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Ce que récolte Google : revue de détail

Le temps n’est plus où il était nécessaire d’alerter sur la prédation opérée par Google et ses nombreux services sur nos données personnelles. Il est fréquent aujourd’hui d’entendre dire sur un ton fataliste : « de toute façon, ils espionnent tout » Si beaucoup encore proclament à l’occasion « je n’ai rien à cacher » c’est moins par conviction réelle que parce que chacun en a fait l’expérience : « on ne peut rien cacher » dans le monde numérique. Il manquait toutefois un travail de fond pour explorer et comprendre, une véritable étude menée suivant la démarche universitaire et qui, au-delà du jugement global approximatif, établisse les faits avec précision. C’est à quoi s’est attelée l’équipe du professeur Douglas C. Si vous trouvez un intérêt à cette traduction et souhaitez que Framalang vous propose la suite nous ferons de notre mieux… Traduction Framalang : Alain, fab, FranBAG, Goofy, jums, Khrys, Mika, Piup, serici Un premier aperçu 1. 2. 3. 4. a. b. c. d. e. f. g. Related:  Internet, réseaux sociauxGoogle

Les données que récolte Google, document complet Ces dernières semaines nous avons publié par chapitres successifs notre traduction de Google Data Collection, l’étude élaborée par l’équipe du professeur Douglas C. Schmidt, spécialiste des systèmes logiciels, chercheur et enseignant à l’Université Vanderbilt. Vous trouverez ci-dessous en un seul document sous deux formats (.odt et .pdf) non seulement l’ensemble des chapitres publiés précédemment mais aussi les copieuses annexes qui référencent les recherches menées par l’équipe ainsi que les éléments qui ne pouvaient être détaillés dans les chapitres précédents. Traduction Framalang pour l’ensemble du document : Alain, Barbara, Bullcheat, Côme, David_m, fab, Fabrice, FranBAG, Goofy, jums, Khrys, Mika, Obny, Penguin, Piup, Serici. Nous avons fait de notre mieux, mais des imperfections de divers ordres peuvent subsister, n’hésitez pas à vous emparer de la version en .odt pour opérer les rectifications que vous jugerez nécessaires.

Surveillance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Caméras de surveillance. La surveillance est la fonction d’observer les activités humaines. Dans le domaine purement technique, on parle aussi de supervision ou de monitoring. La surveillance peut être secrète ou évidente. La contre-surveillance est la pratique d’éviter la surveillance ou de la rendre difficile. La sousveillance, ou la surveillance inversée, est la pratique inversée de la surveillance, comme les citoyens photographiant la police ou des clients photographiant des vendeurs. La surveillance clinique est le contrôle d’évènements avec un risque ou impact significatif sur la santé publique (comme les maladies infectieuses ou maladies chroniques). L’effet de la surveillance[modifier | modifier le code] Le plus grand effet de la surveillance informatisée est le grand nombre d’organisations impliquées dans les opérations de surveillance : Communication téléphonique[modifier | modifier le code] Services postaux[modifier | modifier le code]

Annonce : Quand les mots valent de l’or Le succès de Google tient en deux algorithmes : l’un, qui permet de trouver des pages répondant à certains mots, l’a rendu populaire ; l’autre, qui affecte à ces mots une valeur marchande, l’a rendu riche. La première de ces méthodes de calcul, élaborée par MM. Larry Page et Sergey Brin alors qu’ils étaient encore étudiants en thèse à l’université Stanford (Californie), consistait en une nouvelle définition de la pertinence d’une page Web en réponse à une requête donnée. En 1998, les moteurs de recherche étaient certes déjà capables de répertorier les pages contenant le ou les mots demandés. Mais le classement se faisait souvent de façon naïve, en comptabilisant le nombre d’occurrences de l’expression cherchée. Au fur et à mesure que la Toile s’étendait, les résultats proposés aux internautes étaient de plus en plus confus. — L’enchère sur un mot-clé. — Le calcul du score de qualité de la publicité. — Le calcul du rang.

