Low-Tech Lab Villes et Territoires en Transition | Territoires en liens Le mouvement des Villes et Territoires en Transition est né en Grande-Bretagne en 2006 dans la petite ville de Totnes, à l’initiative de Rob Hopkins, enseignant en permaculture. Il y a aujourd’hui plus de 2500 initiatives de Transition dans le monde, dont 150 en France, réunies dans le réseau international de la Transition. L’objet de cette initiative est d’inciter les citoyens d’un territoire (bourg, quartier d’une ville…), à prendre conscience, d’une part, des profondes conséquences que vont avoir sur nos vies la convergence du pic du pétrole et du changement du climat et, d’autre part, de la nécessité de s’y préparer concrètement. Il s’agit de mettre en place des solutions fondées sur une vision positive de l’avenir et qui visent à : Dès lors, chaque groupe local de Transition trouve par lui-même les solutions qui lui conviennent en fonction de ses ressources et de ses enjeux. Il n’y a pas de réponse toute faite. Pourquoi agir localement ?
Les indicateurs alternatifs au PIB sont de retour Pourquoi critiquer le PIB ? C’est au cours des années 60 que la critique du PIB a commencé à émerger. Des économistes se sont notamment inquiétés du fait que le PIB mesurait mal certaines productions comme les services non marchands produits par des administrations publiques (comment comptabiliser les services de police, de l’éducation nationale ou de la justice puisqu’ils ne sont pas vendus sur un marché ?). Les critiques du PIB Elles sont régulières. Il est en effet difficile encore de nos jours de s’affranchir du PIB. Un nouveau tableau de bord proposé par le CESE et France Stratégies Le Conseil économique, social et environnemental s’est associé avec France Stratégie (ex-Commissariat au Plan) pour réaliser un tableau de bord du développement de notre pays. Il en ressort un tableau de bord de 10 indicateurs phares. L’économie1. Parmi les indicateurs, on remarque que l’indicateur social d’inégalités est meilleur en France qu’en moyenne européenne.
Marseille : "Coco Velten" un espace qui prépare l’avenir du vivre De gauche à droite Erick-Noël Damagnez, Groupe SOS Solidarités, Sophia Daoud, Yes We Camp et Océane Vilbert, Plateau urbain (Photo Mireille Bianciotto) Lieu d’accueil à dimension sociale, Coco Velten est un projet porté par 3 associations, Yes We Camp, pour la coordination générale, le groupe SOS Solidarités pour la résidence sociale et, Plateau Urbain pour l’animation du volet entrepreneurial. Une synergie pensée pour favoriser la création de liens entre les différents publics et l’insertion des personnes en situation d’exclusion. L’État de façon temporaire prête le bâtiment qui va regrouper à la fois une résidence sociale de 80 chambres, des bureaux ouverts à des associations et des structures... En marge de l’inauguration entretien avec les trois structures porteuses du projet. Propos recueillis par Mireille BIANCIOTTO
Sismique, le podcast qui explore les futurs à partir de ce qui bouge aujourd’hui. Jancovici : FAQ Direct Live sur Facebook #2 - 06/12/2018 dans Jean-Marc Jancovici sans titre Article 7 – Nos engagements Pour appliquer les principes d’une démocratie ouverte, les signataires de cette charte s’engagent collectivement et individuellement à : 1. Soutenir les projets d’innovation démocratique Au sein du collectif, les organisations publiques ou privées, les citoyens, chercheurs, élus, journalistes et experts membres de Démocratie Ouverte agissent en soutien aux innovations démocratiques, pour les aider, les renforcer, les accélérer, les questionner, les évaluer, leur offrir des terrains d’expérimentation, les cartographier, les faire connaître, etc. 2. Démocratie Ouverte structure, alimente et fait vivre la communauté à travers l’organisation d’échanges, de rencontres, d’événements, de formations, d’accompagnements, d’expérimentations ou de recherche-action dédiés spécifiquement aux innovateurs démocratiques. 3. 4. Article 8 – Le collectif Démocratie Ouverte Article 9 – Un collectif non-partisan Article 10 – Un collectif transpartisan Article 12 – un collectif engagé
« Le jeu et l’amusement sont une clé d’un futur désirable pour nos villes » Tribune. Dans toutes les grandes métropoles, les élus et les responsables d’entreprises, comme Siemens, IBM ou Microsoft investissent dans des systèmes « intelligents » faits de capteurs électroniques, de réseaux de collecte de données et d’algorithmes pour rendre plus efficace la gestion de nos problèmes urbains de transports, de déchets, d’eau ou d’énergie. Mais en opposition à l’efficacité froide de ces villes intelligentes, depuis quelques années se développent des propositions de villes ludiques, où les rues sont à nouveau un bien commun pour tous. Au moins deux idées peuvent êtres défendues. Tout d’abord, les citoyens doivent prendre collectivement le contrôle de leur environnement ; le bien-être des habitants ne doit pas être abandonné aux autorités locales. Ensuite, en encourageant des activités qui apportent de la joie et du plaisir, il est possible de créer des villes plus apaisées et inclusives. Jouer peut paraître trivial. Une vie plus sécurisée