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La mission d'entreprise

La mission d'entreprise
< Retour Peter Drucker observait déjà en 1973 que "la plus importante raison de frustration et d'échecs dans les entreprises provient d'une réflexion insuffisante de la raison d'être de l'entreprise, de sa mission". Cette réflexion est toujours d'actualité et beaucoup trop d'entreprises négligent le pouvoir et la portée d'une mission d'entreprise bien formulée. Qu'est-ce qu'une mission d'entreprise? Une définition possible de la mission d'entreprise est "la définition de sa raison d'être, l'aspiration suprême qu'elle tente continuellement d'atteindre". En contraste avec une mission, une "vision" sert à décrire un état futur désiré. Dans la littérature de management, on peut distinguer entre deux écoles de pensées. Exemples: Une entreprise définit son métier comme étant de "fabriquer des aiguilles de montres". Les éléments de la mission Il n'y a pas d'énoncé de mission juste ou faux, mais plutôt des énoncés qui ont un effet de mobilisation, d'inspiration ou qui laissent indifférents. J. Related:  nouveau discours des marques

Pourquoi est-il aussi important pour une entreprise d’avoir une raison d’être Chroniques d’experts Stratégie Le 09/01/2015 Temps de lecture : 2 minutes La plupart des entreprises n’ont pas de « vraie » raison d’être. Elles ont alors les plus grandes difficultés à connaître le succès. Comme l’a rappelé Cynthia Montgomery dans son ouvrage « The Strategist », la raison d’être est ce qui définit une entreprise de la manière la plus fondamentale possible : pourquoi existe-t-elle ? On pourrait penser que la raison d’être est un concept trop abstrait pour être utile aux managers. Qu’est-ce qu’une « vraie » raison d’être ? Il n’y a pas de recette pour développer une « vraie » raison d’être. Trois questions à se poser pour clarifier la raison d’être de votre entreprise Une entreprise a-t-elle une « vraie » raison d’être ? – si votre entreprise disparaissait, qui la regretterait vraiment (à part vous …) ? – à quels clients manquerait-elle le plus et pourquoi ? – combien de temps faudrait-il pour qu’un concurrent comble le vide qu’elle laisserait ? Abonnement intégral 14,50 € / mois

Dossier « dette écologique » de l’entreprise : l’empreinte carbone d’un bâtiment sur l’ensemble de son cycle de vie Cet article constitue le premier d’une série s’attachant à répondre aux questions suivantes : « Quelle est la dette carbone de mon entreprise ? Quelles externalités ? Quelles implications comptables ? Il s’agit ici de comprendre quelles sont les émissions de gaz à effet de serre (GES) associées aux actifs immobiliers des personnes morales de droit privé ou public. 1. 1.1 Principes, étapes, composants clefs La Méthode « Bilan Carbone », est une marque déposée, elle a été mise au point principalement par Jean-Marc Jancovici pour le compte de l’ADEME et de la Mission Interministérielle pour la problématique de l’effet de serre, entre 2001 et 2003. Cet outil a été créé afin de pouvoir mesurer précisément les émissions des gaz à effet de serre (GES) (CO2, Méthane CH4, Protoxyde d’azote N2O, etc.) générées par toutes activités humaines, au sens large du terme. La matrice de l’outil se compose généralement de la manière suivante : Imaginons que vous soyez une entreprise de pose de fenêtres. 2.

Donner du sens : le défi des marques CPG Une marque qui compte a ce « petit quelque chose en plus ». Elle instaure une relation émotionnelle forte avec ses clients et offre des expériences qui ont du sens. Pour y parvenir, il faut pouvoir identifier les comportements d’achat, avoir une meilleure connaissance client et être là au moment où le consommateur en a le plus besoin. C’est toute la force d’un marketing de précision à grande échelle, orienté vers un ciblage personnalisé. Selon une étude Ipsos, les utilisateurs prêtent 3 fois plus d’attention aux publicités « pertinentes pour moi »2. L’adoption d’un marketing de précision s’accompagne d’une transformation plus profonde à tous les niveaux de l’organisation. Une marque, porteuse de sens et créatrice de valeur, se distingue par une personnalité unique et des positions affirmées, mais aussi par la connaissance de ses clients et la pertinence de ses messages.

