60 ans que l'agriculture a tout faux PARADIGME. "C’est un nouveau paradigme" s’enthousiasme Cyrille Violle, chercheur au Centre d’écologie fonctionnelle et évolutive (CEFE-CNRS/université de Montpellier). Dans le cadre du projet PRAISE sur l’amélioration génétique des prairies semées (financé par l’Agence nationale de la recherche), le CEFE et l’Inra de Lusignan dans la Vienne ont mené une expérimentation originale par sa démarche et totalement nouvelle pour la science. "Pendant un an, nous avons cultivé sur 120 mini-parcelles de 1,2 m sur 1,3 cinq espèces fourragères (luzerne, trèfle blanc, ray-grass, dactyle, fétuque), explique Cyrille Violle. Des parcelles ont accueilli une seule plante en monoculture, d’autres les 5 en polyculture, et nous avons également fait varier la diversité génétique, certaines parcelles n’abritant qu’un seul type, d’autres cinq ou dix génotypes". Un an et demi plus tard, les chercheurs ont récolté, pesé et comparé la production en matière sèche de chacune des parcelles. CLONES.
Les abattoirs, lieux de terreur et de souffrance | Jean-Jacques Kona-Boun Le 13 juin dernier ont eu lieu de grands rassemblements, à Montréal et dans plusieurs autres villes du monde, afin de manifester l'opposition grandissante à l'exploitation des animaux par l'être humain, cette exploitation qui prend de nombreuses formes, souvent insidieuses et hypocritement camouflées au plus profond de nos habitudes de vie les plus ordinaires. La manifestation du 13 juin visait plus particulièrement la forme d'exploitation qui est responsable de la souffrance du plus grand nombre d'animaux, celle dont sont victimes les animaux de consommation et qui résulte inévitablement en de la souffrance. La capacité que possèdent les animaux de souffrir, physiquement mais aussi psychologiquement, n'est plus remise en question de nos jours. La science est là pour confirmer abondamment cette vérité. Toutefois, ce n'est peut-être pas dans cette reconnaissance de la capacité qu'ont les animaux de souffrir que réside le véritable défi moral de notre civilisation. Close
Site national des AMAP France | The Meatrix For subtitles, click play, then hover over arrow for more language options. The Meatrix is committed to helping educate people around the world about sustainable food. We encourage you to take action locally – check out the organizations listed below to find ways to get involved. Please help us keep this page current by sending information about additional organizations to leo@themeatrix.com. Also in French. Alliance Paysans Ecologistes Consommateurs (PEC) The “Alliance of Farmers, Ecologists and Consumers” includes national farmers, consumers and environmental organizations, as well as regional alliances, and is part of the European Network for Sustainable Agriculture and Food (REPAS). AMAP (Association pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne) The “Association for the Maintenance of Family Farming” (AMAPs) are “proximity partnerships” between a group of consumers and a farm, usually located in suburban areas. Confédération Paysanne (CP) Réseau Agriculture Durable Nature & Progrès Biocoop
Vivre écolo ne coûte pas forcément un bras, au contraire Manger bio, refaire l’isolation de son logement, opter pour un fournisseur d’énergie alternatif, ne vivre que du tout recyclable et des marques écoresponsables: pour beaucoup, l’écologie est un sport par et pour les riches. Pourtant, en adoptant une démarche écoresponsable, il y a surtout des économies à la clé. Pour cela, il faut être malin, patient et persévérant. C’est bien connu: être écolo, «c’est un truc de bobos». D’ailleurs, si on se réfère aux statistiques de l’Insee, pour les ménages les plus modestes, l’alimentation et le logement seuls représentent plus du tiers du budget annuel (22% pour les foyers les plus aisés). Produits écologiques plus chers au premier abord Mais ce raisonnement est à bannir. Il est vrai qu’après comparaison les produits estampillés écologiques ou respectueux de l’environnement sont généralement (un peu) plus chers à l’achat –investir dans de l’électroménager moins énergivore comme dans une maison écologique coûte généralement 15 à 20% plus cher.
Tout comprendre aux 1000 vaches | Blog Envie de Paysans 1000 vaches, méthanisation, ferme-usine, subventions publiques …Grâce à une infographie pédagogique, nous vous proposons d’y voir plus clair dans ce projet de ferme-usine et de tout comprendre à l’usine à gaz des 1000 vaches. (Cliquez sur l’image pour découvrir l’infographie) Pour approfondir et mieux comprendre pourquoi le projet ne doit pas se faire : D’ici là, pour en savoir plus sur les 1000 vaches : Revivre en images les actions de désobéissance des paysans de la Conf’ : Illustrations et graphisme @Rémi Mercier Partager 4
Les vaches n'ont pas de sentiments: l'auto-persuasion qui nous permet de manger de la viande Pourquoi un caniche aurait-il plus de sentiments qu’un agneau? Votre chat est-il plus intelligent qu’un veau? Des questions auxquelles des psychologues australiens ont indirectement soumis des étudiants via des tests sur leur perception des pensées des animaux. Selon les résultats de cette étude, publiés dans le Personality and Social Psychology Bulletin, l’homme s’auto-persuade de l’absence de pensée chez les animaux qu’il retrouve dans son assiette. Sans ça, impossible de dévorer un adorable petit agneau ou une vache au regard touchant. Pas de sentiments pour la boucherie Trois tests ont été menés par les psychologues. Le deuxième test a démontré que les mangeurs de viande avaient tendance à nier la souffrance animale lorsqu’on leur rappelle le lien entre la viande et la mort des animaux. 66 carnivores ont observé deux photos: une vache et un mouton dans une prairie. Le «paradoxe de la viande» Audrey Chauvet
Vers un bouleversement de notre modèle alimentaire, par Claude Aubert (Le Monde diplomatique, 2007) Le même type d’alimentation s’est imposé dans tous les pays industrialisés, en dépit des différences héritées des traditions et liées aux ressources propres à chaque pays. Il se caractérise par : – une agriculture utilisant de grandes quantités d’intrants, notamment engrais et pesticides ; – une industrie agroalimentaire puissante proposant de plus en plus d’aliments transformés, souvent prêts à consommer, et contenant des additifs chimiques ; – une offre extraordinairement diversifiée, ne tenant plus compte des saisons ni de l’origine géographique ; – des habitudes alimentaires profondément modifiées. Ces transformations se caractérisent par trois éléments. Il faut, à ce propos, en finir avec l’argument selon lequel l’augmentation constante de l’espérance de vie serait la preuve d’une nutrition adéquate. Écologique et sanitaire Quel doit donc être le modèle alimentaire de demain ? Faut-il pour autant revenir à l’agriculture et à l’alimentation de nos aïeux ? Laura Margueritte, cartographe.
Le pire moyen de manger des œufs