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Épistémologie

Épistémologie
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'épistémologie (du grec ancien ἐπιστήμη / epistếmê « connaissance, science » et λόγος / lógos « discours ») désigne soit le domaine de la philosophie des sciences qui étudie les sciences particulières, soit la théorie de la connaissance en général. Définition[modifier | modifier le code] L'épistémologie serait selon la « tradition philosophique francophone », une branche de la philosophie des sciences qui « étudie de manière critique la méthode scientifique, les formes logiques et modes d'inférence utilisés en science, de même que les principes, concepts fondamentaux, théories et résultats des diverses sciences, afin de déterminer leur origine logique, leur valeur et leur portée objective »[1]. Dans la tradition philosophique anglo-saxonne, l'épistémologie se confondrait avec la théorie de la connaissance, et ne porterait donc pas spécifiquement sur la connaissance scientifique. Qu’est ce que la connaissance (la question gnoséologique) ?

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Théosophie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Emblème de la société théosophique. Les cinq symboles visibles dans le sceau sont l'Étoile de David, l'Ânkh, la Sauvastika, l'Ouroboros et, au-dessus du sceau, le signe Aum. Autour du sceau sont écrits les mots : « Il n'y a pas de religion supérieure à la Vérité ». Le terme théosophie fait référence à un système philosophique ésotérique à travers lequel l'être humain tente de connaître « le Divin » et les mystères de la Vérité. La « théosophie antique » est à distinguer de la « théosophie moderne » ou « théosophisme »[1] se référant à la Société théosophique. histoire de la fantasy Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Si la fantasy en tant que genre, au sens moderne du terme, n'est apparue qu'au cours des derniers siècles, elle trouve ses origines bien au-delà : l'épopée, le surnaturel et le merveilleux ont participé à la littérature depuis le commencement. Des récits épiques du Moyen Âge et de la Renaissance, tels que le cycle du Graal, celui de Beowulf ou le Roland Furieux de l'Arioste, ont lentement évolué vers des récits plus ouvertement fantaisistes, très éloignés du contexte historique. Les récits de Lovecraft (L'Appel de Cthulhu, 1926) et de Robert E.

Logique épistémique La logique épistémique est une logique modale qui permet de raisonner à propos de la connaissance d'un ou plusieurs agents. Elle permet aussi de raisonner sur les connaissances des connaissances des autres agents etc. Son nom est tiré du nom grec epistḗmē qui signifie « connaissance » (du verbe epístamai « savoir »), d'où vient aussi le mot épistémologie. L'application de la logique épistémique à l'économie a été promue par Robert Aumann, Prix Nobel d'économie 2005. Historique[modifier | modifier le code] Qu’est-ce que la philosophie sociale ? – Les Carnets des Cahiers Philosophiques Qu’est-ce que la philosophie sociale ? Existe-t-il une philosophie sociale ? Apparue à la fin du XVIIIe siècle en France, la « philosophie sociale » a trouvé en Allemagne, dans la Sozialphilosophie, sous l’impulsion des travaux de Hegel et Marx, puis de l’Ecole de Franckfort, avec Habermas et Honneth, ses développements les plus connus.

Présentation de l'œuvre Ce chapitre présente la définition, les méthodes et les différents courants de l'épistémologie. Il est décomposé en parties: 2.1: L’épistémologie ou théorie de la connaissance: sa définition 2.2: L'épistémologie scientifique : ses conditions 2.3: L'épistémologie scientifique : ses méthodes (a) Méthode d'analyse directe (b) Méthode d'analyse formalisante (c) Méthodes d'analyse génétique 1. Méthode historico-critique 2. Chaque partie contient une présentation générale, suivie d'extraits de textes de Piaget… Pour accéder à chacune de ces parties, cliquer sur la flèche se trouvant à gauche du menu "Chapitre 1", puis sur le titre de la partie souhaitée… Haut de page

Arbre de Vie (Kabbale) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’Arbre de Vie (Etz haHa'yim עץ החיים en hébreu) représente symboliquement, dans la Kabbale, les lois de l'Univers (certains auteurs le rapprochent de l'arbre de la vie mentionné par la Genèse en 2:9). Sa description est considérée comme celle de la cosmogonie de la mystique kabbalistique. Certains commentateurs considèrent que l'Arbre de Vie est une adaptation hébraïque de symboles déjà présents au sein des peuples antiques, en effet, nous retrouvons en Égypte le sycomore sacré ainsi que le pilier Djed, jouant un rôle important dans l'ésotérisme égyptien. esquisse socialstory (sci_hum. ou droit) 1 Texte révisé d’une leçon donnée à l’Université de Genève, Groupe d’étude d’histoire moderne et cont (...) 1Depuis l’époque des penseurs Grecs, la notion de preuve demeure au centre de la réflexion des épistémologues et des historiens des sciences. Des nombreux livres en retracent l’historique, informent sur les problématiques du passé et du présent, d’Aristote à Wittgenstein, de Kuhn à Stich.

