De l’usage homéopathique des listes face à la twittobésité
Cet article a été publié il y a 4 ans 3 mois , il est donc possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Infobésité = surcharge d’information et je baptise en hommage à cette chouette image sa sous-catégorie twittesque : la twittobésité ! (je l’avoue c’est cette superbe image qui a inspiré ce billet) Via nextnature.net En réalité, l’oiseau de twitter est intrinsèquement obèse : twitter est un média de flux, dans lequel on s’immerge : vouloir tout y lire est impossible, les solutions sont homéopathiques. Autrement dit, pour reprendre une des analyses les plus intelligentes que j’ai lue sur twitter, celle d’Olivier Ertzscheid (sans flagornerie hein et lisez l’intégralité de l’article !) A cet égard LePost vient de proposer Tweest qui entend mettre en avant les comptes twitter des hommes politiques, classés par partis, de manière à proposer une sorte d’annuaire pour choisir un cercle de personnes actives sur twitter… Auteur : Silvae (1100 Posts)
zenhabits
Structured Procrastination
L’infobésité, une pandémie à traiter - Blogs Intelligence économ
Les éditeurs de solutions de gestion des connaissances et autres structures conseil dans l’amélioration des processus décisionnels émettent régulièrement des analyses sur le problème de la surcharge informationnelle qui guette les travailleurs du savoir. Nos cousins du Québec ont substitué au concept d’« information overload » celui d’infobésité pour désigner cette surabondance de la matière première : la data, la donnée. Cette surcharge informationnelle est - pour les entreprises - génératrices de coûts (The Hidden Costs of Information Work" IDC - mars 2005). Cette impression est alimentée et entretenue par des acteurs du secteur de la recherche en ligne qui jusqu’à récemment jouaient les gros bras en annonçant fièrement la taille de l’index de leur moteur de recherche : des milliards de pages. Alors comment mettre de l’ordre dans cette masse informationnelle protéiforme ? « Alors vous imaginez ma surprise, au lever du jour, quand une drôle de petite voix m’a réveillé.
Petite Poucette, la génération mutante
Michel Serres, diplômé de l’Ecole navale et de Normale Sup, a visité le monde avant de l’expliquer à des générations d’étudiants. Historien des sciences et agrégé de philosophie, ancien compagnon de Michel Foucault, avec qui il a créé le Centre universitaire expérimental de Vincennes en 1968, il a suivi René Girard aux Etats-Unis, où il enseigne toujours, à plus de 80 ans. Ce prof baroudeur, académicien pas tout à fait comme les autres, scrute les transformations du monde et des hommes de son œil bleu et bienveillant. Son sujet de prédilection : la jeune génération, qui grandit dans un monde bouleversé, en proie à des changements comparables à ceux de la fin de l’Antiquité. La planète change, ils changent aussi, ont tout à réinventer. «Soyons indulgents avec eux, ce sont des mutants», implore Michel Serres, par ailleurs sévère sur sa génération et la suivante, qui laisseront les sociétés occidentales en friche. Vous annoncez qu’un «nouvel humain» est né. Pascale Nivelle
De la sérendipité… onirique
Sérendipité … voilà un mot chargé d’une étrange poésie. Curieux paradoxe, découvrir par hasard ce mot mystérieux et chercher à en percer le secret, c’est cela la sérendipité. L’origine du mot Le mot « serendipité » apparaît pour la première fois dans une lettre de Horace Walpole en 1754. L’histoire raconte comment 3 princes partis à l’aventure, doués d’un esprit vif et d’une grande capacité d’observation, remarquent des détails échappant aux autres et en tirent des conclusions justes. « Moi, c’est par pure déduction que j’ai affirmé : ce chameau est borgne, j’ai vu tout le long du chemin que les plantes et les épines n’étaient broutées que d’un côté. C’est par hasard qu’ils se sont trouvés sur le même chemin que le chameau et ont donc vu les traces de son passage, mais c’est avec perspicacité qu’ils ont su décrypter l’origine de ces traces alors qu’un autre passant n’aurait rien remarqué. Définition de la sérendipité La découverte du velcro est un exemple classique de sérendipité. Source:
