Cyberaction : Rassemblement Des Indignés de l'Agriculture
La loi sur les obtentions végétales ne concerne donc pas que les céréalier, mais aussi tous les éleveurs. Il est donc urgent que tous les départements et particulièrement les départements d'élevage se mobilisent pour : - interpeler les députés. Il est important de les convaincre de faire voter au moins un amendement. - organiser des actions locales, communiqués dans la presse locale. - continuer à signer et faire signer la cyberaction "Non aux royalties sur les semences de ferme". - venir à Paris lundi 28 novembre devant l'Assemblée Nationale. William ELIE, vieux compagnon des Amis de la Conf nous aide à organiser la mobilisation. Suite au dernier communiqué de la Confédération Paysanne, une polémique a été ouverte par la FNSEA qui dément que Xavier Beulin ait suggéré de taxer les éleveurs. M. Madame, Monsieur le député, vous êtes invités à examiner le lundi 28 novembre prochain une proposition de loi relative aux Certificats d'Obtention Végétale (COV).
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Pesticides non autorisés : l’Etat attaqué en justice | Actualités Aides / Formalités | Police / Justice
Des dizaines de produits phytosanitaires agricoles ou domestiques (insecticides, herbicides ou fongicides) restent en vente alors qu’ils devraient, selon l’avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), être retirés du marché car non conformes aux exigences de la réglementation en vigueur. C’est en tout cas ce que soutient l’ONG Générations futures qui s’appuie sur un échange de courriers entre l’Anses et la DGAL. En effet, dans un courrier daté du 27 août 2012, et dont l’ONG a eu connaissance, le directeur de l’Anses rappelle à la DGAL avoir attiré l’attention de ses services le 7 octobre 2009 (!!!) sur la non prise en compte des avis de l’Anses concernant la toxicité de certains produits. Sept pesticides « particulièrement toxiques » Dans le collimateur de l’ONG, sept pesticides (cinq désherbants dont certains vendus aux particuliers, et deux insecticides), pour lesquels l’Anses avait pointé des risques « inacceptables » pour l’utilisateur. Auteur : Ignace Manca
Nyeleni Europe
Reconstitution d'embryon
CLONAGEReconstitution d'embryon par transfert de noyau dans un ovocyte I - Technique du transfert nucléaire Détails des étapes Enucléation de l'ovocyte Plusieurs types de cellule donneuse de noyau: cellules embryonnaires ou somatiques. Fusion de la cellule donneuse avec l'ovocyte: le "transfert de noyau" Développement de l'embryon Dispositifs techniques II - Deux stratégies possibles Il existe deux techniques selon que l'activation de l'ovocyte (bloqué en Métaphase II) a lieu en même temps que la fusion avec la cellule étrangère ou avant cette fusion. Dans le premier type de protocole, "MII Ovocyte", il y fusion avec la cellule étrangère et activation simultanée de l'ovocyte énucléé. Une activité MPF élevée entraine la division du noyau, la rupture de l'enveloppe nucléaire, la condensation des chromosomes....L'activation de l'ovocyte n'est possible qu'en présence d'une activité MPF basse. Réaction du noyau transféré et influence sur le nombre de chromosome de la cellule créée.
Kokopelli
Quand manger devient un acte militant
Manger lentement peut sauver la planète. En tout cas, prendre le temps de choisir des produits locaux, bio, équitables, de les cuisiner soi-même et de les déguster en quantité raisonnable pourrait être une nouvelle manière de consommer, en réaction à la «junk food» et aux plats cuisinés industriels. Une autre vision de la société que veulent porter cinq associations, le WWF, le mouvement Slow Food, le Réseau environnement santé (RES), le Comité français pour la solidarité internationale (CFSI) et Max Havelaar, qui se sont associées pour lancer la campagne «Goûtons un monde meilleur», présentée le week-end dernier au salon EuroGusto à Tours. Local ou équitable, un panier plus responsable Adhérer à une Amap, acheter bio, devenir végétarien?... Premier geste simple: diversifier ses repas. Du bon sens et des bons goûts
La permaculture peut-elle nourrir les Français?
Temps de lecture: 8 min La micro-ferme est adossée au château de La Bourdaisière, en Indre-et-Loire. Elle se situe à deux pas d'un potager conservatoire de la tomate, regroupant 650 variétés du fruit sur un peu moins d'un hectare. Pas de tracteur On trouve de tout chez cet ex-Parisien: des légumes, des plantes vivaces et comestibles, des arbres fruitiers. Dans cette «Ferme d'avenir», tout est étudié à la loupe, en amont. Et ça marche? «Nous explorons la possibilité pour des supermarchés du coin de vendre nos produits, repensant ainsi leur politique sans casser les prix d'achat aux producteurs.» Vive les vers de terre! Il s'inspire surtout des concepts de la permaculture. La permaculture formulée dans les années 1970 par les Australiens Bill Mollison et David Holmgren, mais encore confidentielle en France, ne se résume pas à des techniques de jardinage. «Dans la nature, poursuit le paysan, tout est relié (et) fonctionne en boucle, les déchets de l'un sont la ressource de l'autre.»
Pesticides against pollinators
New scientific evidence triggers EU concern Neonicotinoids are a class of insecticides that came onto the market in the mid 1990s and early 2000s. Many crops such as corn, soy, wheat or rapeseed are now treated with them. They are normally applied directly to seeds or in soil treatments, in an attempt to preserve seeds and plants from insect attacks at an early stage. As systemic pesticides, once in the seed, they enter the whole plant through its vascular system and are found in every plant tissue (leaves, flowers, pollen...); but they can also remain active in the soil for a long time (up to three years). The French scientific study reported the loss of honeybee foragers caused by exposure to low doses of Thiamethoxam (Syngenta). In March 2012 the European Commission mandated the European Food Safety Authority (EFSA) to deliver a scientific opinion on a report that led Italy to temporarily suspend the placing on the market of maize seeds treated with neonicotinoids.
Pesticides : un agriculteur en procès contre Monsanto
Ce lundi 12 décembre 2011, Paul François, agriculteur victime des pesticides, sera en procès contre Monsanto, en première instance, au TGI de Lyon, dans l'espoir de faire reconnaître la faute de la firme et d'engager la responsabilité de cette dernière. Procès de Paul François, agriculteur, victimedes pesticides, contre Monsanto Le rappel des faits Le 27 avril 2004, Paul François, agriculteur céréalier dans le Nord Charente s'intoxique en inhalant les vapeurs d'un herbicide (du LASSO de la firme Monsanto). Une procédure contre Monsanto En février 2007, Paul François décide d'attaquer la firme Monsanto afin de prouver que la firme connaissait la réelle dangerosité du Lasso et tentait de dissimuler ces dangers alors même que ce produit a été retiré de la commercialisation dans de nombreux pays et par décision de la Commission Européenne, considérant que l'utilisation de ce produit était trop dangereuse pour l'utilisateur. Stella Giani