Ch 7 prog. Synthèse manuel Hachette p 62. Synthèse manuel Hachette p 63. Synthèse manuel (en schémas) Hachette p 64. Synthèse schéma AH p 63. Schémas mécanismes AH p 64. Synthèse EN p 70. Synthèse EN p 71. Synthèse (schéma) EN p 72. Synthèse FB p 80. Document 1 - Qu'est-ce que l'avantage comparatif ? (Dessine-moi l'éco) Questions document 1. Document 3 p 47. Document 4 p 47. Autoévaluation p 47. À retenir (WM p 43) Définitions 1. Définitions 2. À savoir FB p 58. Schéma dots factorielles spé av comparatifs p 62. AH p 45. Avantage comparatif et coût d’opportunité : des gagnants sur toute la ligne. Qu%u2019est ce que l%u2019avantage comparatif. Pourquoi les pays échangent-ils ? Sandra PONCET, Agnès BENASSY-QUERE, Sébastien JEAN. En France, la plupart des roses proviennent de l'étranger.
Bande-annonce : La Pluie et le beau temps VOST - Vidéo Dailymotion. En Ethiopie, les petites mains de H&M ou Calvin Klein gagnent 23 euros par mois. Les salariés des usines de vêtements d’Ethiopie, qui travaillent pour des marques comme Guess, H&M ou Calvin Klein, sont les moins bien payés au monde, avec seulement 26 dollars (23 euros) par mois, selon un rapport rendu public mardi 7 mai.
L’Ethiopie, qui ambitionne de devenir le principal centre manufacturier du continent, a séduit les investisseurs en mettant en avant la disposition des salariés à travailler pour moins du tiers du salaire des travailleurs du Bangladesh, affirme le rapport du Centre Stern pour les affaires et les droits de l’homme de l’université de New York. Selon cette étude intitulée « Fabriqué en Ethiopie : les défis de la nouvelle frontière de l’industrie du vêtement », les salariés du Bangladesh, notoirement mal payés, gagnent 95 dollars par mois, ceux du Kenya 207 dollars et ceux de Chine 326 dollars.
Lire le décryptage : De la ferme à l’usine, la nouvelle vie des ouvrières éthiopiennes Lire notre reportage : L’Ethiopie, nouvelle usine du monde. Document 2 p 48. Document 2 (Les trois types d'échanges intra branches FB doc 3 p 61) Questions document 2. Document 3 (AH doc 3 p 47) Autoévaluation p 49. À retenir (WM p 45) Document la différenciation des produits (WM d 2 p 44) Document 3 p 49. Document 4 p 49. AH doc 4 p 47. Ah exo p 47.
Comment expliquer les échanges intra-branches? FB doc 4 p 61. Japon: le luxe sinon rien pour les voitures étrangères. Document 1 p 50. ENTREPRISES : Investissements et productivité. Document 2 p 50. Document 3 p 51. Document 4 p 51. Autoévaluation p 51. À retenir (WM p 47) Définitions 3. AH doc 2 p 48. Les déterminants de la compétitivité prix des firmes (EN doc 2 p 61) FB doc 3 p 67. FB doc 4 p 67. Coût salarial et compétitivité dans l'industrie (EN doc 3 p 61) Document 1 p. 52. Document 2 p 52. Document 3 p 53. Document 4 p 53. Autoévaluation p 53. À retenir (WM p 49) Les firmes multinationales et leur localisation. Le MOOC "C'est quoi l'éco ?
" est proposé par l'ENS de Lyon et les Journées de l'économie. À partir de brèves interviews réalisées lors des Journées de l'économie, ce cours de 6 semaines présente les raisonnements de 28 économistes sur les grands sujets de la discipline (la croissance, la monnaie, le commerce international, la politique économique, etc.). Nous mettons à votre disposition cette vidéo de d'Agnès Bénassy-Quéré et d'Olivier Bouba-Olga, spécialiste de géographie économique, extraite de la séquence de cours portant sur le thème "Le commerce international, la mondialisation : danger ou opportunité ? ".
Philippe Gattet, Xerfi Canal Comprendre la chaîne de valeur. AH doc 2 p 50 (questions sur le document précédent) L'internationalisation des chaînes de valeur mécanismes et effets attendus (EN doc 3 p 63) La compétitivité, c'est quoi ? Et comment l'améliorer ? La France est-elle compétitive ? - Décod'éco. Jamy retrace l'itinéraire d'un jean. Mondialisation : le tour du monde d'un jeans. FB doc 1 p 62. Quels sont les grands acteurs de la mondialisation (Sébastien Jean) melchior. La mondialisation des chaînes de valeur : entretien avec Ariell Reshef et Gianluca Santoni.
Ariell Reshef est directeur de recherche CNRS au Centre d'Économie de la Sorbonne (Paris 1 Pantheon-Sorbonne), professeur associé à Paris School of Economics et conseiller scientifique au CEPII.