3es Assises de l'EEDD Trois jours de rassemblement, 1200 participants, 23 pilotes de chantiers thématiques, 50 animateurs d'ateliers.... tous réunis pour identifier 11 actions prioritaires, choisies par vote le jeudi 7 mars. Des orientations phares que le CFEEDD, l'ENC, les acteurs nationaux, les acteurs territoriaux de l'éducation à l'environnement et au développement durable se réapproprieront pour placer l'EEDD comme une composante intégrée et transversale des actions conduites par tous les acteurs de la société. (et sans oublier la richesse des 36 autres propositions !) ► Productions des Assises 11 Livrets ont été produits à l'issue des 11 chantiers thématiques qui ont structurés les Assises: Eau Energie-Climat Biodiversité Santé-Environnement Villes et territoires durables Alimentation Consommation et production durables Place aux jeunes Tous acteurs Gouvernance Valeurs et éthique Retrouvez ces productions sur le site des Assises : dans l'espace Ressources/Documents

Quand les étudiants des grandes écoles sélectionnent leurs employeurs en fonction de leur politique climatique Les étudiants maintiennent la pression. Ils sont plus de 30 000, inscrits dans des grandes écoles, de Polytechnique à l’École normale supérieure en passant par HEC, à avoir signé un Manifeste pour un réveil écologique lancé en octobre. L’objectif est de responsabiliser au maximum les entreprises en les questionnant sur leurs objectifs environnementaux. "Je pourrais refuser un poste si les engagements de l’entreprise vont à l’encontre de mes convictions", témoigne Thomas, polytechnicien, "mais dans les grandes écoles on a la chance d’avoir le choix, ce n’est pas le cas de tout le monde. Répondre à l'urgence climatique, un "facteur d'attractivité et de fidélisation" Depuis janvier, les fondateurs du Manifeste pour un réveil écologique ont ainsi rencontré plusieurs entreprises de la grande distribution, de l’énergie, de l’industrie… Pour l’instant, le premier round de réunion s’est réalisé avec les directeurs développement durable ou RSE (responsabilité sociétale des entreprises).

Qu’est-ce que la REDD+? La réduction des émissions liées à la déforestation et à la dégradation des forêts dans les pays en développement, et le rôle de la conservation, de la gestion durable des forêts et du renforcement des stocks de carbone forestiers dans les pays en développement (REDD+) sont des éléments importants du régime international des changements climatiques. On estime que la déforestation mondiale est la source de 20 p. 100 des émissions mondiales de gaz à effet de serre par année. En même temps, certains prétendent que la foresterie offre le plus grand potentiel de n’importe quel secteur pour fournir des solutions économiques de réduction de gaz à effet de serre entre maintenant et 2030. Le momentum s’est intensifié rapidement afin de renforcer l’inclusion de REDD+— un moyen d’aborder la dégradation de l’environnement et de favoriser l’amélioration des stocks de carbone forestier en attribuant une valeur économique aux forêts — dans un régime climatique international.

Facebook's mission: why building community is so important How to donate and fundraise on Facebook Meaningful Brands : Michelin en tête du classement Donner du sens fait vendre. La formule n'est pas neuve. Mais elle est de plus en plus vraie. Les trois-quarts des consommateurs achètent des marques qui "partagent leurs valeurs" selon l’étude Meaningful Brands 2019 (1). Zoom France Les marques les plus Meaningful en France le sont "avant tout pour l’excellence de leur produit ou de leur offre qui reste bien sûr déterminante dans leur valorisation. Des contenus toujours pas au niveau 90% des personnes interrogées s’attendent à ce que les marques leur offrent du contenu. Quid des Gafa ? Toutes les marques "gafa" perdent en confiance. Le retour de l'assurance Le secteur des assurances connait la plus forte dynamique. (1) Meaningful Brands® 2019, une grande enquête mondiale sur la perception des marques.

