La protection du panda, rentable pour l’environnement Le panda, symbole de la biodiversité chinoise C’est un débat récurrent au sein des experts en biodiversité: faut-il dépenser de (maigres) ressources financières à sauvegarder les milieux ou à protéger quelques espèces charismatiques? La question peut notamment se poser pour le panda qui, s’il était moins mignon, ferait certainement l’objet de moins d’efforts de protection. Or une étude menée par Fuwei Wen, zoologiste à l’Académie chinoise des sciences (Pékin), et ses collègues révèle que le jeu en vaut largement la chandelle: les chercheurs ont chiffré les services écosystémiques rendus par la protection du plantigrade, les comparant aux fonds investis (255 millions de dollars, soit 220 millions d’euros, en 2010). 67 réserves forestières Pour les services écosystémiques de nature culturelle, dont le tourisme, les bénéfices sont estimés à 709 M$, mais à environ 5 Md$ pour leurs apports culturels totaux (art et folklore, valeurs spirituelles, etc.).
Les plantes bio-indicatrices, ces aides spontanées peu appréciées | Les jardins de Noé Tout bon jardinier finit par s’intéresser à son sol. Caractéristiques physiques, chimiques, il est déterminant de connaître l’état d’enrichissement de la terre afin d’adapter ses cultures et réussir de bonnes récoltes. Quand certains décident de faire appel à un bureau spécialisé dans l’analyse du sol et disposent de compétences pour comprendre les résultats, d’autres préfèrent étudier par extension les plantes qui y poussent naturellement. Gain de temps et d’argent incroyable, nous vous en présentons certaines ci-dessous. (Source : Samuel Dhier / Biosphoto) Les herbes spontanées, ces pousses intempestives pullulant parfois sur les terrains sont d’excellents indicateurs de la qualité du sol, bien souvent présents pour le protéger ! Il sera possible de récupérer des informations de nature variée, comme la compaction du sol, la texture, les taux d’azote et de potassium, humidité, pH, acidité… Des herbes pas si mauvaises que ça Il en existe deux types. (Source : Breuer Wildlife / Biosphoto)
How to: Make a Modern, Space-Saving Vertical Vegetable Garden | Man Made DIY | Crafts for Men This modern, modular garden project works well in any space. Because it uses wood containers, you don't have to worry about the quality of your existing soil, and they can sit on any surface: grass, concrete, gravel or even a wooden deck. The garden's vertical orientation lets you grow a whole bunch of veggies, herbs, and flowers in a tiny footprint.The boxes are customizable to fit your space - all you need is solid wall or fence to attach the structure to, and you can put this guy anywhere. Oh! If you want to learn to make your own, you can sign for this free DIY Workshop at your local Home Depot. The Vertical Gardening Workshop takes place this Saturday, April 11, 2015 from 10:00 - 11:30AM. Tools and Materials: Building the Boxes: I built my project out of "one-by" cedar material. The main boxes measure 10" high by 23" long and 7 1/4" wide. The slats on the sides are made from cedar 1x2 material, cut to 23". Then, line the sides and the bottom with weed barrier cloth. Tagged:
PagePrincipale Ce site répertorie différentes ressources pédagogiques sur les plantes messicoles. Il sert de support de capitalisation et de mutualisation des travaux menés depuis 2005 par un réseau d'acteurs de l'enseignement agricole, de la recherche, de l'agriculture et de la conservation des espèces et des espaces. Ce réseau s'est construit de manière informelle autour des actions de formation et de sensibilisation menées par l'Institut d'Ã? Ce site est collaboratif, vous pouvez ajouter une ressource ou une actualité, ou devenir un membre actif en remplissant une fiche acteur et en vous inscrivant à la liste de discussion ou aux flux RSS Pour toute question technique, contacter marie-claire.chardes@supagro.fr ou marie-laure.girault@supagro.fr Qu'est-ce qu'une plante messicole ? "messicole" provient du latin messis = moisson, associé au suffixe â?? Quelques photos prises par les membres du réseau Messicoles...
La Gestion Différenciée | Gestion Différenciée La mise en place de la gestion différenciée n’est pas réservée à quelques privilégiés, spécialistes de l’écologie. Il ne faut pas avoir peur d’amorcer les choses de manière simple. Nul n’a besoin d’être spécialiste pour constater la vie grouillante qui anime une prairie fleurie. Se lancer dans la gestion différenciée peut se faire de manière simple. La gestion différenciée entraîne de profonds changements dans la perception de l’espace vert. Il est important, dans un premier temps que les élus et techniciens s’approprient cette nouvelle vision de l’espace. C’est une étape essentielle qui doit intervenir dès les premières interventions visibles voire en amont de certaines actions. C’est une étape essentielle qui doit intervenir dès les premières interventions visibles voire en amont de certaines actions (concertation). La Mission Gestion Différenciée propose de nombreux outils vous permettant de communiquer sur la GD. Le plan de gestion est composé de :
La compensation, un « permis de détruire » la nature ? Vraie ou fausse solution ? Comparée à une compensation « à la demande », réalisée au cas par cas après une construction, la compensation par l’offre apparaît plus efficace : elle permet d’anticiper la destruction d’un habitat ; elle peut être planifiée sur des sites plus vastes et mieux connectés aux autres écosystèmes ; et plus facile à contrôler. Mais cette opération, simple coût à budgéter pour les aménageurs et maîtres d’ouvrage qui en ont les moyens, ne serait-elle pas un peu « trop facile » ? Elle risquerait alors, dénonce Attac, de servir de « dérivatif facile et généralisé aux étapes visant à éviter et réduire les dégradations écologiques », et finalement, de « véritable droit à détruire ». Autre critique : la compensation par l’offre conduirait à une « privatisation de la protection de la nature », selon Attac. De manière générale, tout mécanisme de compensation ne laisse-t-il pas croire qu’un écosystème dégradé et ses populations sont substituables ?
