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Cette illustratrice déconstruit tous les stéréotypes de genre chez les enfants

Cette illustratrice déconstruit tous les stéréotypes de genre chez les enfants
STÉRÉOTYPES - Oui, les petits garçons peuvent s'émouvoir, pleurer et être coquets. Non, les petites filles ne se soucient pas que de leur apparence, ne sont pas toujours sages et peuvent devenir des meneuses. En fait, chacun peut être ce qu'il veut. Cette artiste engagée a posté ce lundi 15 janvier sur sa page Facebook une affiche brisant les stéréotypes de genre. Cette maman de deux filles s'était illustrée dans le même registre lors de la journée internationale de la fille, le 11 octobre dernier. Le dessin avait rencontré un franc succès et la question d'en proposer l'équivalent pour les petits garçons avait rapidement fait surface. Ces petites affiches, elle les destine "aux parents et enseignants qui ont envie de déboulonner les stéréotypes sexuels". Toujours dans l'optique de lutter contre les clichés sexistes, Élise Gravel a compilé dans un croquis quelques grands noms de femmes scientifiques. La tolérance, le savoir-vivre... À voir également sur Le HuffPost: Related:  EGALITE FILLES GARCONS A L ECOLEStéréotypesOutils péda / Educ Nat

Illusions et aménagements contre l’égalité « Le présent mémoire s’intéresse à l’écart qui existe entre la volonté admise des individus de partager les tâches domestiques et parentales de manière égalitaire et les données d’enquête qui font état de l’inégalité qui subsiste tant dans le temps alloué que dans le type d’activités exécutées par les hommes et les femmes. » Dans son introduction, Julie Garon souligne les écarts de temps passés par les femmes et les homme dans le quotidien domestique et parental. Les statistiques – ici au Québec – sont sans ambiguïté, les priorités des un·e·s et des autres sont différentes, le temps consacré aux travaux ménagers et aux soins des enfants par les femmes est toujours plus important que celui assuré par les hommes. Cela a bien quelque chose à voir avec les rapports sociaux de sexe, l’ancrage « des références traditionnels de genre », la compréhension asymétrique de la notion de « responsabilité », les habitudes au long cours… Je ne présente pas les éléments méthodologiques de cette étude.

Lancement du concours #ZéroCliché 2018 ! - CLEMI Lancement de l'édition 2018 du concours #ZéroCliché pour l'égalité filles-garçons, sous le marrainage de Marlène Schiappa ! Organisé en partenariat avec le magazine Causette, Madmoizelle.com, Les Nouvelles News, TV5MONDE et le Défenseur des Droits, le concours récompense les meilleures productions d’élèves, qui seront publiées sur les sites des médias partenaires. Le concours est ouvert aux productions audiovisuelles (vidéos mais aussi sonores). Tous les genres journalistiques sont acceptés (article, billet d’humeur, interview, portrait, reportage, édito, dessin de presse, chronique...). Les critères pour participer Les productions, individuelles ou collectives, doivent : Respecter l’écriture journalistique (règle des 5 W : Who ? Le jury prendra en compte également la créativité des modes de traitement et l’originalité des angles choisis. Comment participer Soyez inspirés pour l’égalité ! Pour toute demande d’informations : zerocliche@clemi.fr Ressources

Pour que les petits garçons puissent être et aimer ce qu’ils veulent, sans qu’on les emmerde (version 4) – Maman, rodarde ! Depuis qu’il est tout petit, mon fils aime se vernir les ongles de temps à autres. Mais plus il a grandi, et plus il a commencé à être sensible aux remarques qu’il pouvait recevoir. Je me souviens par exemple l’avoir vu au parc, les mains recroquevillées pour cacher ses ongles vernis, de peur que les enfants se moquent et ne veuillent plus jouer avec lui. Ça m’a retourné le ventre de sentir que mon fils n’osait pas laisser libre cours à ses envies ou sa personnalité à cause du regard des autres. A la fin des vacances d’été, Piou a de nouveau manifesté l’envie de porter du vernis. Au parc, Piou a essuyé les moqueries d’un groupe d’adolescents (des garçons de 15-17 ans). Mon fils s’est refermé comme une huître, les épaules basses, tout honteux. J’espérais que l’affaire était close. Mince. Pour que mon fils puisse se défendre sans moi, je lui ai donc bricolé des bandelettes d’autodéfense antisexiste, que j’ai prévu de plastifier, de plier en accordéons et de glisser dans son sac.