Reprenons le contrôle de nos données Nos téléphones portables, ordinateurs, cartes bancaires ou de fidélité collectent chaque jour de nombreuses informations qui en disent long sur nous. Comment éviter les utilisations abusives et garder le contrôle de nos données personnelles ? Spécialiste du logiciel libre, Roberto Di Cosmo nous livre son analyse et invite la communauté scientifique à s’emparer de la question. Les technologies liées à l’informatique évoluent à une vitesse vertigineuse : la taille de la mémoire et de l’espace disque disponible, la puissance de calcul et la vitesse d’échange des informations ont gagné chacune deux ordres de grandeur en seulement dix ans. Enregistrement de données sur la page Web d’une compagnie aérienne. En contrepartie, une partie grandissante de nos informations personnelles se retrouve elle aussi numérisée, mise en ligne, et rendue disponible. Une invasion sans précédent de la vie privée Renforcer la protection des données personnelles

Surveillance globale La surveillance globale fait référence à la mise en place d'une surveillance mondialisée sur des populations entières, par-delà les frontières nationales. Ses racines historiques remontent au milieu du XXe siècle, notamment après l'adoption conjointe par les États-Unis et le Royaume-Uni de l'accord secret UKUSA, qui a abouti à la mise en place d'un premier réseau de surveillance mondial connu sous le nom de code « Echelon »[1],[2]. L'existence de cette surveillance globale, cependant, n'a été largement reconnue qu'après la couverture médiatique des révélations d'Edward Snowden, qui ont déclenché un débat politique mondial en 2013 sur le droit à la vie privée à l'ère du numérique. Contexte historique[modifier | modifier le code] Comme l'a confirmé le directeur de la NSA Keith Alexander le 26 septembre 2013, la NSA collecte et stocke toutes les données téléphoniques de tous les citoyens américains. « Aujourd'hui, ce système de surveillance globale continue de grandir. — George W.

[Vidéo] Google sait-il tout de vous ? (2019) Cet article date de plus de quatre ans. Publié le 12/06/2019 22:02 Mis à jour le 13/06/2019 14:50 Durée de la vidéo : 3 min Si vous utilisez des applications de Google, toutes vos activités sont consignées dans un fichier contenant vos données personnelles. Google en sait beaucoup plus sur vous que vous ne le croyez. >> J'ai fouillé dans les données que Google conserve sur moi depuis treize ans (et rien ne lui échappe) Google peut vous suivre à la trace, grâce à vos coordonnées GPS. "Les annonceurs peuvent diffuser de la publicité à un groupe d'individus ayant démontré un intérêt pour le cinéma sur Google par exemple, mais ne peuvent diffuser spécifiquement une publicité sur la base d'un profil personnel identifié", a répondu l'entreprise. Partager : l'article sur les réseaux sociaux

Are you ready? This is all the data Facebook and Google have on you | Dylan Curran Want to freak yourself out? I’m going to show just how much of your information the likes of Facebook and Google store about you without you even realising it. Google knows where you’ve been Google stores your location (if you have location tracking turned on) every time you turn on your phone. Click on this link to see your own data: google.com/maps/timeline? Here is every place I have been in the last 12 months in Ireland. Google knows everything you’ve ever searched – and deleted Google stores search history across all your devices. Click on this link to see your own data: myactivity.google.com/myactivity Google has an advertisement profile of you Google creates an advertisement profile based on your information, including your location, gender, age, hobbies, career, interests, relationship status, possible weight (need to lose 10lb in one day?) Click on this link to see your own data: google.com/settings/ads/ Google knows all the apps you use Google has all of your YouTube history

Comment les entreprises surveillent notre quotidien Vous croyez tout savoir déjà sur l’exploitation de nos données personnelles ? Parcourez plutôt quelques paragraphes de ce très vaste dossier… Il s’agit du remarquable travail d’enquête procuré par Craked Labs, une organisation sans but lucratif qui se caractérise ainsi : … un institut de recherche indépendant et un laboratoire de création basé à Vienne, en Autriche. … Il a été créé en 2012 pour développer l’utilisation participative des technologies de l’information et de la communication, ainsi que le libre accès au savoir et à l’information – indépendamment des intérêts commerciaux ou gouvernementaux. Bien sûr, vous connaissez les GAFAM omniprésents aux avant-postes pour nous engluer au point que s’en déprendre complètement est difficile… Mais connaissez-vous Acxiom et LiveRamp, Equifax, Oracle, Experian et TransUnion ? Il existe une industrie très rentable et très performante des données « client ». L’article est long, vous pouvez préférer le lire à votre rythme en format .PDF (2,3 Mo)

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