fondamental des citoyens à accéder à l’information et les savoirs par les bibliothèques détaille, en 8 articles, les différents droits que les citoyens peuvent revendiquer, et que les bibliothèques s’efforcent de satisfaire. On trouve dans ce texte l’absence de censure, le libre accès à Internet, le partage de la culture et du savoir en bibliothèque, le respect de la vie privée et des données personnelles. Il se réfère explicitement aux communs de la connaissance et préconise largement l’emploi des licences libres et le respect du domaine public. Autant dire qu’il me semble en toute cohérence avec le Manifeste de SavoirsCom1 et je me réjouis que ces idées essaiment et se diffusent.
Droits et devoirs liés à la publication
Avec le développement des outils numériques, l’utilisation d’images, de photographies, de vidéos, et d’enregistrements audio s’est largement répandue dans la pratique professionnelle des enseignants. De plus en plus, nous assistons à leur publication au travers des sites de classe ou d’école, de blogs, de supports audiovisuels... Mais nous méconnaissons souvent les droits liés à cette utilisation.
Sur quoi reposent nos infrastructures numériques ? - OpenEdition Press
Aujourd’hui, la quasi-totalité des logiciels couramment utilisés sont tributaires de code dit « open source », créé et maintenu par des communautés composées de développeurs et d’autres talents. Ce code peut être repris, modifié et utilisé par n’importe qui, entreprise ou particulier, pour créer ses propres logiciels. Partagé, ce code constitue ainsi l’infrastructure numérique de la société d’aujourd’hui… dont les fondations menacent cependant de céder sous la demande ! En effet, dans un monde régi par la technologie, qu’il s’agisse des entreprises du Fortune 500, du Gouvernement, des grandes entreprises de logiciel ou des startups, nous sommes en train d’accroître la charge de ceux qui produisent et entretiennent cette infrastructure partagée. Or, comme ces communautés sont assez discrètes, les utilisateurs ont mis longtemps à en prendre conscience. Tout comme l’infrastructure matérielle, l’infrastructure numérique nécessite pourtant une maintenance et un entretien réguliers.
Apprendre à construire des personas - We Love Users
Qu’est-ce qu’un persona ? Définition Un persona est un archétype représentant un groupe de personnes dont les comportements, motivations et buts sont proches. Les personas sont utilisés en Design1, Ergonomie, Marketing, Informatique, etc. pour permettre au(x) concepteur(s) de déterminer ce que le produit ou service doit faire et comment il devrait fonctionner.