Baisse de la concentration : Le top 5 qui explique pourquoi tu ne lis plus que des tops 5 – NEON Mal du siècle ou complot marketing ? Il est devenu impossible de se concentrer plus de deux minutes. NEON vous explique la crise de l’attention (sous forme de top et avec des GIF, pour que ce soit plus facile à lire). Je débute ma lecture de “Contact”, la démonstration sur notre “crise de l’attention” du philosophe américain Matthew B. Crawford. Au bout de sept lignes, mon téléphone vibre. C’est l’histoire qui le dit “Bien qu’il s’agisse avant tout d’une faculté individuelle, il est clair que le problème de l’attention est aussi désormais un grave problème collectif de la vie moderne.” C’est la science qui le dit Unanimité des experts : le “multitasking” si prisé du management moderne est une arnaque. C’est le marketing qui le dit Vous êtes toujours en train de lire cet article ? C’est l’époque qui le veut Combien de fois ai-je entendu la réflexion d’un ancêtre “mais lâche un peu ton machin”. C’est la philo qui le dit Et maintenant, le quiz vicieux : as tu lu attentivement cet article ?
Il n'est jamais trop tard pour s'y mettre ! - Cog'Innov A 55 ans, Philippe a retrouvé du temps pour lui, depuis que ses enfants ont quitté la maison. Pourquoi n’apprendrait-il pas enfin le piano, comme il en a toujours rêvé ? Mais à 55 ans, se dit-il, je ne suis plus capable d’apprendre, je suis trop vieux et mon cerveau n’est plus aussi performant qu’à 20 ans… Nathalie, elle, a 30 ans. Ce sentiment d’être trop vieux pour apprendre quoique ce soit de nouveau, beaucoup de personnes éprouvent. Apprendre, c’est en réalité l’activité de toute une vie. Des connexions entre les neurones renforcées ou diminuées L’apprentissage est un processus cognitif dynamique qui se déroule en deux étapes : l’acquisition d’une nouvelle information et son stockage en mémoire. Parfois, la dynamique de nos apprentissages conduit purement et simplement à l’élimination de certaines connexions neuronales qui n’ont plus lieu d’être au profit d’autres connexions plus « utiles ». Une dynamique qui change la structure de notre cerveau Alice Latimier Edition Marie Lacroix
Le cerveau humain ne résiste pas aux ragots Chroniques d’experts Management Le 24/04/2014 Parce qu’ils influencent notre perception des autres, les commérages mettent sévèrement en danger les organisations. Par l’intermédiaire de l’un des personnages de « La comédie des méprises », William Shakespeare a formulé une notion psychologique très importante : « Les mauvaises actions sont doublées par les mauvaises paroles. » Les mots agissent comme des multiplicateurs : ils sont puissants. Le ragot consiste à colporter un jugement sur une personne absente. Les informations nouvelles sont jugées « vraies » a priori On retrouve des propos similaires dans le Coran, tandis que Confucius aurait dit dans « Les entretiens » : « Répéter en chemin à tous les passants ce que l’on a appris de bon en chemin, c’est jeter la vertu au vent. » La même idée apparaît dans les écrits des anciens philosophes stoïques et dans les livres modernes de développement personnel. Notre mémoire nous joue des tours Le cerveau a tendance à réaffirmer nos certitudes
Neuroeducation Will Lead to Big Breakthroughs in Learning In recent decades we’ve seen the rise of an emerging interdisciplinary field that brings together neuroscientists and educators. As technologies like brain mapping and scanning continue to advance our understanding of the human brain, a sub-sector of experts are applying those findings to the classroom. Instead of being based on traditional or individual assumptions about learning, education is beginning to be treated more like a science. The new discipline, neuroeducation, serves to apply the scientific method to curricula design and teaching strategies. This comes with attempts for a more objective understanding of learning that is based on evidence. What Is Neuroeducation? All human abilities, including learning, are a result of our brain activity. As we continue to unravel the issues and limitations of traditional education, many solutions involve a better scientific basis behind how we teach. Key Findings There have been many ongoing trends and findings in the field.
