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Classification, langage documentaire et indexation

Les catalogues informatisés des établissements scolaires doivent répondre aux critères de pertinence (respect des normes, renseignement de tous les champs du bordereau de saisie, adéquation entre le fonds documentaire informatisé et les exemplaires présent au CDI...) en prenant en compte les attentes des élèves, des enseignants ; cela suppose une collaboration réussie entre enseignants de discipline et enseignants documentalistes : politique d’acquisition commune, communication des thèmes de recherche données aux élèves... Il faut donc bien réfléchir aux conséquences et à l’intérêt d’un changement de système de classification ou de logiciel documentaire dans un CDI ; ce choix ne peut, en aucun cas, émaner d’un choix personnel. CDU ou DEWEY ? Les classifications DEWEY ou CDU permettent non seulement de retrouver les documents dans le CDI mais permettent l’indexation systèmatique des documents : Définition, principe de cotation à consulter sur :Savoirs CDI description détaillée de la CDU Related:  Histoire, enjeux, épistémologie de la documentationCapes doc 2019Professeur Documentaliste

blog, folksonomie, partage de signets, réseau social, Web 2.0, wiki... Office québécois de la langue française Définition « Pratique qui permet de sauvegarder ses signets sur Internet, de leur attribuer des mots-clés pour en faciliter la recherche et de les partager avec une communauté d'internautes. » Équivalent anglaissocial bookmarking Synonymes partage de favoris, partage de marque-pages Terme(s) à éviter bookmarking social, social bookmarking Notes « Le partage de signets permet aux internautes inscrits en ligne d'accéder à leurs sites préférés depuis n'importe quel ordinateur, c'est-à-dire depuis n'importe quel lieu de connexion à Internet (travail, domicile, cybercafé, hôtel, etc.). Le terme favori, utilisé surtout au pluriel, a été retenu par Microsoft pour désigner les signets du navigateur Internet Explorer.Le terme marque-page, moins répandu, est surtout utilisé avec le navigateur Firefox de Mozilla. [Office québécois de la langue française, 2008] Grand dictionnaire terminologique de la langue française Michèle Drechsler Définition Voir : bibliographie

Éclairages sur la redocumentarisation Je voulais faire un billet sur la rocambolesque et édifiante histoire de l'article de Wikipédia sur l'EPR, mais Olivier m'a devancé et son analyse, en raisonnant sur la redocumentarisation, me paraît très pertinente. Du coup, je me suis dit qu'il serait peut être temps de faire ce billet, toujours remis, pour expliquer la notion. Pour définir la re-documentatisation, il faut commencer par s'entendre sur le terme "documentarisation". Documentariser, c'est ni plus ni moins "traiter un document" comme le font, ou le faisaient, traditionnellement les professionnels de la documentation (bibliothécaires, archivistes, documentalistes) : le cataloguer, l'indexer, le résumer, le découper, éventuellement le renforcer, etc. On préfère "documentariser" à "documenter", qui renvoie plutôt à la création d'un ou de plusieurs documents pour expliquer un objet ou une action, mais dans nombre de cas les deux activités se recoupent. Le numérique est une opportunité formidable de redocumentarisation.

Histoire de l’information, du Néolithique au numérique - Histoire-géographie - Éduscol Ce dossier propose de démontrer comment l’information a pris la place centrale qu’elle occupe aujourd’hui dans nos sociétés. Partant du principe que les signes de la transmission de l’information entre humains remontent très loin dans le temps, la rédaction d’InaGlobal propose un retour sur les périodes clés de l’histoire de la production et de la circulation de l’information, du Néolithique au web. Pour cela, elle met en ligne dix articles rédigés par des enseignants d'université en histoire ou en communication, et illustrés par différents dessinateurs. Une ressource riche et utile, par exemple pour l’éducation aux médias et à l’information. Sommaire du dossier Révolution néolithique, révolution de l’information, par Jean-Paul Demoule, professeur émérite de protohistoire européenne à l’université de Paris I (Panthéon-Sorbonne) et membre honoraire de l’Institut universitaire de France. Actualité à exploiter avec : Tous niveaux, histoire et EMC Actualité en lien avec :

Google vers l'indexation en temps réel ? Google vers l'indexation en temps réel ? Notez cet article Selon le blog américain ReadWriteWeb, Google serait en train de travailler sur un module d'indexation d'information en temps réel, basé sur la technologie Pubsubhubbub, protocole de syndication en temsp réel basé sur le format Atom. L'index de Google serait alors "nourri" à la fois par les spiders qui parcourent le Web en suivant les liens qu'ils y trouvent, mais également au travers d'un système de "push" mis en place par les éditeurs de sites. Dans ce dernier cas, le site met en place un "Hub" qui indique au moteur s'il y a de nouveaux contenus à jour disponibles en modifiant des fluxa adéquats. Il semblerait que Google travaille, conjointement avec les autres moteurs de recherche, sur un programme de test qui pourrait prochainement être mis en oeuvre et proposé aux webmasters désireux de vérifier comment tout cela fonctionne... Plus d'infos : -

