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Le Damier - Première grappe d’entreprises labellisée DATAR sur le champ des industries musicales et audiovisuelles Le Réseau Ressources / Musiques actuelles Conférence proposée par Sayem, producteur de musiques électroniques Le but de cette rencontre est de comprendre les différentes étapes du développement d’un projet musiques actuelles, à travers le parcours d’un artiste qui dressera « son » état des lieux de l’industrie musicale aujourd’hui. Il vous fera partager sa propre expérience pour vous aider à mieux comprendre la stratégie à adopter pour mettre en lumière son projet ainsi que les pièges et écueils à éviter. Nous aborderons : l’identification du projet, le studio, la scène, les partenaires (manager/label/tourneur/attaché de presse), les différent type de contrats, l’auto production, la distribution numérique, le rôle de l’artiste en 2013. Cette introduction balaiera ainsi l’ensemble des thématiques qui seront ensuite traitées de façons plus approfondie, chaque mois, de janvier à juin, dans le cadre du cycle « DIY » des rencontres professionnelles du Centre.

Ministère de la Culture et de la Communication La dynamique de co-construction a été initiée par les acteurs professionnels et les collectivités territoriales en collaboration avec l’État, dès les premières concertations en 2004, au moment où a été mis en œuvre le processus qui allait conduire à la création du CSMA (Conseil supérieur des musiques actuelles) "pour des politiques concertées..." puis au GTLIMA (Groupe de travail des lieux de musiques actuelles), qui en résulte. L’entrée dans cette démarche a déjà un précédent, la rédaction de la première circulaire SMAC (Scènes de musiques actuelles) en 1998, issue d’ une co-élaboration du texte dont le triptyque équipe/projet/lieu constitue encore la base de la nouvelle circulaire SMAC 2010 à laquelle est adossé le texte SOLIMA et qui confère une dimension territoriale à la concertation. Cette dynamique fait aujourd'hui partie intégrante des politiques territoriales que l’État conduit en faveur des musiques actuelles.

Numéro 6 - Actes du colloque interdoctoral 2010 - Articles - L?action culturelle mise à nu par ses métiers (1788-1988) - Sciences Humaines Combinées La thèse propose d’explorer la question de la professionnalité des acteurs culturels, particulièrement ceux qui contribuent à la mise en œuvre de la médiation. Après avoir fait le constat que ces praticiens forment un ensemble aux contours extrêmement flous qui ne permet pas de définir une profession homogène et structurée, il convient de s’interroger sur les raisons de cette absence de reconnaissance professionnelle. Révélateur d’un déficit de légitimité sociale pour une activité dont les liens avec l’accomplissement du processus démocratique sont affirmés haut et fort, ce phénomène renvoie aux fondements de la construction de la doctrine et du système républicain français. Dès lors s’impose une double exploration, synchronique et diachronique. La thèse présentée ici est le premier travail universitaire consacré exclusivement aux « métiers de la culture », c’est-à-dire aux acteurs de l’ombre qui, à l’écart des feux de la rampe, font que l’art peut devenir culture.

Un cynisme ambiant et des collègues de travail insupportables La première fois que j’ai entendu la voix de JB, c’était sur mon répondeur : un rockeur de banlieue éructait en exigeant une explication franche. J’avais écrit un papier dans un torchon où je disais le plus grand mal d’une de ses compilations. C’était pas malin : je m’imaginais déjà traîné sur le périph’ derrière une grosse cylindrée ou attaqué au cran d’arrêt dans un terrain vague par un loubard surgi d’une BD de Margerin. Au troisième appel, j’ai quand même fini par décrocher. Vice : Tu n’as jamais eu envie de faire de la musique ? Tu aurais supporté d’être dans un groupe ? C’est finalement un taf comme un autre. À la différence près qu’ils se font beaucoup plus de thunes que les groupes… Effectivement, dans le rock tu bosses pour la gloire. Marche ou crève. C’est dur de se faire respecter dans ce circuit ? Born Bad est aujourd’hui un label à la mode, ça ne t’emmerde pas trop ? T’as eu des propositions de publi-reportages dans la presse musicale ? Comment ça s’est terminé ?

Office national de diffusion artistique Association à but non lucratif, l'Office national de diffusion artistique, a été créé en 1975. Subventionné par le ministère de la Culture et de la Communication (DGCA - direction générale de la Création artistique / sous-direction des Affaires européennes et internationales), les missions et objectifs de l'Onda sont précisés dans le cadre de conventions triennales signées avec le Ministère. L'Onda encourage la diffusion, sur le territoire national, d'œuvres de spectacle vivant qui s'inscrivent dans une démarche de création contemporaine soucieuse d'exigence artistique et de renouvellement des formes, et stimule les échanges en matière de spectacle vivant en Europe et à l'international. Son champ d'intervention couvre l'ensemble des disciplines, théâtre, danse, musique, cirque, arts de la rue ; que ces œuvres soient créées en France ou à l'étranger ; qu'elles s'adressent aux adultes ou aux enfants.

MédiaZik Internet sonne l’heure de la re-création!! Viméo sur le point de lancer une plateforme payante, BandCamp qui s’impose, le crowdfunding qui explose… Plus les internautes se sentent proches des créateurs, plus ils sont partants pour payer. Internet, fossoyeur de la culture. Tiens, c’est une foule d’internautes qui grossit à vue d’œil. Et le système fonctionne d’autant mieux que les internautes se sentent proches des créateurs. Depuis la semaine dernière, il est possible, grâce au système « tip jar » de donner un « pourboire » après la vidéo. « Nous sommes dans l’économie du partage au sens large, s’enthousiasme Vincent Ricordeau, cofondateur et PDG de KissKissBankBank, site de crowdfunding en plein essor, sans ce marché qui se développe de pair à pair, des centaines de projets seraient restés dans les cartons. Le chanteur français Oldelaf en a fait l’expérience. par Erwan Cario sur le site

Quel modèle économique pour les scènes de musiques actuelles ? 1 Les termes « scène de musique amplifiée » ou « scènes de musiques actuelles » sont utilisés ici sa (...) 2 Voir pour un cadre plus général, Sagot-Duvauroux (2005). 1Les scènes de musiques actuelles 1, labellisées ou non, présentent des spécificités qui les distinguent, malgré de nombreux points communs, de leurs sœurs spécialisées dans les autres domaines du spectacle vivant (théâtre, danse, arts de la rue…). Le but de cette contribution est, à la lumière de l’économie du spectacle en général, de s’interroger sur les différents modèles économiques que peuvent adopter ces structures 2. 2Cet article se structure en deux parties. Les scènes de musiques amplifiées sont des entreprises de spectacle vivant (a), insérées dans une filière industrielle (b) et dont la vocation n’est pas majoritairement marchande (c). a) Des entreprises de spectacle vivant 3 Précisons que la loi de Baumol s’applique tout autant aux entreprises de production de spectacles (...) a) L’association affinitaire

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