François Fillon : son programme pour l’Éducation nationale
François Fillon est le grand vainqueur de la primaire de droite. Tour d'horizon du programme éducatif de l'ancien Premier ministre. François Fillon – Capture d’écran Youtube « Moi je veux une école primaire qui transmette les valeurs et les savoirs fondamentaux. Je veux une école du respect et de l’autorité symbolisés par le port de l’uniforme », avait lancé François Fillon à l’université d’été des Républicains à la Baule, le 3 septembre dernier. Pour celui qui fut ministre de l’Éducation nationale entre mars 2004 et mai 2005 sous Jacques Chirac, la France « doit avoir un système éducatif promouvant les valeurs d’excellence et de mérite, à contre-courant de l’égalitarisme voulu par la gauche » comme il l’explique sur son site internet. Dans son programme, François Fillon fustige les réformes faites par ses successeurs. Pour l’ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy, « tout commence par […] une transformation profonde et un vrai objectif qualitatif ». Et les professeurs ? Valentin Glo
RGPD : de quoi parle-t-on ?
Tout organisme quels que soient sa taille, son pays d’implantation et son activité, peut être concerné. En effet, le RGPD s’applique à toute organisation, publique et privée, qui traite des données personnelles pour son compte ou non, dès lors : qu'elle est établie sur le territoire de l’Union européenne, ou que son activité cible directement des résidents européens. Par exemple, une société établie en France, qui exporte l’ensemble de ses produits au Maroc pour ses clients moyen-orientaux doit respecter le RGPD. De même, une société établie en Chine, proposant un site de e-commerce en français livrant des produits en France doit respecter le RGPD. Le RGPD concerne aussi les sous-traitants qui traitent des données personnelles pour le compte d’autres organismes. Ainsi, si vous traitez ou collectez des données pour le compte d’une autre entité (entreprise, collectivité, association), vous avez des obligations spécifiques pour garantir la protection des données qui vous sont confiées.
Pourquoi il faut arrêter de parler de « fake news »
Le terme s’est répandu depuis quelques mois dans le vocabulaire des médias et le débat public. Mais il recouvre des réalités très différentes, et a déjà été récupéré. « La France fait la chasse aux fake news avant l’élection présidentielle » ; « Les médias et Facebook montent au front contre les fake news » ; « Présidentielle et fake news : les autorités veulent rencontrer Facebook, Google »… Il n’est pas besoin de chercher très loin pour voir le terme de « fake news » mis à toutes les sauces. Un anglicisme trompeur La notion de « fake news » pose d’abord un problème de traduction : à strictement parler, le terme anglais ne désigne pas un article faux, au sens d’inexact, mais plutôt un faux article, une publication qui se fait passer pour un article de presse sans en être un. La fake news telle qu’elle s’est développée durant la campagne américaine appartient au second registre, celui de la duperie. Un mot fourre-tout Le pastiche humoristique. Un terme déjà récupéré
« Fake news » en période électorale : le risque de tout mélanger
Les discussions autour de la loi souhaitée par Emmanuel Macron mélangent Brexit, élection de Donald Trump, référendum catalan et élection présidentielle française. Des cas pourtant bien différents. Le Monde | • Mis à jour le | Par Adrien Sénécat Le contenu de la future loi sur les fausses informations annoncée par Emmanuel Macron se précise, mais le débat reste confus. Toutes les ambiguïtés sont loin d’être levées pour autant. 1. Des fausses informations ont massivement circulé pendant la campagne présidentielle américaine de 2016, venant majoritairement du camp des républicains. Un grand nombre de rumeurs et intox malveillantes ont également entaché l’image de la candidate démocrate Hillary Clinton, en particulier sur ses supposés problèmes de santé voire sa prétendue « démence ». Au-delà des fausses informations, de nombreux comptes russes ou prorusses ont été actifs sur les réseaux sociaux pendant la campagne. 2. 3. 4.
Info-veille collaborative des biblios | 13 juin 2017
juin 13 Spéciale rumeurs et fausses nouvelles! On en a beaucoup parlé l’automne et le printemps dernier. Avec la masse d’informations créées et diffusées chaque minute sur Internet, il n’est que trop facile d’en glisser de fausses, mensongères ou manipulatrices dans le lot. Quand on sait que Facebook est le réseau social numéro un des Québécois pour accéder à l’information (source : Cefrio), réseau social sur lequel aussi bien Radio-Canada que nos voisins font des publications, il devient primordial de savoir repérer les fausses informations. Nous avons donc regroupé pour vous outiller quelques articles (fiables!) Comment repérer les fausses nouvelles? Il existe d’autres outils pour repérer et déjouer les fausses nouvelles et la désinformation (comme hoaxbuster).
