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La stabilité émotionnelle : une compétence clé des managers

La stabilité émotionnelle : une compétence clé des managers
« J’ai été nommé manager car j’avais une solide expertise technique. Je pensais que cela suffirait à encadrer une équipe », nous raconte Charles, responsable juridique au sein d’un groupe bancaire. Penser que la seule compétence technique puisse suffire à manager une équipe est une erreur communément partagée par les directions d’entreprise. Dans les faits, un bon commercial fait rarement un bon responsable des ventes. Pour combler cette lacune, certaines directions proposent à leurs cadres nouvellement nommés des formations aux techniques de management : communication, conduite d’entretien, animation de réunions, etc. Les compétences acquises s’avèrent peu utiles, quand le manager n’est pas stable émotionnellement. « Six mois après ma nomination, j’ai du mettre en œuvre un changement d’organisation du travail au sein de mon service. Alors que faire pour donner à nos cadres cette compétence essentielle ? Etre stable. Se former. S’entraîner régulièrement. Avoir une hygiène de vie. Related:  management

Novéquilibres : conjuguons qualité de vie au travail et performance durable Le manque de sommeil nous rend immoraux Vous n'avez pas suffisamment dormi... et avez des envies de meurtre? Pas étonnant. Le manque de sommeil conduit non seulement à un état de fatigue physique pouvant entraîner des erreurs au travail, mais nous rend aussi plus immoraux, lit-on sur le Washington Post. C'est en tout cas ce que montre une nouvelle étude conduite par Michael Christian, de la University of North Carolina, et Aleksander Ellis, de la University of Arizona. Les chercheurs se sont penchés sur deux groupes de personnes, des infirmières et des étudiants. Ils ont fait passer une nuit blanche à la moitié d'entre eux, et leur ont ensuite demandé de remplir une tâche, explique le Financial Times. Qu'est-ce qui explique cette évolution? D'après les chercheurs, il est important que les conséquences dues à la privation de sommeil soient prises en compte dans milieu du travail. Les chiffres cités par les deux chercheurs sont éloquents. Photo: L'Invidia. publicité Devenez fan sur , suivez-nous sur

Les styles de direction – la décentralisation du pouvoir Introduction : Professeur de psychologie industrielle à l’Université du Michigan aux Etats-Unis, Rensis Likert (1903-1980) conduit des recherches sur les attitudes et les comportements humains au travail. […] I – Les styles de direction A – Les styles de direction selon Rensis Likert Professeur de psychologie industrielle à l’Université du Michigan aux Etats-Unis, Rensis Likert (1903-1981) conduit des recherches sur les attitudes et les comportements humains au travail. […] Il cherche à comprendre dans quelle mesure la nature des relations entre supérieurs et subordonnés peut conduire à des résultats très différents dans un contexte organisationnel identique. A partir d’enquêtes auprès de directeurs de grandes compagnies d’assurances, il observe que ceux qui ont les résultats les plus médiocres présentent des traits communs. Source : Jean-Michel Plane, Management des organisations, Dunod, 2003 1 – Le manager autoritaire Il ne fait aucune confiance à ses collaborateurs. La crise ?

Le slow management, au service d'une meilleure productivité - Cinq jours à la une - Société Séance de yoga pendant la pause déjeuner pour quelques salariés de Patagonia © Patagonia Le franco-américain Yvon Chouinard détient un MBA : un "management by absence". Il estime qu’il faut laisser ses salariés aller surfer. Cet alpiniste est devenu patron malgré lui, quand il a inventé son matériel puis ses vêtements de montagne. Le slow management consiste à éliminer les facteurs de stress de ses salariés et améliorer leur cadre de travail : espace de sieste, relaxation, covoiturage, flexibilité dans les horaires, cuisine collective, ruchers dans le jardin.

Clef RH : mes collaborateurs ne s’entendent pas ! Ça vient d’où ? Psychologie & Management (PERRIER) Je complète cet article (Temps de lecture ± 1mn30). Il est important d’axer les interrogations autour de la question du travail, de l’activité professionnelle. Car les difficultés tournant autour des histoires quotidiennes «du boulot» à faire ensemble, lorsqu’elles sont non résolues, non débattues, dérivent en «mal-entendus» et en querelles de personnes : «J’en fais une affaire personnelle !». Travailler ce n’est pas seulement produire, c’est aussi vivre ensemble une aventure humaine. Bah oui, tout le monde dans le même bateau ! Mais s’il n’est pas nécessaire de s’aimer ni même de s’apprécier pour travailler ensemble, il est nécessaire de s’entendre sur le travail à faire et comment le faire, pour réussir quelquechose qui satisfasse tout le monde. Managers, remontez patiemment l’histoire professionnelle de votre équipe, de vos collaborateurs installés dans la relation dégradée. Donnez-vous du temps pour tout cela. Emmanuelle PERRIER Pour aller plus loin… Like this: J'aime chargement…

Avez-vous déjà testé le slow management Est-il encore possible de revoir la course folle des entreprises et le rôle des employés dans ses structures? Les défenseurs du slow management considèrent ce concept comme le modèle garant d'une bonne gestion du temps des forces vives. Travailler autrement... Le slow management est le petit dernier d'une famille dont le patriarche est le slow food apparu à la fin des années 80. Le slow managment a son slogan: "Remplacer le toujours plus par le toujours mieux!" Une théorie remise en avant suite aux nombreux cas de suicides récents vécus dans le monde de l'entreprise à cause de situations de stress et de management agressif. Le slow management en cinq points: Le slow management se veut durable La notion de "court-termisme" est à revoir. Le slow management veut remettre la qualité à l'honneur Lorsque la "création de qualité" sera remise à l'honneur et redeviendra le ciment du business, ce dernier ralentira par obligation. Le slow management s'attaque aux causes Texte: L.

