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Related: Essais "Des coches", "Des cannibales" • Espaces du tourisme et des loisirs • HISTOIRE 2TOUS LES SUJETS DE L’EAF 2012 Objet d'étude : Vers un espace culturel européen : Renaissance et humanisme. Textes : Texte A : Jean de Léry, Histoire d’un voyage fait en la terre du Brésil, chapitre XIII, 1578 (orthographe modernisée). Texte B : Jean de Léry, Histoire d’un voyage fait en la terre du Brésil, chapitre XVIII, 1578 (orthographe modernisée). Littérature d'idées: Docs. complémentaires De grands cannibales, les Tupinamba. Tous les chroniqueurs l’assurent qui, pour avoir séjourné quelque temps au Brésil dans le cours du XVIe siècle, eurent l’occasion d’observer la façon dont ces Indiens traitaient leurs prisonniers de guerre et les festins qu’ils en faisaient. (…)Et même, les chiffres ne manquent pas : ainsi, des Chiriguano (une population de la famille tupi), les Jésuites espagnols ont calculé qu’ils dévorèrent, en l’espace d’à peu près un siècle, 60 000 Indiens Chané. Une moyenne modeste, somme toute : pas même deux hommes par jour pour une population qui comptait bien 20 000 âmes. Les documents donc ne nous font pas défaut. en France, les relations du gentilhomme huguenot Jean de Léry et du cosmographe André Thevet, l’un et l’autre témoins oculaires, mais aussi, rappelons-le pour mémoire, celle de Montaigne, fort bien informé par un serviteur qui avait passé sa jeunesse comme truchement chez les Tupi.
Survival International Les peuples autochtones sont les meilleurs gardiens du monde naturel et les preuves montrent que les territoires autochtones sont le meilleur rempart contre la déforestation. Cette photo présente le territoire d'un peuple isolé tel un ilot de forêt verte au milieu d'une mer de déforestation (la ligne orange représente la démarcation du territoire). La meilleure façon d'empêcher la destruction de la forêt amazonienne est de faire campagne pour les droits territoriaux des peuples non contactés. Les peuples non contactés ont développé des modes de vie entièrement autosuffisants et d'une extraordinaire diversité. Ils apportent énormément à la richesse de la vie humaine. Les Awá isolés de l'Amazonie brésilienne utilisent la résine de l'arbre maçaranduba pour faire du feu et éclairer leurs maisons, ainsi que pour chasser la nuit.
Relire « Vers une civilisation du loisir ? » « Travailler plus pour gagner plus » avec Nicolas Sarkozy, liberté d’entreprendre pour Emmanuel Macron, réduction du temps de travail comme réponse au chômage chez Jean-Luc Mélenchon ou instauration d’un revenu universel pour Benoît Hamon. Autant de propositions qui interrogent à leur manière le rapport entre le temps libre et le temps travaillé et qui renvoient au fait que nous sommes aussi une civilisation du loisir. Autant de propositions qui font écho à l’ouvrage de Joffre Dumazedier Vers une civilisation du loisir ? paru en 1962. Ce livre interroge la relation entre travail et loisir dans un contexte où les progrès techniques ont rendu du temps libre aux femmes et aux hommes, après que le temps contraint de la société industrielle les ait étouffés pendant près de 150 ans.
Etude littéraire et syntaxique, Des coches III, 6 Montaigne Introduction : Montaigne est un écrivain humaniste du 16ème siècle. Il a fait des études de droit et a été conseiller au parlement. Il a écrit les Essais sous le règne de Henri IV. Dans son œuvre il aborde tous les types de sujets moraux, philosophiques, psychologiques. Sri Lanka (5) : Le tourisme est-il dangereux par nature ? Que faire du désir de l’autre, né en Angleterre au XVIIIe siècle, qui a transformé largement les relations interhumaines ? Comment faire de ce désir de l’ailleurs une vraie rencontre sans atteintes aux populations et à l’environnement dues au tourisme de masse ? Cet questions, les fondateurs de l’écotourisme y ont répondu depuis les années 1970. L’écotourisme est né de pratiques touristiques conscientes qu’une rencontre est possible. Oui, on peut échapper au divertissement (1) dénoncé par Pascal. Oui, on peut aller vers l’autre sans être hors-sol, dans des hôtels ou des parcours entre-soi, comme cela se pratique souvent.
Les philosophes par eux-mêmes (3/4) : Montaigne : "C'est moi que je peins" Dans les Essais, c’est « tout nu » que Montaigne se présente à nous. On y apprend qu’il s’accommode mal de la bière, qu’il préfère le poisson à la viande, que sa moustache garde longtemps les odeurs… : « J’ose non seulement parler de moi, mais parler seulement de moi ». Pourtant, loin de tout nombrilisme, Montaigne se peint pour mieux parler des autres, et pour mieux parler aux autres.
Sri Lanka (1) : les lois de la jungle Une petite série sur l’écotourisme comme alternative au tourisme de masse. Avec Ecolanka, au Sri Lanka qui a reçu le label Forest Garden Product pour son travail à la restauration du patrimoine forestier local… grâce au tourisme. D’abord, quand on arrive de Colombo situé à près de 4 heures de route, on réalise qu’aucune photo ne donne le son du paysage qu’on va découvrir. Montaigne et le paradoxe de la barbarie. Le royaume des cannibales et les cannibales du royaume À travers une vision anthropologique comparative, Montaigne a ouvert une nouvelle perspective pour la philosophie de la culture. Il constate de fait avec stupéfaction le paradoxe de la barbarie. Ce paradoxe se manifeste lors de la confrontation entre le royaume des cannibales, terre du bois du Brésil, et les cannibales du royaume, terre française et européenne, à laquelle était destiné le bois du Brésil.
Œnotourisme, la course mondiale à l’innovation Des vignobles vallonnés à perte de vue. Des propriétés de charme. Des caves fraîches où l’on déguste des nectars… le tourisme œnologique ne date pas d’hier. Nombreux sont les connaisseurs qui visitent régulièrement les caves afin de dénicher à bon prix les bouteilles qui, le temps venu, orneront leurs tables. M. Le Bris et J. Rouaud (dir.), Je est un autre - Pour une identité-monde Je est un autre - Pour une identité-monde Sous la direction de Michèle Le Bris et de Jean Rouaud Textes de M. Le Bris, J.Rouaud, A. Le monde à travers les bains de mer - Conflits Paul Morand a voyagé à travers le monde à une époque où les trajets se faisaient en paquebot et en train à vapeur. C’était le tourisme aristocratique et de luxe, précédant le tourisme de masse qui suivit dans les décennies suivantes. Il aurait pu se contenter d’être un dandy allant de palace en palace, il fut surtout un grand écrivain, capable de magnifier ses voyages et de saisir l’esprit du temps. Derrière le style léger et agréable, Morand comprend le monde qu’il traverse et se fait sociologue et ethnologue.