Masculins, est-ce ainsi que les hommes se vivent (1/4) : Interroger le genre : « C’est quoi un garçon ? » Christophe et Eddy témoignent de la difficulté sociétale à composer avec cette masculinité embarrassante. Lou, née fille, explique en miroir, sa démarche existentielle pour entrer dans la masculinité. J'étais l'enfant que l'on qualifiait de "garçon manqué" dans la cour de récréation. Je jouais aux petites voitures et aux petits soldats. J'avais horreur des robes et des poupées. [...] Il y a eu des disputes pour des repas de famille où elle voulait que je sois plutôt coquette. Pauline photographie la fragilité de corps d’hommes tatoués ou boxeurs pour questionner la radicale altérité. On associe la masculinité hégémonique à du muscle, de la pilosité, des marques sur le visage, des cicatrices, à une certaine force physique. Dans mon clip, je voulais mettre ce corps frêle, torse nu. Avec : Une série documentaire de Juliette Boutillier, réalisée par Vincent Decque

YouTube aurait pu être une page blanche, elle est le reflet des pires stéréotypes sur le genre Temps de lecture: 6 min Sur YouTube aussi, le sexisme a la vie dure. La visibilité apparaît alors comme le premier signal des inégalités existantes sur la plateforme de partage de vidéos en ligne. Il n'y a qu'à s'arrêter au nombre de femmes et d'hommes qui l'utilisent. En France, le haut de ce classement est là encore très masculin et fait la part belle aux jeunes humoristes tels Cyprien, Norman, Rémi Gaillard ou encore Mister V. Un espace d'expression genré Outre les considérations quantitatives, c'est aussi le contenu des vidéos qui pose question. La populaire Yuya, dédie ses vidéos à des thématiques féminines ou considérées comme telles: maquillage, beauté et bien-être. À son image, les «influenceuses» qui réussissent sont, pour l'immense majorité, des filles qui parlent de trucs de filles, à destination d'autres filles. Une reproduction des codes patriarcaux Combattre le cliché de la youtubeuse beauté Un déficit de crédibilité «J'avais peur de me tromper, de dire quelque chose de faux.

Sexisme ordinaire | Les Nouvelles NEWS L'égalité salariale entre les femmes et les hommes ? Une politique économique dangereuse car elle risque de pousser les femmes à quitter le foyer... L'argumentaire d'un élu local américain n'est pas passé inaperçu. Cinq ans après avoir provoqué un tollé avec un catalogue effaçant les femmes en Arabie Saoudite, le géant suédois du meuble remet le couvert avec un catalogue spécifique pour la communauté haredi en Israël. Un élu républicain de l'Oklahoma défend une loi obligeant une femme voulant avorter à obtenir l'autorisation écrite du géniteur. Le quotidien Libero emploie un titre à connotation sexuelle à propos de la maire de Rome Virginia Raggi. Au « comité politique stratégique » établi par le candidat pour relancer sa campagne présidentielle siègent 21 hommes et 2 femmes. L'association Women do Wine s'élève contre un nouveau prix qui entend récompenser la « Femme de chef de l'année ».

Pour que les petites filles puissent être et aimer ce qu’elles veulent, sans qu’on les emmerde (parties 1 et 2) – Maman, rodarde ! Comme promis, voici la version fille des dépliants d’autodéfense antisexiste. J’avais envie d’aborder teeeellement de thèmes, j’ai trouvé tant d’exemples géniaux, que je me suis retrouvée avec 22 dépliants à mettre en page ! La première partie inclut les thèmes suivants : les voitures, le foot, les poils, les cheveux courts et rasés, la couleur bleue, les vêtements d’homme, le lesbianisme, la bisexualité, les vagins et les utérus, les femmes sans enfant.Vous pouvez accéder au pdf à imprimer en cliquant sur ce lien. Dans la deuxième partie, vous retrouverez les mathématiciennes et autres scientifiques, les astronautes, les informaticiennes, les gameuses, les aventurières, les femmes pirates, les filles qui se battent et qui font la guerre, les cheffes d’État et de grandes entreprises. Petit rappel : j’ai commencé à créer ces mini dépliants pour que mon fils de 5 ans puisse clouer le bec aux enfants et aux adultes qui lui affirment que telle ou telle chose est pour les garçons/filles.

