ina Témoignages sur le STO quand les nazis déportaient en Norvège et en Lettonie. Imaginez la scène: dans le froid intense de cette fin de novembre, un groupe de personnes se retrouve sur un quai du port d'Oslo. Ils semblent abattus et en même temps déterminés. L'un d'entre eux lit une liste de noms puis ils se recueillent et repartent dans la nuit qui est tombée si rapidemment. Ce groupe commémore ainsi chaque année, le 26 novembre à 16 h, la déportation de 768 Juifs de Norvège, raflés puis expédiés vers l'extermination. Parmi ces personnes, se tient Leif Knutsen. Dans la nuit du 25 au 26 novembre 1942, la police norvégienne qui s'est mise au service des nazis procède à une rafle dans les domiciles, les hôpitaux, les camps et emmène vers Oslo 768 Juifs, y compris des enfants et des malades hospitalisés.Le nombre total des Juifs de Norvège est alors de 1800. La police et la milice ont agi sur ordre du gouvernement pro-nazi qui a été mis en place sous la direction du fasciste norvégien Vidkun Quisling (sur la photo ci-dessus avec Hitler). Lettonie
YAHAD - IN UNUM Content This map indicates the sites of mass execution sites located by Yahad teams at which the Nazis and their allies murdered Jews in towns and villages throughout Eastern Europe. Each site includes a link to a brief profile and research findings for each location. Site profiles are being added incrementally each month as information is prepared and new sites identified. Use of content This website is a non-commercial educational tool. The content of the website may be used for personal, educational and non-commercial purposes. Estimated number of victims 1 to 500 victims 500 to 10 000 victims more than 10 000 victims Archives Soviet archives: Soviet archives used in the villagers’ profiles are taken from the Soviet Extraordinary State Commission, after war reports about the occupation lead by the Soviet authorities in order to investigate crimes committed by Nazis on the Soviet territory and from the State Security archives of former Soviet republics.
Association Varoise de l'Appel du 18 Juin - Promouvoir l’œuvre et la pensée du Général de GaulleAssociation Varoise de l'Appel du 18 Juin | Promouvoir l’œuvre et la pensée du Général de Gaulle 14-18 : "Maudite soit la guerre", les rares monuments aux morts pacifistes « Morts pour la France » : cette formule est l’essence même des milliers de monuments aux morts qui ont été érigés entre 1920 et 1925. Pour ne pas oublier ceux qui sont tombés au combat, pour honorer leur mémoire et leur sacrifice, ces lieux de mémoire incarnent le ressenti, le traumatisme de ces veuves, de ces orphelins, de ces parents qui ont perdu un être cher durant la Première Guerre mondiale. La « Der des ders » a saigné la France ; plus d’un million et trois cent mille soldats sont morts dans les tranchées ou la boue. Les survivants de cette barbarie furent, eux, à jamais amputés de leur innocence et de leur insouciance. Ce mouvement d’édification de monuments aux morts de 14-18 n’est pas spécifiquement français. Paix et Fraternité Mais rares, quelques dizaines, sont les monuments aux morts s’opposant directement à la guerre. Un autre exemple de ces monuments aux morts pacifistes se trouve dans la commune de Gentioux, dans la Creuse. Voici son refrain :
l.php?u= Quand Boston était la "capitale" de l’antisémitisme BOSTON – Vous ne le verrez pas mentionné sur le parcours « Freedom Trail », mais Boston accueillait autrefois un florissant réseau de sympathisants nazis. Non seulement les militants antisémites du berceau de la Liberté recevaient des fonds et des directives depuis Berlin, mais ils ont également contribué à inciter en faveur de « petits pogroms » contre les Juifs une fois la guerre bien entamée. Recevez gratuitement notre édition quotidienne par mail pour ne rien manquer du meilleur de l'info Inscription gratuite! Durant ces années de Shoah, « des bandes de pillards antisémites avaient sévèrement restreint les mouvements physiques de nombreux juifs à [Boston et à New York], ce qui compliquaient leurs activités religieuses, commerciales ou sociales », a écrit Stephen H. Norwood, professeur d’histoire à l’université d’Oaklahoma. À Boston et ailleurs, l’incitation anti-juive était alimentée par le père Charles Coughlin, le « fondateur de la radio de la haine ».