Saisie simplifiée du CEL - messicoles Céréale Plante cultivée principalement pour ses grains, c'est-à-dire ses fruits (caryopses), utilisés dans l'alimentation de l'Homme et des animaux domestiques, souvent moulus sous forme de farine raffinée ou plus ou moins complète, mais aussi en grains entiers (ces plantes sont aussi parfois consommées sous forme de fourrage). En botanique, les céréales regroupent des plantes de la famille des Poacées (ou Graminées). Certaines graines d'autres familles botaniques sont parfois communément appelées céréales, telles que le sarrasin (Polygonacées), le quinoa et l'amarante (Chénopodiacées) ou le sésame (Pédaliacées). Friche Zone, terrain ou une propriété qui n'est pas ou plus cultivée ni entretenue. Maraichère La culture maraîchère concerne les légumes, les petits fruits, les fines herbes et fleurs à usage alimentaire, de manière professionnelle. Vigne Plantes grimpantes de la famille des Vitaceae, du genre Vitis. Verger
Glaïeuls : conseils pour étaler leur floraison ? Les glaïeuls offrent de belles floraisons, grâce à leurs hampes érigées et à la diversité de leurs coloris. Ces plantes mesurent de 0,80 à 1,60 mètre de hauteur. Leurs fleurs sont groupées en épi vertical. Chaque fleuron est très voisin du suivant et s'ouvre de bas en haut. Les hybrides donnent ainsi jusqu'à 20 fleurs et plus, de diverses couleurs, sauf le bleu, parfois même multicolores. La floraison du glaïeul s'étale entre juillet et septembre. Étalez la plantation de vos bulbes, appelés « cormes ». Le glaïeul aime le plein soleil et une terre légère et sablonneuse, mais il pousse très bien dans n'importe quel sol de jardin enrichi de terreau et de tourbe. Avant l'hiver, il faudra récupérer vos cormes, afin de les protéger du froid. Intéressé par ce que vous venez de lire ? Abonnez-vous à la lettre d'information La question de la semaine : notre réponse à une question que vous vous posez, forcément. En savoir plus sur Michel Caron
La Gestion Différenciée : méthodolo... - Plante & Cité [ Fiche de synthèse ] [ Publié en 2014 ] Economie et management Communication et sensibilisation, Matériel - Matériau - Equipement, Santé et sécurité au travail, Pratique de gestion et d'entretien durable année de réalisation : Rédacteur(s) : CHASSAING Baptiste objectifs : Accompagner les services des espaces verts et de l’environnement municipaux vers un plan de gestion différenciée des espaces jardinés et naturels, en abordant la question de la méthodologie de mise en place. résumé : La Gestion différenciée, complexe fil conducteur des services espaces verts communaux, devient le symbole d’un mode de gestion plus écologique et s’inscrit comme l’alternative à la gestion horticole « classique ». En quoi consiste-elle vraiment ? Cette fiche de synthèse répondra à ces questions en apportant des éléments techniques et des exemples de réalisation. codes qualité - développement durable - entretien - espaces verts - gestion des coûts - gestion différenciée - management - sensibilisation - écopaysagisme
l'arbre de nos bourgs : carnet de santé - CAUE L’arbre est un élément fondamental de nos paysages vendéens. Il est un être vivant à part entière, qui signe de sa présence la continuité dans le temps. Dans nos bourgs, l’arbre participe à la qualité de notre cadre de vie. Il symbolise la nature au cœur des villes et des villages par ses valeurs historiques, sociales, écologiques. Il ne doit pas être considéré simplement comme un élément de décor. En 1993, le Conseil Général de la Vendée a décidé de lancer la “Semaine de l’Arbre“ pour sensibiliser les jeunes vendéens à l’importance de l’arbre et de la haie dans la valorisation de nos paysages. Soucieux de préserver et de transmettre ce patrimoine, le Conseil en Architecture Urbanisme et Environnement de la Vendée, a souhaité réaliser ce Carnet de santé de l’arbre, véritable outil de sensibilisation, mais aussi guide pratique, indispensable aux élus et aux professionnels. Que chacun puisse en faire le meilleur usage et contribuer à préserver notre environnement.
Les instruments de marché pour la biodiversité : la nature à tout prix ? Policy Briefs N°02/2011. Iddri, 2011. 4 p. Présentation : Cette synthèse rédigée par Damien Conaré constitue un compte-rendu des interventions lors de la conférence internationale « Les instruments de marché pour la biodiversité : la nature à tout prix ? » organisée par la Fondation d’entreprise Hermès et l’Iddri au Théâtre de la Cité internationale à Paris, le 08 juin 2011. Cette conférence a eu pour objectif : de clarifier la notion d’IM, encore très confuse ; de présenter un panorama de ces instruments utilisés pour la conservation de la biodiversité et la mise en œuvre de services écosystémiques ; d’évaluer leur pertinence et leur légitimité ; et, enfin, d’analyser leur intégration dans les politiques publiques. Article : Au cours de ces vingt dernières années, le rôle de l’écono- mie dans la lutte contre les problèmes d’environnement n’a cessé de prendre de l’importance. Une gamme d’instruments très hétérogène Quelques exemples de références aux marchés Des gains réels d’efficacité ?