Françoise Héritier (1/5) : Au commencement était la terre Je suis allée entendre Claude Lévi-Strauss, dont on m’avait dit un bien si grand que je voulais vraiment l’entendre de mes propres oreilles. Et alors là, ça a été la révélation de ma vie, parce que j’ai découvert des choses qui étaient totalement étrangères à mon champ de perception. J’ignorais totalement la nature des faits dont il parlait, j’ignorais que ça ait pu exister. Et puis sa façon de parler, d’expliquer, était tellement intéressante que je les ai toujours suivis par la suite. Après une enfance passée entre l'Auvergne et la Bourgogne où elle apprit les techniques et les savoir-faire du terroir, Françoise Héritier choisit l'ethnologie pour formation intellectuelle et l'Afrique pour terrain d'étude. De ces années auprès des Samo du Burkina Faso, elle garde des émotions vives, le souvenir d'expériences humaines et le sentiment d'une communauté affective. Par Caroline Broué. Biographie, bibliographie et leçon inaugurale (février 1983) sur le site du Collège de France.

Évaluations nationales : des représentations sexistes à l'école primaire En cette rentrée de septembre 2018, les élèves de CP et de CE1 des écoles publiques ont été dans l’obligation de passer des évaluations nationales en lecture et écriture. L’un des exercices imposés aux élèves de CE1 consiste à rédiger un court texte en s’appuyant sur les images suivantes : Que montrent ces deux planches ? Une fille passive, se faisant belle d’un côté, et un garçon très actif de l’autre. Ces évaluations nationales étaient déjà contestées par un certain nombre d’enseignant-es et d’organisations syndicales. Voici donc encore une bonne raison de ne pas se plier aux exigences d’un Ministère qui malgré ses beaux discours continue de véhiculer les stéréotypes qu’il prétend combattre.

Lutter contre les stéréotypes : lire, réfléchir, discuter et agir…. Etrangement, en vivant à Los Angeles, la mode est au transgenre qui s’assume a l’école au milieu de la cour en jouant au basket avec du vernis à ongle. C’est donc bien un sujet polémique et délicat a approcher, parfois non dépourvue d’un certain scepticisme quant aux fondements des actions mais si on ne le fait pas, on est sûr qu’on aura jamais rien fait évoluer : Celui qui déplace la montagne, c'est celui qui commence à enlever les petites pierres. Confucius Un état des lieux par la lecture Suite à certains évènements (monopolisation du terrain de foot par les garçons, propos sexistes voire injurieux..), j’ai commencé à réfléchir sur le moyen de faire surgir les représentations personnelles et de discuter du rapport filles/garçons sans tomber tout de suite dans le moralisateur Une première étape a donc consistée en l’organisation d’un jeu lecture au niveau CM1 Jeu Livre et égaux, par csidoc Une initiation au recul critique par le débat Une pratique citoyenne Les productions des élèves Girls Up!

Bienvenue sur le site du PRODAS – Planning Familial 13 Amour, virilité, banditisme Analyse de la tragédie grecque, enquête de terrain, étude de la transformation des sentiments, anthropologie historique du corps et de l’identité masculine : autant d’approches qui permettent de réfléchir aux figures de l’honneur et de l’héroïsme, et de ses errances. Personne n'est plus arrogant envers les femmes, plus agressif ou méprisant, qu'un homme inquiet pour sa virilité. Simone de Beauvoir Yoshiji Yokoyama, dramaturge Olivier Taplin, professeur émérite de lettres classiques, Université d’Oxford Sabrina Corbellini, professeure d’histoire médiévale, Université de Groningen Boris Burle, directeur de recherche CNRS, laboratoire de neurosciences cognitives, Aix-Marseille Université Ute Frevert, professeure, directeur du Centre pour l’histoire des émotions, Institut pour le développement humain Laurent Mucchielli, directeur de recherche au CNRS (Laboratoire méditerranéen de sociologie), Aix-Marseille Université Une rencontre enregistrée en juillet 2017.

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