Hein ? Quoi ? Comment ? Pensez avant de panser ! Je comprends mieux mon incompatibilité aux systèmes éducatifs classiques ! Oh ce mal au ventre avant d’aller en classe tous les matins plus jeune, terrible ! :D Or ce n’est pas l’école qui est obligatoire mais l’instruction. Vi ! Toute la différence est là ! La vidéo qui suit illustre les différences entre les personnes dans leurs modes d’acquisition et de traitement d’informations, de connaissances ! A ceux qui sont responsables de l’encadrement de personnes, il est sans doute important de réussir à dire et demander, de plusieurs manières, afin d’optimiser la réussite de ce que vous attendez qu’il soit fait. Parce qu’un manager est forcément un peu psychologue quelque part : pensez avant de panser ;-) Comme c’est celui qui reçoit le message qui lui donne un sens, à vous émetteur(s), de faire déjà en sorte que la levée d’ambiguïtés soit la meilleure possible ! Emmanuelle PERRIER Pour aller plus loin… Like this: J'aime chargement…

Comment les « leaders toxiques » nuisent aux personnes… et aux organisations Theo Veldsman, University of Johannesburg Les cas de leadership toxique se multiplient et pèsent lourd sur les organisations dans le monde entier. On les rencontre de plus en plus souvent dans la vie quotidienne au travail, mais on le mesure aussi grâce aux travaux des chercheurs qui estiment qu’un dirigeant sur cinq se révèle toxique. Dans les enquêtes que j’ai conduites, j’ai mis en évidence que près de trois dirigeants sur dix sont toxiques. Ce cancer de la toxicité menace aussi bien le bien-être des individus que des organisations. Le mot « toxique » vient du grec toxikon qui signifie « poison de flèche ». Qu’est-ce qu’un leader toxique ? Le management toxique représente le côté obscur du leadership : il est nuisible pour les individus autant que pour les organisations. Une organisation toxique est celle qui érode, désactive et détruit le bien-être physiologique, psychologique et moral des personnes qui y travaillent de façon permanente et délibérée. Dirigeants toxiques typiques

Motivation durable intrisèque Psychologie & Management (PERRIER) Et hop ! Je rebondis sur le court billet intéressant de Raphaël Georges. Vos troupes manquent de motivation et se plaignent de non-reconnaissance ? Arrêtez-vous 2 minutes et demandez-vous ce qui vous donne le plus de plaisir au travail ? N’est-ce pas fondamentalement de réussir à faire du bon boulot ! Bien sûr, les reconnaissances des collaborateurs et supérieurs tout comme être correctement rémunéré, comptent. Clef managériale : trouver comment rendre ses équipes satisfaites, c’est d’abord leur demander comment elles aimeraient pouvoir faire leur travail correctement. Go go go ! Emmanuelle PERRIER Pour aller plus loin… Like this: J'aime chargement…

L'antidote du "slow management" C'est à la Foire de Paris qu'il faut aller chercher l'inspiration managériale, cette semaine. Dans un monde agité, elle invite ses visiteurs à retrouver leur tortue intérieure. Le mouvement "slow" sert de fil rouge à la manifestation, lame de fond mondiale née en Italie il y a vingt ans avec le "slow food" et portée depuis dans divers domaines par les philosophes, ethnologues et sociologues. Dans l'entreprise, le mouvement pourrait faire tache d'huile. Le "slow management" peut montrer la voie. Nombre de spécialistes dénoncent aujourd'hui le danger de stigmatiser les travailleurs plutôt que le travail et laisser la médecine du travail, les RH et les instances représentatives du personnel régler seules la question. "J'ai plus de membres du Codir à mes réunions lorsque je les intitule "démarche qualité de vie au travail" que lorsque j'annonce "évaluation des risques psychosociaux", témoigne Matthieu Poirot.

Le blog de Xavier Fontanet Management Intergénérationnel Intergénérationnel Pour découvrir un autre regard sur l'intergénérationnel L’ère du management paradoxal C’est histoire du verre à moitié plein ou à moitié vide ! A l’évocation du mot “intelligence collective”, certains comprennent “perdre le contrôle”, anarchie, désordre,… ; d’autres comprennent innovation, résolution de problème, performance collective, valorisation des intelligences et des expertises pour mieux produire et mieux vendre. Dans les entreprises, l’intelligence collective n’existe pas. Il faut la créer par la volonté des dirigeants (c’est une décision, une vision, un paradigme et non le constat résigné qu’on fait que cela existe ou que cela n’existe pas). Mais, peut-on vouloir créer et gérer l’intelligence collective si on a peur de produire du désordre, de l’anarchie ? Pour répondre à la question, je vous propose le concept de management paradoxal qui induit l’idée d’une organisation paradoxale. Voici une carte de l’organisation paradoxale montrant les 8 parties indispensables à la construction d’une entreprise performante : Ordre ou désordre… ou chaos ? Les quatre dimensions

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