Equipe Sciences cognitives Comment Changer l'Ecole, Auteur à sciences cognitives L’équipe « Sciences cognitives, Comment changer l’Ecole » a connu une intense activité en 2016-2017. Elle est désormais constituée d’un noyau d’une trentaine de personnes exerçant les fonctions suivantes : . . . . . . . Au cours de l’année 2016-2017, elle a produit : – Plus de 40 conférences dans des établissements scolaires en majorité, mais également pour l’AEFE (Etablissements français à l’étranger), l’AFAE (Association française des acteurs de l’éducation), la DNE (division du numérique (ministère), plusieurs rectorats. – De très nombreux stages sur mesures en établissements ou pour des organisations de formation, animés par nos formateurs académiques ; – De nombreux ateliers de travail à la suite des interventions ; – Des interviews (Prim à bord, magazine Le Point, Le Monde, Apprendre et Réussir, Canopé), radio (Alligre) ; – Des interventions à l’étranger, en Bulgarie, Luxembourg, Argentine avec des représentants des 8 pays d’Amérique latine ;
Quick Classroom Exercises to Combat Stress The trauma and adversity that students are carrying into classrooms are changing how educators need to address learning and academic performance. Fifty-one percent of children in public schools live in low-income households, and when poverty levels exceed 50 percent, there’s a significant drop in academic performance across all grade levels. At the same time, 25 percent of all adolescents—including 30 percent of adolescent girls—are experiencing anxiety disorders. Adversity and trauma reside in our biology, not our psychology and cognition, so we educators need to prime students’ brains for learning. I’d like to describe some practices that not only address the stress response in the limbic brain areas, but also attend to sensory and motor systems in the brain stem area. Brain Breaks Funny talk: Have students loosely touch the roof of their mouth with their tongue and begin to speak. Tongue stretch: Have students use clean hands or a Kleenex to stretch their tongue as far as it can go.
La pyramide des besoins de Maslow – Psychologue du Travail La pyramide des besoins schématise une théorie élaborée à partir des observations réalisées dans les années 1940 par le psychologue Abraham Maslow sur la motivation. L’article où Maslow expose sa théorie de la motivation, A Theory of Human Motivation, est paru en 1943. Il ne représente pas cette hiérarchie sous la forme d’une pyramide, mais cette représentation s’est imposée dans le domaine de la psychologie du travail, pour sa commodité. Maslow parle, quant à lui, de hiérarchie, et il en a une vision dynamique. La pyramide est constituée de cinq niveaux principaux. Nous recherchons d’abord, selon Maslow, à satisfaire chaque besoin d’un niveau donné avant de penser aux besoins situés au niveau immédiatement supérieur de la pyramide. Source : C’est au contact de l’Autre que Je me modifie. 3 types de besoins non hiérarchisés, et non exclusifs : Source :
Cogniclasse-fr.over-blog.com - Les 5 sens au service de l'apprentissage Face à l'apprentissage, nos réflexes spontanés sont rarement les bons. Pourtant, les sciences cognitives nous enseignent que notre cerveau a des besoins élémentaires pour apprendre une nouvelle information, et que certaines conditions doivent impérativement être remplies pour bien comprendre une notion, d'une part, et pour la retenir correctement, d'autre part. Des résultats de la recherche les plus solides et consensuels en la matière, nous avons extraits 8 principes fondamentaux, 8 piliers de l'apprentissage durable. Découvrez-les dans notre dossier exclusif : "Les piliers de l'apprentissage durable". Un des piliers de l'apprentissage est de savoir comment présenter l'information à apprendre. Pourtant, il a été prouvé que multiplier les modalités sensorielles par lesquelles on communique une information (image + audio, par exemple) améliore largement sa compréhension et sa mémorisation. Comment expliquer un tel effet ? Conseils pratiques pour les les enseignants & formateurs
Qu'est-ce que la pyramide de Maslow ? Selon cet auteur, quelle que soit sa culture, une personne puise sa motivation dans cinq besoins qui sont hiérarchisés, chaque besoin non satisfait constituant une source de motivation potentielle (cliquer sur le lien tout en bas de la page pour avoir une version plus grande de la pyramide. Du point de vue managérial, il faut commencer par garantir les besoins de base (physiologiques et de sécurité) pour pouvoir ensuite travailler sur les besoins sociaux et psychologiques. Selon l'auteur, il est vain de répondre au besoin supérieur si celui qui est inférieur n'est pas traité. Ainsi, si le besoin de sécurité n'est pas assuré du fait d'une délocalisation ou d'un plan de licenciement, à quoi bon valoriser les signes d'appartenance à l'entreprise ? Les collaborateurs souhaiteront d'abord être rassurés et refuseront de participer aux grandes messes collectives. Les limites de cette théorie résident en trois points :
Who Is Afraid of Math? What Is Math Anxiety? And What Can You Do about It? · Frontiers for Young Minds Abstract Mathematics is a necessary skill that people use throughout their lives, such as when they travel, use money, or keep track of time. Therefore, mathematics is an important skill to learn at school. Unfortunately, many children and adults feel stressed and anxious when they have to do math. People who experience feelings of stress when faced with math-related situations may be experiencing what is called “math anxiety.” Have you ever felt stressed and anxious when your math teacher asks you a question? . Because math anxiety affects many people and is related to poor math skills, it is important to understand when and how math anxiety first appears, what is happening in the brain when people are feeling anxious about math, and how to best help people with math anxiety. When and How Does Math Anxiety First Appear? Until recently, scientists and educators thought that math anxiety first appears when children begin to learn complicated mathematics (such as algebra). . scanner [5]. .
Motivation, concentration, attention : 3 leviers indispensables pour un apprentissage réussi Motivation, concentration, attention… Connaissez-vous la différence entre ces trois termes ? Souvent utilisés sans distinction quand on parle d’apprentissage, il s’agit en réalité de phénomènes différents dont l’impact intervient à différentes étapes du processus d’apprentissage. Pour pouvoir en profiter au mieux dans la conception de vos contenus pédagogiques, il convient de bien les différencier. Commençons avec un exemple : Vous avez dans l’après-midi un entretien d’embauche. Afin de faire bonne figure, vous avez décidé d’apprendre un maximum de choses sur cette entreprise. Première possibilité : Vous manquez de motivation. Deuxième possibilité : Vous manquez de concentration. Enfin, troisième possibilité : Vous avez du mal à canaliser votre attention sur les détails importants de l’entreprise. Distinguer les sources de la motivation Comme illustré par cet exemple, la motivation peut être considérée comme la porte d’entrée vers les apprentissages. Repérer les freins à la concentration