Ontologie Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Sur les autres projets Wikimedia : ontologie, sur le Wiktionnaire Ontologie est un terme d'origine philosophique. Il est composé d’onto-, tiré du grec ancien ὤν (ôn, ontos) « étant, ce qui est » et de -logia, tiré du grec ancien λόγος (logos) « discours, traité », ainsi formulé : « l'étude de l'être ». D'origine philosophique, on retrouve ce terme utilisé dans d'autres domaines.

Philosophie sociale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. D'après Franck Fischbach[1] reprenant Axel Honneth [2], la philosophie sociale naît en France sous l'impulsion de Jean-Jacques Rousseau, Claude Henri de Rouvroy de Saint-Simon et Auguste Comte. Elle est reprise par les Jeunes hégéliens, disparaît en France et prolifère en Allemagne, se divisant en plusieurs écoles : la principale est la théorie critique de la société fondée et représentée par l'École de Francfort (Max Horkheimer, Theodor Adorno, Herbert Marcuse), mais d'autres courants de la philosophie sociale existent, représentés par le néo-kantisme en Allemagne (Rudolf Stammler, Karl Vorländer, Ludwig Stein, Paul Natorp) ou par le pragmatisme aux États-Unis (en particulier John Dewey). L'un des chercheurs actuels les plus éminents en philosophie sociale est Axel Honneth. L'expression est également utilisée par Jürgen Habermas, par exemple dans son ouvrage La technique et la science comme « idéologie ».

Dossier thématique n°39 "Organisation des connaissances : épistémologie, approches théoriques et méthodologiques" Appel à articles « Organisation des connaissances : epistémologie, approches théoriques et méthodologiques » Numéro coordonné par Michèle Hudon, Ph.D., Professeure agrégée, EBSI, Université de Montréal, Canada et Widad Mustafa El Hadi, Professeur, UFR IDIST, labo. GERiiCO, Université de Lille 3 Thème 1 J. Anātman Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Anattā est souvent exposé selon la formule « Chaque chose est sans soi. ». C'est l'une des trois caractéristiques. Tandis que les deux premières caractéristiques, dukkha (ou l'insatisfaction en pāli, duḥkha en sanskrit) et anicca (ou l'impermanence en pāli, anitya en sanskrit) ne s'appliquent qu'aux phénomènes conditionnés, anatta s'applique à toutes choses, y compris en dehors du saṃsāra : le nirvāṇa (l'« Extinction » du cycle des réincarnations) est également vide d'essence.

Rupture épistémologique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La rupture épistémologique désigne, dans l’approche de la connaissance, le passage qui permet de connaître réellement en rejetant certaines connaissances antérieures qu’il serait nécessaire de détruire pour que se révèle la connaissance nouvelle. Dans cette perspective, l’obstacle épistémologique que peut constituer le savoir du passé, bien que naturel, ainsi que le « sens commun », devraient être franchis afin qu'une « vraie science » apparaisse. Cette notion, forgée par Gaston Bachelard[1] dans son ouvrage La Formation de l'esprit scientifique, est centrale dans les domaines des sciences et des techniques. Louis Althusser[2] l'utilise également dans les sciences humaines et sociales.

Quelques problèmes pratiques de la sociologie en crise et les difficultés de la crise. Il faut alors se demander si, dans ces circonstances, les chercheurs en sciences sociales agissent en tant que tels, ou comme de simples citoyens, s'Us sont neutres ou s'Us ne le sont pas. Il n'est pas possible d'établir une telle différence. Ce sujet, à savoir celui de l'objectivité et de la neutraUté, est si abondamment traité qu'il paraît inutile de s'y consacrer à nouveau. Ceux qui auraient encore des doutes sur ce point peuvent puiser dans les innombrables sources publiées dans toutes les langues : il s'agit déjà d'une question de culture générale et de connaissance historique. Même en ne considérant pas cette participation involontaire dans les crises qui, comme le disait Hans Freyer, amène la sociologie à demeurer une autoconscience scientifique de la société — son expression inteUectuelle sournoise — reste à savoir si les sociologues agissent avec d'autres groupes de participants, pour Ulustrer et orienter ce processus décisif et irréversible.

Quatre nobles vérités Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La première noble vérité : Dukkha[modifier | modifier le code] La première noble vérité est que l'existence conditionnée, l'existence que nous connaissons, est imbue de souffrances : la naissance est une souffrance, la vieillesse est une souffrance, la maladie est une souffrance, la mort est une souffrance, être uni à ce que l'on n'aime pas est une souffrance, être séparé de ce que l'on aime est une souffrance - et, finalement, les cinq agrégats (skandhas) d'attachement (à savoir la forme, la sensation, la perception, la volonté et la conscience) sont aussi des souffrances. Ce terme de souffrance est aussi traduit par l'insatisfaction, puisque ce qu'il désigne est bien au-delà de la douleur physique. Le mot « dukkha » (duḥkha en sanskrit) est souvent traduit par « souffrance » ou « douleur »[3], ce qui est réducteur. La deuxième noble vérité : Samudaya[modifier | modifier le code]

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