Un jeune enfant sur trois est mal nourri, selon l’Unicef
Dénutris ou en surpoids : un enfant de moins de 5 ans sur trois ne reçoit pas l’alimentation dont il a besoin pour bien grandir, s’alarme l’Unicef dans un rapport de grande ampleur publié mardi 15 octobre. « De nombreux pays pensaient avoir relégué la malnutrition au rang des problèmes du passé, mais ils découvrent qu’ils ont un nouveau problème très important », souligne Victor Aguayo, chef du programme nutrition de l’Unicef, interrogé par l’AFP. Sur les 676 millions d’enfants de moins de 5 ans vivant dans le monde en 2018, environ 227 millions (soit un tiers) étaient sous-nutris ou en surpoids, et 340 millions (soit la moitié) souffraient de carences alimentaires, calcule l’agence de l’ONU pour la protection des enfants. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Un décès sur cinq dans le monde dû à une mauvaise alimentation La sous-nutrition, problème majeur
Cannabis - L'Esprit Sorcier - Dossier #10
« L’usage illicite de l’une des substances ou plantes classées comme stupéfiants est puni d’un an d’emprisonnement et de 3 750 euros d’amende » (Article L.3421-1 du Code de la santé publique). Regardez l’émission qui prolonge ce dossier : Faut-il légaliser le cannabis ? Retrouvez toutes nos vidéos sur la chaîne Youtube de l’Esprit Sorcier
Troubles alimentaires : quand la tête se fâche avec le ventre
Pendant des années, les îles Fidji n’ont pas eu la télévision. L’arrivée du petit écran, entre autres conséquences, a provoqué une hausse sensible du nombre de cas de troubles alimentaires. Dictature de l’image, éloge de la maigreur... les troubles du comportement alimentaire, les TCA touchent entre 3 à 4% des adolescents dans les pays occidentaux... dans 90%, il s’agit de jeunes filles. Avec un taux de mortalité aux alentours de 10% pour l’anorexie mentale, il s’agit de la maladie psychiatrique la plus mortelle. Malgré cela, les pouvoirs publics ont encore du mal à prendre des mesures fortes pour en limiter les effets dévastateurs.
Recommandations relatives à l’alimentation, à l’activité physique et à la sédentarité pour les adultes / 2019 / Maladies chroniques et traumatismes
En France, des recommandations alimentaires et d’activité physique officielles ont été diffusées depuis 2001 dans le cadre du Programme national nutrition santé (PNNS). Suite à l’évolution des données scientifiques et aux rapports récents de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) et à l’avis du Haut Conseil de santé publique (HCSP), la Direction générale de la santé (DGS) a chargé Santé publique France de l’actualisation des recommandations relatives à l’alimentation, l’activité physique et la sédentarité à diffuser auprès de la population adulte. Au cours de l’élaboration de ces recommandations opérationnelles, Santé publique France a tenu compte des connaissances, des croyances et des comportements de la population sur l’alimentation, l’activité physique et la sédentarité afin d’aboutir à des messages qui soient les plus compréhensibles et acceptables possibles.
Maladies auto-immunes - Inserm
Chaque maladie auto-immune répond à une prise en charge spécifique. Des traitements permettent de contrôler les symptômes de la maladie : antalgiques contre la douleur, anti-inflammatoires contre la gêne fonctionnelle articulaire, médicaments substitutifs permettant de normaliser les troubles endocriniens (insuline dans le diabète, thyroxine dans l’hypothyroïdie…), etc… Des médicaments permettant de contrôler ou d’inhiber l’auto-immunité offrent aussi un moyen de limiter les symptômes et la progression des lésions tissulaires. Ils doivent généralement être pris de façon chronique car ils ne permettent pas de guérir la maladie. De plus, ils ne sont pas spécifiques des cellules effectrices de l’auto-immunité et interfèrent avec certaines fonctions générales du système immunitaire. Ces traitements sont pris de façon chronique.
Anorexie : une maladie sans faim
Début novembre, une étude mettait en lumière chez la souris un mécanisme cérébral inédit qui pourrait expliquer l’anorexie avec, à terme, la possibilité si cela se confirme d’en tirer un traitement qui permettrait de lutter, efficacement, contre ce trouble du comportement alimentaire. Ce n’est pour le moment qu’une hypothèse, qui demande à être confirmée, mais qui met en regard deux pans de la recherche, la recherche fondamentale et la recherche clinique pour lutter contre cette pathologie complexe, polyfactorielle, qui dépend autant de facteurs génétiques, psychologiques, environnementaux, familiaux et socioculturels, et qui touche jusqu’à 4% de la population, des femmes dans une écrasante majorité. Anorexie : une maladie sans faim ? C’est le programme qui est le nôtre pour l'heure qui vient. Bienvenue dans La Méthode scientifique. Le reportage du jour
Exposition des enfants et des adolescents à la publicité pour des produits gras, sucrés, salés
Le marketing alimentaire, en particulier celui des produits à faible intérêt nutritionnel et à haute densité énergétique, fait partie de l'environnement obésogénique qui est à l'origine de l'épidémie d'obésité observée au niveau mondial chez les adultes et les jeunes. L'objectif principal de cette étude était de quantifier l'exposition des enfants et des adolescents à la publicité pour des produits gras, sucrés, salés (PGSS), et son évolution, notamment à la télévision. Dans ce cadre, le nombre de publicités télévisées pour des PGSS diffusées et vues par les enfants et les adolescents en 2015 et en 2018 a été calculé.
Nutrition et santé - Inserm
La conception moderne de la nutrition intègre non seulement l’alimentation et ses déterminants psychologiques, mais aussi l’activité physique qui conditionne les dépenses énergétiques. Un déséquilibre de cet ensemble complexe est impliqué dans l’apparition et le développement de la plupart des maladies chroniques les plus fréquentes aujourd'hui. De nombreux travaux ont par exemple montré l’impact de facteurs nutritionnels sur la survenue de certains cancers, des maladies cardiovasculaires, de l’obésité, de l’ostéoporose, ou encore de troubles métaboliques comme le diabète de type 2 ou l’hypercholestérolémie. Ces études montrent aussi que certains aliments, nutrimentsnutrimentsSubstance alimentaire qui n’a pas besoin de subir de transformations digestives pour être assimilée par l’organisme. et comportements augmentent le risque de développer certaines pathologies. D'autres vont au contraire avoir une action préventive.
L'anorexie, la boulimie, les troubles alimentaires du 17 juin 2015
Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois.
Que faut-il manger pour limiter les risques de cancer ? Les réponses des scientifiques / The conversation, septembre 2020
Thé vert, soja, antioxydants, jeûne… Autant d’aliments, de substances ou de pratiques alimentaires auxquelles sont prêtées des vertus anti-cancer. Si certaines de ces affirmations sont infondées, d’autres sont étayées par les résultats de nombreuses études, et validées par des expertises collectives nationales et internationales. Malheureusement, faire la part du vrai et du faux n’est pas toujours simple. Depuis deux décennies, le réseau NACRe (réseau National Alimentation Cancer Recherche) fait avancer les connaissances sur les liens entre nutrition et cancer. Il met aussi à disposition du public les derniers résultats de la recherche dans ce domaine. Fruits et légumes, fibres alimentaires, produits laitiers : à l’occasion de son vingtième anniversaire, voici une présentation des principaux facteurs nutritionnels reconnus comme réduisant le risque de cancers.