Voici comment les jeunes français consomment de l'information sur Facebook Temps de lecture: 7 min Facebook est devenu un lieu central des activités culturelles, informationnelles et communicationnelles sur internet. Au troisième trimestre 2016, d’après les chiffres communiqués par Facebook, il y aurait 30 millions d’utilisateurs actifs mensuels en France dont 24 millions sur le mobile (et 20 millions d’utilisateurs actifs quotidiens). De quoi encourager institutions, associations et médias à l’investir pour y promouvoir et y véhiculer les contenus qu’elles produisent. L’exposition à l’information peut y être volontaire (abonnements à des pages médias) ou accidentelle: un ami qui interagit avec un contenu d’actualité (like, partage, commentaire) et donc nous y expose dans notre fil d’actualités, ou alors un groupe auquel on est abonné qui va poster un contenu et/ou chercher à en discuter. Les pratiques d’information des 18-24 ans Cette activité se traduit dans les pratiques déclarées par une prédominance des supports numériques d’accès à l’information.
« 64 % de ce qui est publié en ligne est du copié-collé pur et simple » Doit-on être surpris par de telles estimations ? Probablement pas. D’une part, ce résultat est cohérent avec les principaux résultats de la littérature existante, et en particulier avec les travaux de P. J. Boczkowski, qui a mis en évidence l’homogénéisation de la production d’actualités en ligne en Argentine à partir d’une approche qualitative[+] NoteBoczkowski, P. [11]. Doit-on s’en inquiéter ? Par ailleurs – et c’est ce qui nous semble ici le plus inquiétant –, la combinaison du recours à la copie et de la vitesse de propagation de l’information risque de tuer à terme les incitations des médias à produire une information originale, à faire perdre à l’information originale toute valeur commerciale.
6 conseils pour mettre votre communauté de clients au service de votre marque Parmi les multiples bouleversements qu’il a apporté à la vie quotidienne, Internet a permis aux personnes partageant les mêmes goûts et affinités de se rassembler et de partager avec une facilité encore jamais vue par le passé. Une véritable aubaine pour de nombreuses marques qui, avec minimum de notoriété, voient s’épanouir une puissante communauté en ligne constituée des clients les plus fidèles et les plus enthousiastes. Une bonne gestion de communauté consiste à recruter des ambassadeurs de marque, mettre en place un vrai marketing participatif et conquérir de nouveaux prospects. Ci-dessous tous nos conseils pour optimiser l’animation de votre communauté. Soyez présent sur les supports utilisés par vos clients Une véritable stratégie de relation client communautaire suppose de ne pas attendre que vos clients vous trouvent, mais bien d’aller les chercher là où ils sont ! Les utilisateurs de vos produits et services sont, pour la plupart, des consommateurs assidus de contenus sur écran.
Adopter une attitude citoyenne sur les réseaux sociaux Dans le cadre de l’heure de vie de classe, élaboration d’un code de bonne conduite par les élèves de 4ème, à partir de leurs réflexions et des thèmes abordés pendant les séances. « Adopter une attitude citoyenne sur les réseaux sociaux » Cette séquence en direction des élèves de quatrième est issue d’une ancienne séquence élaborée dans le cadre du programme d’Education civique sur L’exercice des libertés individuelles. Elle met davantage l’accent sur la notion de cyberharcèlement. Déroulement 3 séances d’une heure chacune : classes de 27 à 30 élèves. Séance 1 : Risques et droits sur les réseaux. Présentation de l’objet de cette séquence. Visionnage 1 : vidéo « Le blog de Méhdi » ou quand l’utilisateur devient auteur de délits. Compte-rendu à l’oral de la compréhension du scénario. Notions à aborder dans ces échanges : responsabilité pénale, droit à l’image, cyberharcèlement, respect des personnes. Visionnage 2 : vidéo « Maître John » ou quand l’utilisateur devient victime de délits.
