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Intrication quantique

Intrication quantique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] Le caractère surprenant des états intriqués a pour la première fois été souligné par Einstein, Podolsky et Rosen dans un article de 1935 qui tentait de montrer que la mécanique quantique était incomplète. Dans cet article, les auteurs décrivent une expérience de pensée qui restera connue comme le paradoxe EPR. Définition[modifier | modifier le code] Il est plus aisé de définir ce qu'est un état non intriqué, ou séparable, que de définir directement ce qu'est un état intriqué. État pur[modifier | modifier le code] Dans le cas où le système global {S1+S2} peut être décrit par un vecteur d'état, son état est un vecteur de l'espace de Hilbert . Ces états sont appelés états séparables ou factorisables. , qui n'est pas altéré par les mesures effectuées sur S2. Un état intriqué est par définition un état non séparable, qui s'écrit en général sous la forme C'est donc une superposition d'états d'un système biparti. . Related:  Technologies / Sc.

Apprendre à coder en 3 mois | The Hacking Project Go (langage) Un objectif de Go est donné par Rob Pike, l'un de ses trois créateurs, qui dit à propos des développeurs inexpérimentés[8] : « Ils ne sont pas capables de comprendre un langage brillant, mais nous voulons les amener à réaliser de bons programmes. Ainsi, le langage que nous leur donnons doit être facile à comprendre et facile à adopter » Go veut faciliter et accélérer la programmation à grande échelle : en raison de sa simplicité il est donc concevable de l'utiliser aussi bien pour écrire des applications, des scripts ou de grands systèmes. Cette simplicité est nécessaire aussi pour assurer la maintenance et l'évolution des programmes sur plusieurs générations de développeurs. Voici un exemple d'un programme Hello world typique écrit en Go : package main import "fmt" func main() { fmt.Printf("Hello, world\n")} Le langage Go a été créé pour la programmation système et a depuis été étendu aux applications, ce qui constitue la même cible que le C et surtout le C++. Principales bibliothèques :

La famille des gènes impliqués dans l'intelligence s'agrandit Quarante nouveaux gènes associés à l'intelligence ont été identifiés selon une étude publiée lundi dans Nature Genetics, un pas de plus vers la compréhension des fondements génétiques du QI. « Pour la première fois, nous détectons un nombre important de gènes qui prennent part à l'intelligence », explique à l'AFP Danielle Posthuma de l'université libre d'Amsterdam aux Pays-Bas et coauteur de l'étude. De précédents travaux avaient permis de mettre en évidence 12 variations génétiques associées à l'intelligence. Cette nouvelle étude, la plus vaste menée jusqu'à maintenant sur le sujet, se base sur plus de 78 000 individus de souche européenne, adultes et enfants. La plupart de ces gènes ont une fonction dans le cerveau et plus particulièrement dans la régulation du développement cellulaire. « Ces résultats fournissent pour la première fois des indices clairs sur les mécanismes biologiques sous-jacents de l'intelligence », déclare Danielle Posthuma. Mais le travail est loin d'être terminé.

Vidéosurveillance : une IA capable de lire sur les lèvres Des chercheurs sont parvenus à utiliser un système de reconnaissance vocale pour apprendre à une intelligence artificielle à lire sur les lèvres. Cette tâche représente un vrai défi autant pour les ordinateurs que pour les humains. La lecture sur les lèvres représente un réel défi, aussi bien pour les humains que pour l'intelligence artificielle. En 2016, l'IA DeepMind de Google avait réussi à dépasser les performances d'un professionnel mais n'avait atteint que 46,8 % de taux de réussite, à comparer tout de même aux 12,4 % de taux de réussite pour les humains dans les mêmes circonstances. Une équipe, composée de chercheurs de l'université du Zhejiang en Chine, de l'institut de technologie Stevens aux États-Unis et de la société Alibaba, a mis au point une nouvelle approche, utilisant les systèmes de reconnaissance vocale pour améliorer l'entraînement de l'intelligence artificielle. Intéressé par ce que vous venez de lire ? Cela vous intéressera aussi Vous avez aimé cet article ?

Les femmes sous pilule présentent "une différence spectaculaire" dans leur cerveau L’hypothalamus, région du cerveau qui régule notamment l’appétit, le sommeil ou la libido, est plus petit chez les femmes qui prennent une pilule contraceptive, selon des chercheurs en radiologie. Quel est l’effet de la pilule contraceptive… sur le cerveau des femmes ? Des chercheurs du centre de recherche Gruss Magnetic Resonance de l’université de médecine Albert Einstein à New-York (Etats-Unis), ont présenté leurs derniers travaux sur le sujet au congrès annuel de la Radiological Society of North America (RSNA). Cette observation pourrait expliquer certains des effets secondaires de la pilule contraceptive puisque l’hypothalamus produit des hormones et contribue à réguler des fonctions corporelles comme l’humeur, l’appétit, la libido, les cycles de sommeil ou encore le rythme cardiaque. Volume de l'hypothalamus Pour leurs travaux, les chercheurs ont fait appel à 50 femmes en bonne santé, dont 21 prenaient une pilule contraceptive. Colère et symptômes dépressifs Votre avis est précieux.

