http://www.youtube.com/watch?v=xCElCxnzVMs
Related: Chapitre 7 Comment lutter contre le chômage ? • Chapitre 8 Quels sont les fondements du commerce international et de l'internationalisation de la production ? • A ranger • Chapitre 7 - Quels sont les fondements du commerce international et de l'internationalisation de la production ?Les firmes multinationales et leur localisation Le MOOC "C'est quoi l'éco ?" est proposé par l'ENS de Lyon et les Journées de l'économie. À partir de brèves interviews réalisées lors des Journées de l'économie, ce cours de 6 semaines présente les raisonnements de 28 économistes sur les grands sujets de la discipline (la croissance, la monnaie, le commerce international, la politique économique, etc.). Nous mettons à votre disposition cette vidéo de d'Agnès Bénassy-Quéré et d'Olivier Bouba-Olga, spécialiste de géographie économique, extraite de la séquence de cours portant sur le thème "Le commerce international, la mondialisation : danger ou opportunité ?". Vidéo de l'interview Interview réalisée lors des Journées de l'économie d'octobre 2015.
La croissance des chaînes de valeur mondiales n’est pas enrayée Notes : Dans le panel A, la courbe "participation aux CVM" indique la part des exportations mondiales traversant au moins deux frontières ; et celle des biens intermédiaires la part des biens intermédiaires dans le commerce mondial des biens manufacturés non énergétiques. Cette dernière figure également dans le panel B, ainsi que ses deux composantes (courbes des biens semi-finis et des P&C). Nous poursuivons l’analyse en distinguant, au sein des biens intermédiaires, les pièces et composants (P&C) qui sont au cœur des CVM, et les produits semi-finis situés plus en amont. Dans le premier groupe se trouvent par exemple des pièces détachées de machines-outils ou des composants électroniques, dans le second des produits chimiques ou sidérurgiques.
COVID-19 : l'impact de la Chine dans les chaînes de valeur mondiales Acteur encore mineur du commerce international au milieu des années 90, la Chine c'est désormais près de 11% des exportations mondiales de biens et services et un peu plus de 10% des importations, ce qui place l'Empire du milieu au 1er rang des pays exportateurs devant les Etats-Unis et l'Allemagne et à la 2ème place des pays importateurs derrière l'Amérique. La Chine au centre des chaines de valeur mondiales Et encore, cette ascension, même fulgurante, de la Chine dans le commerce mondial rend insuffisamment compte de son réel rôle de plaque tournante. La mondialisation a complétement transformé les chaînes de valeur qui dans nombre d'activités ont éclaté tout en devenant plus globales sous l'égide des multinationales. Il s'agit de mieux tirer parti des écarts de coûts de main-d'œuvre, de la disponibilité du capital, de la technologie, de la proximité de nouveaux marchés en fort développement. On comprend mieux ainsi, les craintes des répercussions du coronavirus.
Portugal : le plus grand producteur de vélos d’Europe Pour franceinfo, le respect de votre vie privée est une priorité En Ethiopie, les petites mains de H&M ou Calvin Klein gagnent 23 euros par mois Les salariés des usines de vêtements d’Ethiopie, qui travaillent pour des marques comme Guess, H&M ou Calvin Klein, sont les moins bien payés au monde, avec seulement 26 dollars (23 euros) par mois, selon un rapport rendu public mardi 7 mai. L’Ethiopie, qui ambitionne de devenir le principal centre manufacturier du continent, a séduit les investisseurs en mettant en avant la disposition des salariés à travailler pour moins du tiers du salaire des travailleurs du Bangladesh, affirme le rapport du Centre Stern pour les affaires et les droits de l’homme de l’université de New York. Selon cette étude intitulée « Fabriqué en Ethiopie : les défis de la nouvelle frontière de l’industrie du vêtement », les salariés du Bangladesh, notoirement mal payés, gagnent 95 dollars par mois, ceux du Kenya 207 dollars et ceux de Chine 326 dollars.
Question 4. Comprendre l'internationalisation de la chaîne de valeur et savoir l'illustrer A partir des années 1990, le commerce international s’est rapidement développé avec l’expansion des chaînes de valeur mondiales (CVM). La notion de chaîne d’activité décrit la séquence des opérations conduisant à la production d’un bien final. Une chaîne d’activité se mondialise lorsque ces activités sont réparties entre filiales ou sous-traitants établis dans plusieurs pays. La mondialisation des chaînes de valeur : entretien avec Ariell Reshef et Gianluca Santoni Ariell Reshef est directeur de recherche CNRS au Centre d'Économie de la Sorbonne (Paris 1 Pantheon-Sorbonne), professeur associé à Paris School of Economics et conseiller scientifique au CEPII. Gianluca Santoni est économiste au CEPII. Ils ont rédigé, avec Sébastien Jean, le chapitre II « Les chaînes de valeur mondiales à l'épreuve de la crise sanitaire » de la publication annuelle du CEPII, L'économie mondiale 2021 (La Découverte, coll. Repères, septembre 2020). Pour une présentation détaillée de l'édition 2021 de L'économie mondiale, vous pouvez lire le billet d'Isabelle Bensidoun et de Jézabel Couppey-Soubeyran dans le blog du CEPII (Que nous réserve l'économie mondiale en 2021 ?, 02/09/2020) et regarder la webconférence de présentation de l'ouvrage organisée par le CEPII en septembre 2020.
Firmes multinationales Résumé Les firmes multinationales (FMN) sont parmi les acteurs les plus puissants de l’espace mondial. Leur développement est à la fois la conséquence et l’un des moteurs essentiels de la mondialisation. Face à leurs stratégies globales et à leurs modes de fonctionnement transnationaux, les États peinent à instaurer un système de gouvernance qui permettrait de pallier les conséquences sociales et environnementales des activités des FMN. Par leur poids économique et financier et leur capacité d’influence sur les politiques fiscales et sociales des États, les firmes multinationales (FMN, aussi nommées firmes transnationales) sont des acteurs majeurs de l’espace mondial. Une FMN est une entreprise de grande taille possédant des filiales dans plusieurs pays et concevant son organisation et sa stratégie de production et de vente à l’échelle globale.
Les firmes multinationales françaises en 2019 : 48 200 filiales à l’étranger - Insee Focus - 252 Les firmes multinationales françaises : 6,8 millions de salariés En 2019, les firmes multinationales françaises (hors secteur bancaire et services non marchands) contrôlent 48 200 filiales à l’étranger dans plus de 190 pays (figure 1). La moitié de ces firmes sont implantées dans un seul pays étranger. Les filiales à l’étranger emploient 6,8 millions de salariés, ce qui représente 56 % des effectifs des firmes dont elles font partie. Le coût salarial par tête dans ces filiales implantées à l’étranger est en moyenne de 36 800 euros par an, contre 68 100 euros pour les filiales françaises.
Ces produits qui bouleversent le commerce mondial