Management bienveillant et RSE : ce que les jeunes générations attendent de l’entreprise
Les jeunes ont une image de l’entreprise globalement positive, c’est ce qui ressort de l’étude « NewGen for good : comment la nouvelle génération va transformer l’entreprise ? » que nous avons menée. Ainsi, les futurs diplômés sont respectivement 69 % et 18 % à déclarer avoir une vision du monde de l’entreprise « positive » et « très positive ». Pour les quelque 2 700 étudiants en fin de deuxième année d’études supérieure que nous avons interrogés, l’entreprise est notamment un « cœur économique », avec « un rôle central dans le dynamisme du monde », car c’est elle qui « crée les emplois », « fait avancer les causes », et c’est donc « par elle que le changement arrive ».
La bientraitance, fondement du label Humanitude
Le label Humanitude a été créé par l’association Asshumevie. Il s’agit d’un label basé sur des techniques de bientraitance en faveur des seniors et autres personnes fragiles, atteintes de maladies cognitives. A qui ce label est-il destiné ?
Peut-on former les managers à ce qui ne peut s'apprendre
Chroniques d’experts Leadership Le 08/08/2019 Peu de managers ont les qualités de leadership nécessaires pour faire face aux situations complexes.
Emploi : Moralscore classe les entreprises selon leurs valeurs morales
Les systèmes de notation d’entreprises ont le vent en poupe. En général, les employés notent leurs managers, l’ambiance de travail ou les salaires. Moralscore est différent : il catégorise les boîtes selon leurs valeurs éthiques. Vous pensez que l’I.A. est un formidable outil d’innovation ou un horrible moyen de remplacer les humains ?
Ÿnsect va construire la plus grande usine d'insectes au monde
C'est la petite boîte qui monte. Pas si petite en réalité : Ÿnsect vient de réaliser une levée de fonds record de 110 millions d'euros pour financer la plus grande usine mondiale de production d'insectes à Poulainville, dans les Hauts-de-France. Antoine Hubert, l'un des cofondateurs, nous explique comment il compte imposer ses matières premières (huile et farines) dans l'alimentation animale. Avec l'accroissement de la population mondiale, les besoins nutritionnels de la planète augmentent.
L’empowerment, une évolution de l’engagement
L’empowerment, une évolution de l’engagement ? Résultats et interprétation de l’enquête RH info La notion d'engagement est au cœur de nombre d'études.
Pour une écologie du travail, sortons des injonctions productivistes
Tribune. Le monde du travail est confronté à un paradoxe. Alors que les travailleurs, et en particulier les jeunes salariés, aspirent à la fois à donner davantage de sens à leurs productions et à ne pas faire du travail l’axe principal autour duquel graviterait leur vie, les tendances sont à la multiplication des bullshit jobs – ces emplois sans intérêt ni réelle fonction – et à l’allongement du temps de travail. De ce paradoxe découlent plusieurs oppositions qui structurent le monde du travail et la société française. Alors que les individus cherchent à s’émanciper des tâches contraintes, dont le travail en tant qu’activité hétéronome, le temps de travail des ouvriers comme des cadres s’allonge sous l’effet du chantage à la compétitivité et à la délocalisation pour les uns, et de l’injonction à la performance monétisée pour les autres.
Economie de fonctionnalité ou comment vendre par la valeur d'usage
L’économie de fonctionnalité, ayant pour objectif de vendre un service plutôt qu’un produit à ses clients, permet de proposer plus de valeur à ces derniers en faisant en sorte que le fournisseur reste le propriétaire de ses produits. Proposez plus de services à vos clients et fidélisez-les grâce à cette démarche : B&L évolution vous accompagne tout le long du processus. Pourquoi mettre en place un modèle d’économie de fonctionnalité dans son entreprise ?
Pourquoi le travail passera, dans le futur, par de nouvelles formes de gouvernance
Chroniques d’experts Organisation Le 07/08/2019 © Getty Images Temps de lecture : 10 minutes
La robotisation devrait engendrer la disparition de 14 % des emplois d’ici 20...
A quoi ressembleront nos emplois dans quelques décennies ? Convaincus que le progrès technologique apportera le meilleur, les techno-optimistes décrivent un monde où les robots occuperont les tâches les plus ingrates tandis que les humains se consacreront à leurs loisirs. Les techno-pessimistes, eux, penchent pour un scénario où l’intelligence artificielle (IA) détruira massivement les emplois, engendrant pauvreté, conflits de classes et instabilité politique. Si le pire n’est jamais sûr, la robotisation nourrit déjà une grande anxiété au sein des classes moyennes des pays industrialisés. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Les salariés français mal préparés à l’intelligence artificielle Dans L’Avenir du travail, le nouveau rapport qu’elle publie jeudi 25 avril, l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) s’efforce de faire le tri entre les inquiétudes légitimes et les peurs excessives sur le sujet.
La Quatrième révolution industrielle : ce qu’elle implique et comment y faire face
Nous sommes à l’aube d’une révolution technologique qui va fondamentalement changer nos relations aux autres ainsi que notre façon de vivre et de travailler. Ces changements, dans leur importance, leur portée et leur complexité, ne ressembleront en rien à ce que l’humanité a pu connaître jusqu’alors. Nous ne savons pas encore ce qui va se passer, mais une chose est sûre : notre réponse doit être globale et elle doit impliquer toutes les parties prenantes au niveau mondial : le secteur public, le secteur privé, le monde académique et la société civile. Lors de la Première révolution industrielle, l’eau et la vapeur ont permis de mécaniser la production.
Démotivation au travail : Le désengagement ravageur des salariés
Une épidémie sournoise et massive mine les résultats des entreprises © Freepik Pernicieuse car discrète, cette maladie touche la plupart des organisations mais affecte plus particulièrement les performances des grands groupes. Le manque d’engagement de leurs salariés prend une importance croissance qui dépasse les préoccupations classiques des DRH pour s’imposer désormais comme une priorité aux directions générales.