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reportage 1 (vidéo) document 9 - Le textile, une affaire de famille pour les Denis Cet article date de plus de quatre ans. Publié le 30/10/2016 15:28 Mis à jour le 30/10/2016 16:10 Durée de la vidéo : 3 min. Article rédigé par France 2 vous emmène ce 30 octobre en Mayenne à la rencontre de la famille Denis. reportage 2 (vidéo) document 9 - Le parcours hors du commun de Mohed Altrad, meilleur patron du monde Cet article date de plus de six ans. Publié le 08/06/2015 21:52 Durée de la vidéo : 2 min. Article rédigé par Cet homme d'affaires français a reçu le prix mondial de l'entrepreneur de l'année. Du désert syrien à la consécration, France 2 retrace son histoire.
Les familles en 2020 : 25 % de familles monoparentales, 21 % de familles nombreuses - Insee Focus - 249 Une famille sur quatre est monoparentale En 2020, 8,0 millions de familles hébergent au moins un enfant mineur. 66 % des familles sont « traditionnelles » (soit 5,3 millions de familles où tous les enfants résidant dans le logement sont ceux du couple), 25 % sont monoparentales (soit 2,0 millions de familles où les enfants résident avec un seul parent, sans conjoint cohabitant) et 9 % sont recomposées (soit 717 000 familles où il y a dans le logement un couple et au moins un enfant né avant l’union) (figure 1a). Entre 2011 et 2020, la part des familles « traditionnelles » diminue (– 3 points), alors que celle des familles monoparentales croît (+ 3 points) (figure 1b).
Les mots de la mobilité Nommer ceux qui passent d’une classe sociale à une autre a longtemps été et demeure encore un objet de débat en sciences sociales. Les propositions ne manquent pas : « miraculés », « déclassés par le haut », « déracinés », « boursiers », « névrosés de classes », « migrants de classe », « autodidactes », « déplacés », « transfuges de classe », « self-made men », etc. En fonction du terme retenu, c’est une dimension particulière qui est mise en avant. Certains insistent sur l’exceptionnalité de l’évitement des « lois » sociologiques de la reproduction sociale quand d’autres, par leurs connotations populistes, évoquent l’idée du paradis perdu de la solidarité ouvrière. D’autres encore insistent sur les coûts psychologiques liés au franchissement des frontières sociales.
Les socialisations Notre rapport aux autres, dont découlent nos interactions sociales, est au cœur de notre vie en société. Cet environnement social façonne la personnalité de chaque individu, influence ses comportements et représentations du monde, et contribue à lui donner une place dans la société, sans jamais être parfaitement déterminant. Pour comprendre le lien qui relie l'individu à la société, les sociologues ont introduit le concept de socialisation, qui désigne l'ensemble des processus par lesquels les individus font l'apprentissage des normes, valeurs, rôles sociaux, et plus largement de traits culturels qui organisent la vie sociale. Ils ont cherché à analyser son rôle et ses mécanismes à travers différentes approches théoriques.
« Changer de classe sociale, c’est avoir le cul entre deux chaises », estime Adrien Naselli Leurs parents sont ouvriers, aides-soignants, vendeurs. Eux sont cadres, professions libérales ou députés. Les transfuges de classe « ont déjoué les statistiques bien connues de la reproduction sociale », écrit Adrien Naselli dans son ouvrage Et tes parents, ils font quoi ?, qui parait ce mercredi en librairie. « En obtenant leur bac, ces bons élèves ont déjà explosé le plafond de verre social de leur famille », décrit l’auteur, qui a connu cette même ascension sociale. Son père était conducteur de bus, sa mère secrétaire, et Adrien Naselli a été admis à l’ENS d’Ulm, à Paris, avant de devenir journaliste.
Le paradoxe des « transclasses », héros malgré eux « La sociologie est un sport de combat », disait Pierre Bourdieu. Parfois elle vous sauve la vie en permettant de mettre des mots sur des maux. C’est ainsi que Nesrine Slaoui, journaliste de 27 ans, explique la raison d’être de son roman autobiographique Illégitimes (Fayard, 198 pages, 18 euros), paru en janvier. Elle y raconte sa trajectoire familiale, sociale et scolaire.
« La question du partage de l’espace public, c’est celle de l’égale valeur entre les filles et les garçons » A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, Le Monde a choisi de traiter la question des inégalités femmes-hommes en analysant leurs places respectives dans l’espace public. Avec l’association Genre et ville et l’Arobe (Atelier recherche observatoire égalité), Edith Maruéjouls accompagne des collectivités pour promouvoir l’égalité. Monique : Mon petit garçon de 8 ans adore jouer à l’élastique mais il me dit que, dans la cour, tous ses copains se moquent de lui et que c’est un jeu de filles. Comment lutter contre ces clichés qui s’installent dès l’enfance ? Il faut lutter contre les stéréotypes sexués et interroger ce dont on se moque.