Médiation numérique des savoirs 1 « Citoyens d’une société numérique – Accès, Littératie, Médiations, Pouvoir d’agir : pour une nouve (...) 2 (Consulté le 6/05/2015) 3 eduscol.education.fr 1Dans le contexte d’une société où l’information est abondante, médiatique et circule de façon exponentielle grâce à des technologies numériques performantes, l’accès à l’information est encouragé et soutenu par les politiques publiques1, en particulier dans le domaine de l’éducation. De la loi de refondation de l’école (juillet 2013) à la nouvelle relance de l’éducation aux médias et à l’information (mars 2015), les textes du ministère de l’Éducation préconisent l’enseignement d’une pratique et le développement d’une compétence autour de l’information. 4 eduscol.education.fr 7 Capacité que possède un produit ou un système, dont les interfaces sont intégralement connues, à fo (...) 1-1 Information, connaissance, savoir 14Or, comme le soulève C.

Eloge de la redocumentarisation Titre alternatif de ce billet : Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la redocumentarisation sans jamais avoir osé le demander. PROLOGUE. La redocumentarisation n'est pas un joli mot. Non. Il existe une définition longue de la redocumentarisation : "Documentariser, c'est traiter un document comme le font traditionnellement les professionnels de la documentation (bibliothécaires, archivistes, documentalistes) : le cataloguer, l'indexer, le résumer, le découper, éventuellement le renforcer, etc. Il existe une définition courte de la redocumentarisation : Il flotte dans l'air comme un parfum de redocumentarisation. La science de l'information a, au fil du temps, construit ses lois. Ce billet se propose de présenter les lois possibles de la redocumentarisation. ***Le postulat de Broudoux. Dans le cadre de la redocumentarisation, les processus d'autoritativité dépassent la question de l'autorité (auctoritas) et servent de cadre de référence aux pratiques discursives et documentaires.

Appel à communication : Écrilecture augmentée dans les communautés scientifiques | Dicen IdF Le web et les technologies associées au lien hypertexte sont à l’origine d’environnements de lecture enrichie dont nous avons commencé à établir une photographie sous plusieurs angles : celui de l’innovation logicielle et ceux des usages actuels et à venir. Cette lecture enrichie qui repose sur des actes scripturaux nous a incités à reprendre le concept d’écrilecture théorisé par Pedro Barbosa dans sa thèse de 1992 et né de la rencontre des pratiques littéraires créatrices avec l’ordinateur. Alain Vuillemin l’avait repris pour caractériser ce nouveau comportement du lecteur entraîné dans des manipulations créatrices face à l’écran. Les pratiques liées aux usages de lecture « savante » se sont perpétuées au cours des siècles et les annotations sont elles-mêmes devenues objets d’études, comme plus-values des textes originaux ou documents à part entière. Format Évaluation en double-aveugleVolume des chapitres : entre 30 et 35 000 signes (espaces compris) Calendrier Comité scientifique :

Google et l'indexation de documents PDF Google et l'indexation de documents PDF Notez cet article Le blog pour webmasters de Google fait aujourd'hui un point sur l'indexation de documents PDF par son moteur de recherche. Voici les principaux points évoqués dans cet article : - Google indexe des documents PDF depuis 2001. - On peut les rechercher au travers de la syntawe "filetype:pdf" (exemple : "seo filetype:pdf"). - Google indexe à peu près tous les documents PDF, dans la plupart des langues, à partir du moment où ils ne sont pas protégés par mot de passe. - En revanche, les images présentes à l'intérieur d'un fichier PDF ne sont pas indexées par Google Images. - Les liens présents dans les fichiers PDF sont en revanche traités comme dans une page HTML. - Pour ne pas voir un document PDF indexé, le mieux est d'insérer un X-Robots-Tag: noindex dans l'en-ête HTTP utilisé. - Le référencement et le positionnement d'un fichier PDF est souvent similaire à celui d'une page HTML.