Finalité supérieure et subsidiarité : deux leviers puissants pour un engagement pérenne des collaborateurs… Il y a quelques semaines de cela, j’ai eu l’honneur d’être interviewé par Pascale Strubel, dont je vous recommande l’excellent site MyPhilantropy.fr. Pascale souhaitait notamment m’interroger sur les questions d’employee advocacy, mais aussi plus globalement sur les indicateurs et leviers d’engagement des collaborateurs.trices au sein des entreprises¹. Or, s’il est relativement facile de dire ce qu’est un collaborateur « engagé » (je le définis dans cet article comme « un collaborateur motivé par son travail et par son entreprise, qui se sent impliqué dans sa stratégie, ses objectifs, sa communication et qui se positionne comme un acteur pour aider l’entreprise à atteindre ses objectifs »), les indicateurs de mesure et surtout les déterminants de cet engagement sont plus complexes à appréhender… Je sais ce que certain.e.s d’entre vous allez penser : le revoilà qui nous parle de brand purpose, de mission et de raison d’être ;-)) ! 4 – Transformer le message sincère en message constant

Prise de position des marques : illustrer son engagement | Creative blog by Adobe L’une des tendances visuelles que nous avons identifiées en décembre dernier est la transformation de la relation entre les marques et les consommateurs — de nos jours, il ne suffit plus de proposer un produit ou un service d’exception pour fidéliser un client. Les individus consomment de plus en plus en fonction de valeurs et de principes, et les marques se doivent de prendre position. Pour les marques ayant adopté depuis leur création une communication audacieuse, la prise de position peut consister à susciter une controverse sur un problème social (Nike est un spécialiste en la matière). Pour autant, une position efficace n’implique pas nécessairement la controverse. Les meilleures campagnes de sensibilisation à un sujet amplifient le message de la marque. Concrètement, comment la tendance Prise de position des marques se traduit-elle dans l’univers visuel ? Les consommateurs se prononcent au travers de leurs achats Origine des produits : les marques se dévoilent The Adobe Stock Team

Écologie : qui sont les meilleurs directeurs RSE en France ? La RSE, il y a ceux qui en parlent… et ceux qui s’y mettent. Petit tour d’horizon de ceux qui font vraiment bouger les choses pour leur entreprise. Joël Tronchon, Directeur du Développement Durable chez Groupe SEB Au sein du Groupe SEB depuis 10 ans, Joël Tronchon a pour ambition de mener l’entreprise sur le chemin de l’intérêt général et du bien commun. Xavier Galliot, Chief Sustainability Officer d’Essilor Côté green, Xavier Galliot en connaît un rayon puisqu’il baigne dedans depuis 2007, avec des expériences chez Constellium puis chez Rexel. Fabienne Laredo-Morgaut, CSR & Foundation Director chez Maisons du Monde Auparavant, Maisons du Monde soutenait des associations grâce à la vente d’huiles essentielles. Arnaud Herrmann, Directeur Développement durable chez Accor En 2016, AccorHotels a dévoilé son plan « Planet 21 saison 2 », qui présente les grandes lignes à suivre pour le Groupe en matière de développement durable. Bertrand Swiderski, Sustainability Director chez Carrefour

Définir la raison d'être de son entreprise Martin Richer, président et fondateur de Management & RSE, et Agnès Rambaud, co-fondatrice de Des Enjeux et des Hommes, sont revenus le 6 Novembre dernier sur la notion de « raison d’être » lors d’une matinale au 3 rue du Louvre. Dans un contexte de défiance jamais atteinte vis-à-vis des grandes entreprises, en particulier en France, la raison d’être représente une étape dans la construction de l’entreprise responsable, elle est issue du rapport Notat-Sénard, dont les principales recommandations ont été retenues dans le projet de loi PACTE. Toutefois, comment faire de la raison d’être un véritable outil de management et de gouvernance et non un énième moyen de redorer un blason entaché ? Alors qu’une kyrielle de notions et d’outils se recoupent déjà autour des objectifs stratégiques d’une entreprise, de la vocation au « mission statement » en passant par la culture d’entreprise, la raison d’être propose de regrouper ce panorama et d’aller plus loin. Questions débattues en séance :

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