Gianluca Santoni est économiste au CEPII. Ils ont rédigé, avec Sébastien Jean, le chapitre II « Les chaînes de valeur mondiales à l'épreuve de la crise sanitaire » de la publication annuelle du CEPII, L'économie mondiale 2021 (La Découverte, coll. Repères, septembre 2020). Portugal : le plus grand producteur de vélos d’Europe. Ces produits qui bouleversent le commerce mondial. Chaîne de valeur du concentré de tomate. La réalité cachée derrière le concentré de tomate "made in Italy" Question 4. Comprendre l'internationalisation de la chaîne de valeur et savoir l'illustrer. A partir des années 1990, le commerce international s’est rapidement développé avec l’expansion des chaînes de valeur mondiales (CVM).
La notion de chaîne d’activité décrit la séquence des opérations conduisant à la production d’un bien final. Une chaîne d’activité se mondialise lorsque ces activités sont réparties entre filiales ou sous-traitants établis dans plusieurs pays. Selon l’OMC, une chaîne de valeur mondiale est une succession des activités exécutées par les entreprises pour créer de la valeur lors des diverses étapes de la production (chaîne d’approvisionnement), mais aussi avec toutes les activités faisant partie de la chaîne de la demande (commercialisation, vente, service à la clientèle).
Une chaîne de valeur mondiale (CVM) est donc une série d'étapes dans la production d'un produit ou d'un service destiné à la vente aux consommateurs. Fragmentation de la chaîne de valeur. Youtube. COVID-19 : l'impact de la Chine dans les chaînes de valeur mondiales. Acteur encore mineur du commerce international au milieu des années 90, la Chine c'est désormais près de 11% des exportations mondiales de biens et services et un peu plus de 10% des importations, ce qui place l'Empire du milieu au 1er rang des pays exportateurs devant les Etats-Unis et l'Allemagne et à la 2ème place des pays importateurs derrière l'Amérique.
La Chine au centre des chaines de valeur mondiales Et encore, cette ascension, même fulgurante, de la Chine dans le commerce mondial rend insuffisamment compte de son réel rôle de plaque tournante. La mondialisation a complétement transformé les chaînes de valeur qui dans nombre d'activités ont éclaté tout en devenant plus globales sous l'égide des multinationales. La croissance des chaînes de valeur mondiales n’est pas enrayée. Notes : Dans le panel A, la courbe "participation aux CVM" indique la part des exportations mondiales traversant au moins deux frontières ; et celle des biens intermédiaires la part des biens intermédiaires dans le commerce mondial des biens manufacturés non énergétiques.
Cette dernière figure également dans le panel B, ainsi que ses deux composantes (courbes des biens semi-finis et des P&C). Nous poursuivons l’analyse en distinguant, au sein des biens intermédiaires, les pièces et composants (P&C) qui sont au cœur des CVM, et les produits semi-finis situés plus en amont. Dans le premier groupe se trouvent par exemple des pièces détachées de machines-outils ou des composants électroniques, dans le second des produits chimiques ou sidérurgiques. Les évolutions des parts des deux stades de production dans le commerce mondial diffèrent nettement (graphique 2.B). Le profil de la courbe des biens intermédiaires doit beaucoup à l’évolution des produits semi-finis (en trait pointillé jaune). Firmes multinationales.
Résumé Les firmes multinationales (FMN) sont parmi les acteurs les plus puissants de l’espace mondial.
Leur développement est à la fois la conséquence et l’un des moteurs essentiels de la mondialisation. Face à leurs stratégies globales et à leurs modes de fonctionnement transnationaux, les États peinent à instaurer un système de gouvernance qui permettrait de pallier les conséquences sociales et environnementales des activités des FMN. L'internationalisation de la chaîne de valeur. L'Éthiopie, la nouvelle usine de la Chine en Afrique. Les firmes multinationales françaises en 2019 : 48 200 filiales à l’étranger - Insee Focus - 252. Les firmes multinationales françaises : 6,8 millions de salariés En 2019, les firmes multinationales françaises (hors secteur bancaire et services non marchands) contrôlent 48 200 filiales à l’étranger dans plus de 190 pays (figure 1).
La moitié de ces firmes sont implantées dans un seul pays étranger. Document 4 Les avantages du libre-échange. Questions du document 4. Schéma à compléter doc 2 p 56. Document 2 p 54. Document 1 p 54. La mondialisation a fait exploser les inégalités. La courbe de l'éléphant. Document 3 p 55. Document 4 p 55. Pays ouvert aux échanges - Décod'éco. Autoévaluation p 55. Document 5 (FB doc 3 p 71) Document 3 p 57. Document 6 Une approche pragmatique du libre échange et du protectionnisme.