Apprendre ses cours, une compétence qui s’enseigne Dès la sixième, les élèves sont appelés à « apprendre leurs leçons » de manière autonome. Quelques stratégies didactiques maintenant connues peuvent les guider, surtout au début, dans cet apprentissage : la rédaction par les élèves eux-mêmes d’une synthèse en fin de cours qui récapitule l’essentiel à retenir ; la mise en évidence, dans le cours, des éléments essentiels ; l’explicitation des attendus pour l’évaluation, en sont quelques exemples. Ces stratégies sont indéniablement efficaces. Néanmoins, la démarche que nous expérimentons ici en classe de sixième s’est révélée particulièrement intéressante pour amener les élèves à être autonomes dans les deux compétences clés mises en œuvre pour l’apprentissage des leçons, à savoir l’identification des éléments essentiels à retenir du cours puis leur mémorisation. Dans la mesure où il est transférable à tous les niveaux et toutes les disciplines, ce travail est particulièrement indiqué dans le cadre de l’accompagnement personnalisé.
Enquête anthropologique sur les neurosciences cognitives Dans une enquête qui fera date, l’auteur de La Fatigue d’être soi reconstitue les conditions sociologiques qui ont assuré aux neurosciences cognitives leur légitimité. Comment le cerveau en est-il venu à acquérir, au début des années 1990, une valeur centrale auprès des chercheurs en santé mentale et auprès du public ? Telle est la question que pose Alain Ehrenberg dans La Mécanique des passions. Cerveau, comportement, société, second volet d’une recherche dont le premier opus avait été consacré aux mutations de la théorie psychanalytique, aux USA notamment (La Société du malaise, 2010). En réalité, c’est une vaste enquête sociologique sur les neurosciences cognitives qu’Alain Ehrenberg vient de publier. L’idée est de penser les neurosciences comme un objet de croyances – dans la lignée des travaux de Durkheim – plutôt que comme un objet de connaissances à discuter. Trois cas exemplaires et une théorie Le comportementalisme : la science des hommes d’action D’une façon générale, pour A.
La #FormPro au pays des neurosciences - ruedelaformation.org : ruedelaformation.org À l’heure où la formation professionnelle est pensée comme un véritable investissement pour les entreprises, l’optimisation de l’acquisition des compétences est vitale. Après le Big Data, les neurosciences comptent à leur tour bouleverser les méthodes d’apprentissage. Au départ, un constat : « Les sciences cognitives montrent qu’on n’apprend pas tous au même rythme » note Ivan Ostowicz, fondateur de Domoscio, start-up spécialisée dans les « parcours d’apprentissage intelligents ». Couplé à cela, la résistance aux méthodes traditionnelles de formation, en cours magistraux et peu motivantes, ajoutent au désintéressement de l’apprentissage. Dans cette optique, comment les neurosciences peuvent-elles aider les apprenants à faire de la formation une réussite ? De l’adaptative learning au neurolearning La transformation numérique a permis l’émergence de nouveaux modes de formation. Plus généralement, ce système pourra à terme s’appliquer à tous les MOOCs et « serious-game ».