Develop Routines At Home - Stepcase Lifehack
If you’re trying to do anything productively a system, and at some stage a routine, should be set. This is important for everything working from home or elsewhere. When you’re home all day and don’t have routines in place your day may become a shamble with nothing getting done properly. Unclutterer has some examples for different job routines around the house that will make life easier. Deep Cleaning — The best way that I’ve found to tackle cleaning is to give each room a day of the week (Monday is living room, Tuesday is family room, Wednesday is bedroom, Thursday is bathrooms, Friday is kitchen, etc.). Establishing Routines – [Unclutterer]
50+ Personal Productivity Blogs You’ve Never Heard of
The personal productivity niche on the Web has grown by leaps and bounds since Lifehack launched only a few years ago. While a few sites dominate the rankings, there are lots and lots of lesser-known sites that are as good or even better than the “A-list” productivity blogs. Most of them are solo operations — the GTD newbie documenting his or her quest for greater control over their life, the coach or consultant sharing his or her knowledge with the world, the writer adding to his or her published work with notes, errata, and new findings. Their voice is personal, intimate even — and deserves to be heard. Of course, the big names are here too — after all, I owe some of them a tremendous debt for helping me get a grip on my own life. Enjoy! 43 Folders: Merlin Mann started a lot of us on this journey, so now he has to pay. Do you know any productivity blogs that the world should know about? Read full content
Surcharge informationnelle
La surcharge informationnelle (en anglais information overload), surinformation ou infobésité (néologisme québécois[1],[2]), est l'excès d'informations qu'une personne ne peut traiter ou supporter sans se nuire à elle-même ou à son activité. Cette notion est également évoquée par le sociologue Edgar Morin sous l'appellation de « nuage informationnel »[3]. Bien que ce concept soit au début du XXIe siècle étroitement lié au développement des chaînes de télévision d'information en continu[réf. souhaitée], à l'utilisation des technologies de l'information et de la communication et, en particulier, des nouvelles technologies de l'information représentées par Internet, il a fait son apparition dès le début des années 1960 comme l'une des sources de dysfonctionnement des organisations[4]. Des mentions s'apparentant à la surcharge informationnelle remontent à l'Antiquité[18]. Ce concept peut recouvrir plusieurs concepts de surcharge[22] : La surcharge informationnelle peut devenir pathologique.
[Article thématique] Infobésité : mieux informés ou monde déformé ? – Mundus Fabula
par Camille Bresler, Kévin Bressan, Robin Ecoeur, Élie Guckert, Lucas Hueber contribution au dossier Médias numériques : comment fabriquent-ils nos mondes ? Source photo, libre de droit, Photo Monkey. Introduction : l’infobésité, le mal du 21e siècle On connaissait l’obésité, inhérente à nos modes de vies confrontés en permanence à la surabondance, on la retrouve aujourd’hui au sein même de l’information. Le « ce-n-est-pas-parce-qu-on-est-plus-informé-qu-on-est-mieux-informé » est alors de mise. On en est donc arrivé là. Réseaux sociaux, immédiateté et dérives Dans un cadre post-attentats, on peut se demander si les réseaux sociaux n’ont pas érodé la confiance du public par rapport à la couverture de l’information. Mais l’immédiateté de l’info prend aussi racine dans le journalisme citoyen : tout le monde peut se prétendre, désormais, journaliste, grâce à la multiplication des outils numériques. Quand la lenteur refait surface
10 simple ways to save yourself from messing up your life - Stepcase Lifehack
Stop taking so much notice of how you feel. How you feel is how you feel. It’ll pass soon. Adrian Savage is a writer, an Englishman, and a retired business executive, in that order. Read full content