Définition et évaluation des portails documentaires Bonjours, pouvez-vous m’indiquer la différence entre un portail documentaire et un site web, et y a-t-ils des critères d’évaluation de ces portails ? Je vous remerciez pour votre aide. Réponse: Vous voulez savoir quelle est la différence entre un portail documentaire et un site web, et identifier des critères d’évaluation des portails documentaires. 1. Vous trouverez sur le site Bibliopédia une définition simple du portail documentaire : « Un portail documentaire, ou système d'information documentaire (SID) est construit autour de plusieurs éléments : - interrogation simultanée de ressources hétérogènes (recherche fédérée) - gestion de contenus web (GED) - gestion de profil (mise en avant de certaines ressources, en fonction du statut et du profil de l'utilisateur qui peut s'identifier), avec des services personnalisés. 2. Les portails documentaires indique s'avèrent souvent peu ergonomiques, comme l'indique cet article : BOURGEAUX, Laure, FRESNEAU, Amélie. 3. Autres ressources :

La redocumentarisation, un défi pour les sciences de l’information 1Les sciences de l’information viennent de passer un cap. Elles s’étaient construites sur un ordre documentaire relativement stable durant le XXe siècle. Même s’il subissait une explosion quantitative, même s’il intégrait de nouveaux supports comme l’audiovisuel, sa structure générale suivait des règles et canaux qui étaient repérés. Les sciences de l’information pouvaient alors se construire sur un corpus de documents soumis à des contraintes connues et proposer des méthodes et des outils pour en tirer l’information utile comme le classement, l’indexation, des équations de recherche de plus en plus raffinées, la scientométrie, etc. pour les traditions issues de la bibliothéconomie, et d’autres encore, comme l’évaluation, l’élimination, le calendrier de conservation de son autre racine professionnelle, plus méconnue en France : l’archivistique. 4La proposition sera bâtie en trois temps. 9Le numérique, par nature, implique une re-documentarisation.

L'évolution d'internet, le web 2.0 - Internet dans le monde - Dossiers Evolution ou révolution, le web 2.0 est bien là. Laurence Allard, maître de conférences à l'Université de Lille, nous en donne les caractéristiques et ce qui fait d'abord sa dimension sociale : « Ecrire, commenter, copier-coller, mixer, publier, partager ou échanger des photos, vidéos, liens et tag, sur des sites de présentation de soi et de ses univers relationnels, développer des expérimentations cartographiques ou de moblogging articulant le web et le mobile dans un "espace augmenté", la dimension massive de l'usage des technologies sociales est frappante. Ces dispositifs et agencements machiniques, ces pratiques et expérimentations forment désormais un continuum socio-technique appréhendé actuellement sous le terme discutable et discutée du web 2.O, désignant le deuxième âge d'internet et du Web et son tournant expressiviste. »Source : Laurence Allard, Revue MediaMorphoses n° 21, septembre 2007, Armand Colin/INA Mais d'où vient le terme "web 2.0" Agrandir l'image

Evolution des outils d’indexation documentaire des années 1980 aux années 2010 Le web de données et son évolution En l'espace d’une trentaine d’années les conditions d’une recherche d’information ont totalement évolué, en même temps que les outils et l’environnement technologique même de toute recherche d’information ont été totalement bouleversés par l’émergence successive des ordinateurs personnels, de nouveaux supports de l’information, de nouveaux modes d’accès à l’information et, depuis le début des années 1990, avec l’émergence du Web et ses évolutions. 1. Le contexte général Evolution des outils d’indexation documentaire et des systèmes d’information documentaire (vers 1970- vers 2010) 1.1. Les classifications décimales Les classifications décimales, dont le prototype a été la Classification Décimale de Dewey, sont apparues à partir de la fin du 19e siècle et sont a priori fondées sur une organisation des connaissances en classes, c’est à dire sur une approche disciplinaire de ces connaissances Les listes d’autorités de matières Les thésaurus 1.2. 2. 3. 3.1. 3.2.

L’indexation matière en transition : de la réforme Rameau à l’indexation automatique Début décembre paraissait un ouvrage dont j’ai tardé à vous rendre compte ici, avec les bousculements du quotidien dûs aux grèves puis aux vacances de Noël. Et pourtant je suis très heureux d’y avoir contribué, et très fier du résultat. Cet ouvrage, doté du bel ISBN 978-2-7654-1623-4, fait avant tout le point sur l’actualité normative — c’est du moins le motif initial : la réforme Rameau est difficile à appréhender, car elle est complexe à mener. Elle touche à des données intriquées, héritées de plusieurs années de pratiques qui posent problème aujourd’hui pour la cible visée. Rameau à 40 ans. Deux chapitres sont donc consacrés à cette réforme : évoquant le pourquoi, et le comment. Mais outre ces deux chapitres et la conclusion, les autres chapitres qui éclairent divers aspects très actuels autour de l’indexation matière et des utilisations qu’on peut en faire : visualisation, politique documentaire, actions de médiation, etc. Indexer : pourquoi ? Chapitre 1. Chapitre 2. Chapitre 3.

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