Des neurosciences en maternelle, même pas peur ! Murielle Ducroo (@MurielleDUCROO sur Twitter) s’est lancée avec ses élèves de moyenne et grande section dans un projet neurosciences accompagnée par les Savanturiers dans le cadre du projet Savanturiers du cerveau. Murielle nous raconte cette année pas comme les autres où le défi de s’interroger sur le fonctionnement du cerveau n’a pas fait peur à ses petits chercheurs en herbe ! « Il y a eu beaucoup de questions auxquelles les enfants ont essayé de répondre. Si on se concentre plutôt sur les problématiques de recherche qu’ils ont évoqué, ils ont d’abord posé des questions sur les langages des neurones ? Comment les neurones se parlent-ils lorsqu’on utilise différents langages (mathématique, musical, oral…) ? Nous n’avons pas pu lancer les recherches sur ces questions car il aurait fallu avoir à disposition des moyens matériels dont nous ne disposions pas (électro encéphalogrammes etc.) Nous avons donc laissé maturer puis nous avons reformulé une nouvelle problématique. WordPress:
Bonheur : 4 substances chimiques - Double Boucle Il y a quelque jours, j’ai vu passer sur Twitter une photographie montrant un nombre important des participants de la conférence ALE2015 en train de travailler activement, allongés par terre, à expérimenter les phénomènes biologiques régissant le bonheur. En recherchant rapidement sur la toile, je suis tombé sur cette vidéo de Simon Sinek dans laquelle il explique le rôle de plusieurs hormones dans la construction de la sensation de bonheur. Je me propose ici de vous présenter ces substances et d’expliquer leur fonctionnement et leurs effets. Le bonheur pour soi Endorphine L’endorphine est une hormone dont la libération est déclenchée lors d’une activité physique intense ou par la douleur. Ses effets permettent également de combattre l’anxiété et la dépression. Dopamine La dopamine nous encourage à agir pour nos objectifs, nos désirs et nos besoins, et procure du plaisir lorsque nous y parvenons. La dopamine possède néanmoins un côté obscur. Le bonheur ensemble Sérotonine Ocytocine Conclusion
Neurolearning : les neurosciences au service de la formation - Le blog de C-Campus Les neurosciences appliquées à la pédagogie font le buzz ! Les articles se multiplient, les conférences et séminaires se succèdent sans relâche. Les vidéos YouTube ne se comptent plus… Cette profusion de sources d’information peut paraître suspecte. Cela sent l’effet de mode. Et les marketeurs s’en emparent pour renforcer leurs argumentaires produits, que ce soit pour vendre une plateforme de E-Learning ou un casque de réalité virtuelle ! Alors, depuis quelques mois, on s’est renseigné. Un livre à conseiller à tout formateur Et nous avons voulu en parler dans notre blog, car nous avons trouvé à travers ce livre une excellente entrée en matière pour les formateurs que nous sommes dans cette discipline quelque peu obscure. Réalisé à 6 mains, il reste très pratique tout en reposant sur des concepts et approche bien structurés et expliqués. Ils nous rappellent ainsi quelques évidences toujours bonnes à avoir à l’esprit par ces temps digitaux comme :
Franck Ramus : "Mets-toi ça dans la tête !" : Les stratégies d’apprentissage à la lumière des sciences cognitives Dès le cours préparatoire (et souvent dès la maternelle), les élèves reçoivent de bien mystérieuses consignes : « apprenez la leçon pour la semaine prochaine ». Encore dociles à cet âge, bien peu d’élèves ont le culot nécessaire pour oser demander à leur enseignant : « mais comment fait-on pour apprendre une leçon » ? Au grand soulagement de la plupart des enseignants, qui se retrouveraient d’emblée mis en difficulté, et seraient obligés de livrer quelques consignes sommaires (et peu efficaces) : « relis la leçon jusqu’à ce que tu la retiennes ». Pourtant, si l’on y réfléchit bien, savoir apprendre de manière efficace devrait être l’une des compétences fondamentales que l’école primaire a pour mission d’enseigner, aux côtés des incontournables lire, écrire, compter. Comment savoir apprendre une leçon ? Le principal problème de ces belles intentions est que le décret n’explicite en aucune manière les moyens d’y parvenir. Comment retenir l'information ? Les méthodes qui marchent le mieux
Parlez avec Amour : Comment vos mots restructurent littéralement votre cerveau | ExoPortail Les mots que vous choisissez d’utiliser peuvent littéralement changer votre cerveau : Andrew Newberg, un neuroscientifique de l’Université Thomas Jefferson, et Mark Robert Waldman, un expert en communication, ont collaboré au livre «Words Can Change Your Brain» ( Les Mots peuvent changer votre cerveau ). «un seul mot a le pouvoir d’influencer l’expression des gènes qui régulent le stress physique et émotionnel.» Lorsque nous utilisons des mots remplis de positivité, comme «amour» et «paix», nous pouvons modifier le fonctionnement de notre cerveau en augmentant le raisonnement cognitif et en renforçant les zones de nos lobes frontaux. L’utilisation de mots positifs plus souvent que négatifs peut relancer les centres de motivation du cerveau et les propulser dans l’action. À l’autre extrémité du spectre, lorsque nous utilisons des mots négatifs, nous empêchons la production de certains neurochimiques qui contribuent à la gestion du stress. Newberg et Waldman écrivent :