Les réseaux sociaux prennent une place croissante dans l’accès à l’information Facebook, YouTube, Twitter, ... Les plates-formes s’imposent devant les médias comme sources d’information LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Alexis Delcambre Une dizaine d’années à peine après la généralisation du Web comme support d’information, c’est à une nouvelle rupture, incarnée par le mobile et les réseaux sociaux, que les médias sont confrontés. Telle est la conclusion du dernier rapport sur l’information numérique publié, mercredi 15 juin, par l’institut Reuters d’étude du journalisme, de l’université d’Oxford (Royaume-Uni). Une étude réalisée par le biais d’Internet et basée sur plus de 50 000 réponses collectées dans 26 pays, dont la France. Principal enseignement : une majorité (51 %) de répondants utilise désormais les réseaux sociaux pour accéder à l’information. Facebook, grand gagnant Cette banalisation des réseaux sociaux comme porte d’entrée vers l’information fait un grand gagnant : Facebook. Lire aussi : Les Instant Articles de Facebook divisent les éditeurs
L'economie de l'information en continu. Réseaux-CAIRN, 2002 Notes Ces chaînes figurent parmi les plus regardées des bouquets du câble et du satellite en France. Selon la première étude MédiaCabSat de l’Institut Médiamétrie publiée le 28 août 2001, Euronews (4,04 millions de téléspectateurs de 4 ans et plus) arrivait en quatrième position des chaînes les plus regardées en « couverture semaine » (elle correspond à la proportion d’abonnés âgés de 4 ans et plus ayant regardé au moins une seconde la chaîne en moyenne par semaine, parmi la population des abonnés âgés de 4 ans et plus initialisés à cette chaîne), se situant derrière Eurosport, TV5 Monde et Paris Première. LCI (3,77 millions) figurait à la cinquième place dans le « top 10 », i>télévision arrivant bien plus loin avec 2,32 millions. Dans le cadre de cet article, nous avons choisi de nous intéresser essentiellement à la production des news diffusées dans les journaux et non à celle des magazines ou des émissions de débat qui peuvent exister sur ces chaînes. DARRAS et MARCHETTI, 2000.
S’informer : quand la source… ne coule pas de source Par Gautier Roos et Alexandra Yeh, France Télévisions, Direction de la Prospective Vous est-il déjà arrivé de discuter avec un ami, de parler d'une info tout juste publiée dans les médias... sans parvenir à vous rappeler où vous l'avez lue ? Pas d'inquiétude, vous n'êtes pas seuls : selon une étude du Pew Research Center publiée cette semaine, vous faites partie des 44% d'internautes incapables de citer la source des informations qu'ils consomment. Une analyse qui va au-delà des études (récurrentes) sur les nouvelles pratiques initiées par l’ère digitale, en s'intéressant non seulement à l'expérience de consommation des contenus d'info, mais aussi - et surtout - au souvenir qu'ils laissent aux internautes. L’accès à l’info en ligne : la home page résiste ! Premier enseignement plutôt surprenant de l’étude : les portails des éditeurs sont une voie d’accès aussi fréquentée (36%) que les réseaux sociaux (35%) pour accéder à l’info. Tous les chemins mènent à l’info
LES FEMMES LES PLUS INFLUENTES DE L’ANNEE 2017 DANS LES MEDIAS ET SUR TWITTER L’Argus de la presse | Groupe Cision dévoile les résultats de ses baromètres des femmes françaises les plus citées dans les médias traditionnels et sur le réseau social Twitter au cours de l’année 2017 dans trois catégories : politique, direction de grandes entreprises et médias/chaînes TV. Ce classement annuel compile les résultats des quatre baromètres trimestriels publiés par l’Argus de la presse | Groupe Cision en 2017. Ce premier baromètre révèle les résultats des femmes membres du gouvernement ou présidentes de commissions à l’Assemblée Nationale les plus citées dans les médias et sur Twitter. Ce classement des citations dans les médias traditionnels (presse et audiovisuel) consacre deux ministres de la Santé, Agnès Buzyn, du gouvernement Philippe, et Marisol Touraine, des gouvernements Ayrault puis Valls. Au classement des femmes du gouvernement les plus citées sur Twitter, on retrouve Agnès Buzyn en deuxième position, mais c’est Marlène Schiappa qui glane la première place.
Le parcours du combattant pour nettoyer sa vie numérique Boutiques en ligne, forums, jeux vidéo, médias... la vie d'un internaute est faite de nombreuses inscriptions, dont on perd le compte au fil des années. Depuis l'été dernier, votre serviteur a mené une longue expérience : supprimer ou mettre à jour plus de 200 comptes, en mettant à l'épreuve les sociétés concernées. Après plus d'une décennie en ligne, c'est décidé, il est temps d'assainir ma présence numérique. L'expérience, menée sur plus de 230 comptes en ligne, créés au fil des années, montre à quel point il est encore difficile d'avoir le plein contrôle de ses données personnelles. Le projet a duré d'août à fin avril, principalement à cause du temps requis par chaque modification, étonnamment important. Deux difficultés sont aussi venues égayer l'expérience. Sur plus de 230 sites, une cinquantaine supprimés Commençons par quelques statistiques. Selon les sites, j'ai tenté un changement d'e-mail avec alias (pour tracer d'éventuels spams) ou une suppression du profil.
Les réseaux sociaux imposent des formats particuliers à l'information et même si cela semble être anodin, il y a des conséquences. L'information traitée en story sur Snapchat est-elle complète? Ne mérite-t-elle pas d’être approfondie? by colinemme Oct 28