Les revues de presse
Chers lectrices et lecteurs, Les articles des Cahiers pédagogiques sont largement partagés et discutés. Pour soutenir l’association et sa démarche de mutualisation de réflexions et de pratiques en accès libre, vous pouvez nous aider en faisant un don, même minime. Merci ! Chers lectrices et lecteurs, Les articles des Cahiers pédagogiques sont largement partagés et discutés. Merci ! Chers lectrices et lecteurs, Les articles des Cahiers pédagogiques sont largement partagés et discutés. Merci !
L’économie sociale et solidaire | UDES
L'économie sociale et solidaire : des principes et des valeurs L’économie sociale et solidaire (ESS) se caractérise par une manière différente d’entreprendre et vise à promouvoir des formes d’entreprises qui privilégient le service rendu avant le profit, tout en étant de véritables acteurs économiques. Associations, coopératives, mutuelles, fondations, entreprises sociales et solidaires, parce qu’elles concilient objectifs sociaux et activités économiques, relèvent du vaste champ de l’économie sociale et solidaire. L’ensemble des principes qu’elles mettent en œuvre les caractérisent, les distinguent et les unissent au-delà de la diversité de leurs statuts et notamment : L’une des spécificités de ces structures réside aussi dans la gestion conjointe des projets par des bénévoles et des salariés notamment dans les associations et les mutuelles. Leurs activités s’inscrivent dans de nombreux domaines de l’économie des services : L'économie sociale et solidaire c'est :
theconversation
En ce début d’année 2018, parmi les annonces les plus remarquées de Marc Zuckerberg figure l’idée de s’appuyer sur les utilisateurs de Facebook pour confirmer les sources de telle ou telle « news ». Le fondateur de Facebook souhaite que son réseau diffuse « plus de nouvelles provenant de sources largement reconnues dans notre communauté », déléguant ainsi une part du travail de vérification et de véridiction de l’information aux utilisateurs des réseaux et non plus aux seuls médiateurs traditionnels de l’information comme les journalistes – notamment le fact-checking, les chercheurs ou les experts. Si de nombreux articles journalistiques et travaux universitaires ont été consacrés récemment aux « fake news », à la « post-vérité » et à leurs conséquences, on oublie bien souvent de se pencher sur le difficile travail de décryptage de ces informations fallacieuses tant leur nature est parfois complexe à déterminer. Fake ou pas fake ? Petit retour sur quelques décryptages.
Les "fake news" circulent plus vite que les vraies infos, selon une étude
Les fausses informations ou "Fake news" circulent plus rapidement sur internet que les vraies informations, mais davantage du fait des internautes eux-mêmes que des "bots", selon une étude publiée jeudi par la revue Science. Elle porte sur la période allant de 2006 à 2017 et sur quelque 126.000 informations, vraies et fausses, diffusées sur Twitter par 3 millions de personnes plus de 4,5 millions de fois. Pour effectuer efficacement la distinction entre vraies et fausses informations, l'équipe s'est appuyée sur le travail de six organisations indépendantes de fact-checking. Les fausses informations sont, en moyenne, diffusées plus rapidement et plus largement que les vraies, selon les chercheurs au Massachusetts Institute of Technology (MIT). En moyenne, les vraies informations prennent six fois plus de temps que les fausses pour atteindre 1.500 personnes, d'après leurs analyses.
Ressources - Déconstruire la désinformation et les théories conspirationnistes
Apprendre à vérifier l’information L’éducation aux médias et à l’information met l’accent sur la capacité des élèves à analyser l’information et la source dont elle émane. Le programme pour le cycle 4 cite comme première compétence de l’EMI « Une connaissance critique de l’environnement informationnel et documentaire du XXIème siècle. » Dans le premier degré Pour le premier degré, la vidéo Vinz et Lou « La vérité ne sort pas toujours de la bouche d'internet » permet, sans traiter directement de la rumeur, de lancer le débat avec les élèves sur la manière dont ils vérifient les faits et croisent les informations. Toujours dans le premier degré, le site de l'IEN de Cluses (académie de Grenoble) met en ligne le travail de Rose-Marie Farinella qui fait passer à ses élèves un diplôme d'apprenti hoaxbuster à travers une séquence du 8 séances. Pour le collège et le lycée Scénario pédagogique Edu'base pour le collège afin de questionner les modes de partage de l'information par les élèves.
Chronique Éducation