Japan approves first human-animal embryo experiments A Japanese stem-cell scientist is the first to receive government support to create animal embryos that contain human cells and transplant them into surrogate animals since a ban on the practice was overturned earlier this year. Hiromitsu Nakauchi, who leads teams at the University of Tokyo and Stanford University in California, plans to grow human cells in mouse and rat embryos and then transplant those embryos into surrogate animals. Nakauchi's ultimate goal is to produce animals with organs made of human cells that can, eventually, be transplanted into people. Until March, Japan explicitly forbade the growth of animal embryos containing human cells beyond 14 days or the transplant of such embryos into a surrogate uterus. That month, Japan’s education and science ministry issued new guidelines allowing the creation of human–animal embryos that can be transplanted into surrogate animals and brought to term. But getting human cells to grow in another species is not easy.

Des chimères mi-cochon mi-singe viennent de naître en Chine En Chine, d'après le New Scientist, des chercheurs pékinois ont donné naissance à deux chimères cochon. Et c'est sans précédent. C’est l’histoire de deux petits cochons, tout juste nés. Ils sont tout roses, des groins ordinaires, les petits yeux noirs de nouveaux-nés. Des limites légales et techniques Rappelons le principe des chimères : elles sont pensées par quelques chercheurs pour répondre à la pénurie des donneurs d’organes. Un procédé qui soulève évidemment des questions éthiques. 10 cochonnets sont nés, dont deux étaient des chimères - leurs organes principaux étaient en petite partie composés de cellules de macaques La chercheuse Tang Hai et son équipe ont donc travaillé à créer une chimère non pas mi-humaine et mi-cochon, par exemple, mais mi-primate et mi-cochon. Humain, trop humain-singe ? 100% macaque, mais 100% humaine ? > Le Japon autorise la création d'embryons humains-animaux > « Imprimer un humain complet sera sans doute possible un jour »

Saut quantique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En physique, un saut quantique est un changement brusque de l'état d'un système quantique de manière pratiquement instantanée. Cette dénomination fait allusion au constat que la nature viole en apparence un principe informel énoncé par Isaac Newton : « natura non facit saltum » (« La nature ne produit pas de bonds » - ou de discontinuités). Cette dénomination s'applique à plusieurs situations. Dans l'atome[modifier | modifier le code] Réduction du paquet d'onde[modifier | modifier le code] Ce terme s'applique également, mais plus sporadiquement, à l'évolution aléatoire et donc non déterministe que subit un système quantique lorsqu'on réalise une moyenne dessus. Utilisation populaire de l'expression[modifier | modifier le code] Dans la langue vernaculaire, l'expression de saut quantique a pris la signification de changement abrupt, comme une promotion ou une augmentation. Notes et références[modifier | modifier le code] Portail de la physique

Parthénogenèse Dans le règne végétal, la parthénogenèse (on parle alors d'apomixie) est assez commune, avec ou sans autre mode de reproduction, sauf parmi les plantes à fleurs (angiospermes), la fleur enveloppant l'organe de reproduction sexuée femelle (mais l'un n'empêche pas l'autre)[pas clair]. Dans le règne animal, la parthénogenèse se rencontre dans de nombreux taxons comme les nématodes, les polychètes, les oligochètes, les némertiens, les arthropodes (dont les insectes comme l'abeille et les pucerons), les gastrotriches et chez les vertébrés, certains reptiles (dragon de Komodo)[1], oiseaux (Dinde)[2] et poissons. Au niveau de la cellule[modifier | modifier le code] La formation de l'ovule par la méiose, ou ontogenèse, sans l'intervention de la fécondation avec un gamète mâle aboutit théoriquement à une cellule œuf haploïde. Individu haploïde[modifier | modifier le code] Dans ce cas de figure, les individus produits sont haploïdes et généralement des mâles. Régulière[modifier | modifier le code]

Race Differences in Intelligence (book) Race Differences in Intelligence: An Evolutionary Analysis is a 2006 book by controversial race and intelligence writer Richard Lynn reviewing selected literature on IQ testing and arguing for in part genetic racial differences and with a discussion on the causes and consequences. Reviews of the book fault the selection of data used, the methodology, and the conclusions drawn from the data, resulting in criticism that it is "the sort of book that gives IQ testing a bad name." Summary Lynn defines races as the genetic clusters or ancestral population groups identified in previous genetic cluster analysis by Luigi Cavalli-Sforza and his colleagues in their 1994 book The History and Geography of Human Genes. Many current ethnic groups would be mixtures of these races. Reception "Much labour has gone into this book. A review by John C. See also References

Cultures individualistes et collectivistes, différences culturelles et impact sur la génétique - Rage Cultures individualistes et collectivistes, différences culturelles et impact sur la génétique De nombreuses études de psychologie comparent les cultures individualistes aux cultures collectivistes, ce qui revient pour la plupart du temps à comparer les cultures américaines et nord-est asiatiques. Les différences culturelles observées Les traits particuliers aux cultures collectivistes sont l’harmonie, l’interdépendance, la conformité et la mise en exergue des besoins du groupe qui prend le pas sur les besoins individuels. Au contraire les cultures individualistes ont pour caractéristiques l’autonomie, la réussite personnelle, la recherche d’unicité, ainsi que les besoins et les droits des individus. Les différences entre les cultures individualistes et collectivistes sont frappantes. Causes biologiques de ces différences culturelles Une autre différence notable est observée dans le cadre du stress psychologique. L’impact sur la morale Les raisons historiques de la sélection de ces traits

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