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Burrhus Frederic Skinner

Burrhus Frederic Skinner
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Skinner. Dans les années 1950 Burrhus Frederic Skinner est un psychologue et un penseur américain. Biographie[modifier | modifier le code] Skinner est né en 1904 en Pennsylvanie aux États-Unis. Travaux et apports de Skinner[modifier | modifier le code] Présentation[modifier | modifier le code] Sa contribution théorique majeure en psychologie est le concept de conditionnement opérant, qu'il distingue du conditionnement classique pavlovien ou conditionnement répondant. Il est l'inventeur d'un dispositif de conditionnement opérant communément appelé boîte de Skinner. En 1957, Skinner a étendu l'application des mêmes principes de conditionnement opérant à la communication, dans son ouvrage intitulé Verbal Behavior. Critiques[modifier | modifier le code] Skinner a voulu étendre cette théorie du comportement à l'espèce humaine (les stimuli ne sont que plus complexes, et forment alors une « situation »). ↑ Steven J. Related:  Cogniticiens, informaticiens, anthropologues (L-Z)

Maurice Nivat Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Nivat. Cet article ou cette section traite d’une personne morte récemment(21 septembre 2017). Le texte peut changer fréquemment, n’est peut-être pas à jour et peut manquer de recul. Les biographies étant habituellement écrites au présent de narration, merci de ne pas mettre au passé les verbes qui sont actuellement au présent. Maurice Paul Nivat, né le à Clermont-Ferrand et mort le [1], est un informaticien français. Professeur à l'université Paris Diderot et membre du Laboratoire d'informatique algorithmique : fondements et applications (CNRS UMR 7089), il prend sa retraite en 2001 sans arrêter la recherche[2]. Ses travaux portent sur les différents domaines de l'informatique théorique : la théorie des langages formels, la sémantique des langages de programmation et la géométrie discrète. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunes années et formation[modifier | modifier le code]

Jean Piaget Jean Piaget en 1967-1968. Jean Piaget, né le 9 août 1896 à Neuchâtel et mort le 16 septembre 1980 à Genève, est un biologiste, psychologue, logicien et épistémologue suisse connu pour ses travaux en psychologie du développement et en épistémologie à travers ce qu'il a appelé l'épistémologie génétique (ou structuralisme génétique). Ses travaux apportent un éclairage sur l'« intelligence », comprise comme une forme spécifique de l'adaptation du vivant à son milieu, sur les stades d'évolution de celle-ci chez l'enfant et sa théorie de l'apprentissage. Cet éclairage exercera une influence notable sur la pédagogie et les méthodes éducatives[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Jean Piaget est le fils aîné d'Arthur Édouard Piaget (1865-1952), professeur de littérature médiévale, et de la française Rebecca Susanne Jackson (1872-1942)[2], fille de William Fritz Jackson (petit-fils de James Jackson). Son intérêt pour les mollusques se développe après l'adolescence. Estimations :

La théorie des intelligences multiples Le slow blog de Serge: Adieu Maurice J’étais doctorant aux Etats-Unis quand j’ai rencontré Maurice Nivat pour la première fois. C’était à Santa Barbara, en 1979 je crois, pour un séminaire sur la théorie des langages, alors la branche peut-être la plus active de l’informatique théorique. Il y avait quelque chose de surréaliste à croiser dans les couloirs des Euler, des Newton, des Poincaré des temps présents : Jeff Ullman, Sheila Greibach et… Maurice Nivat, les pionniers de la théorie des langages et des automates. Assis au fond de la salle, ses questions pointues pouvaient terroriser certains conférenciers. Maurice a participé à la construction de la communauté de recherche européenne en informatique. J’ai plus tard côtoyé le Maurice « militant de l’enseignement de l’informatique ». Plus récemment, j’ai la chance de pouvoir dire qu’il était devenu un ami. Ce que je retiens surtout de Maurice : l’intensité dans la recherche, dans la vie, dans son humanisme intransigeant, en tout. Adieu Maurice.

Émile Durkheim Pour les articles homonymes, voir Durkheim. David Émile Durkheim, né le à Épinal et mort le à Paris[1], est un sociologue français considéré comme l'un des fondateurs de la sociologie moderne. En effet, si celle-ci doit son nom à Emmanuel-Joseph Sieyès et a été popularisée par Auguste Comte à partir de 1848, c'est grâce à Durkheim et à l'École qu'il formera autour de la revue L'Année sociologique[2] (1898) que la sociologie française a connu une forte impulsion à la fin du XIXe siècle et au début du XXe. Formé à l'école du positivisme, Durkheim définit le « fait social » comme une entité sui generis, c'est-à-dire en tant que totalité non réductible à la somme de ses parties. L'apport de Durkheim à la sociologie est fondamental, puisque sa méthode, ses principes et ses études exemplaires, comme celle sur le suicide ou la religion, constituent toujours les bases de la sociologie moderne. Biographie[modifier | modifier le code] Années de formation[modifier | modifier le code]

Le conditionnement opérant Stéphane Mallat Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Mallat. Stéphane Mallat Stéphane G. Mallat, né à Paris en 1962, est un chercheur en mathématiques appliquées spécialiste du traitement du signal. Carrière[modifier | modifier le code] Après avoir obtenu son doctorat en 1988 à l’Université de Pennsylvanie, Stéphane Mallat fonde et développe la « théorie des ondelettes » dès 1989, révolutionnant l’analyse harmonique et le traitement du signal. En parallèle, il crée la start-up LetItWave en 2001 qu’il dirige jusqu’à son rachat en 2008 par ZORAN Coporation. Travaux scientifiques[modifier | modifier le code] Stéphane Mallat a contribué d'une manière fondamentale au développement de la théorie des ondelettes avec des applications comme l'imagerie médicale, la détection des ondes gravitationnelles[4], le cinéma numérique[5], le codage numérique[6]. Stéphane Mallat a travaillé aussi dans les domaines de la musique synthétique et la segmentation d'image.

Accompagner la démarche portfolio L'influence béhavioriste sur la psychologie de l'enfance - Psychoenfance Premièrement qu’est-ce que le béhaviorisme? Le béhaviorisme ou autrement appelé comportementalisme est une des bases de la psychologie de l’enfance. Il se définit par l’étude du comportement observable déterminé par l’influence de l’environnement(le milieu) avec l’individu. Le béhaviorisme est une étude qui est encore utilisé de nos jours. Il fut établit en 1913 par John Broadus Watson qui en définissa les bases. Les expériences les plus connus: -Pour ce qui est de John Broadus Watson, il a pratiquer la célèbre expérience sur le rat et le jeune Albert. -pour ce qui est de Burrhus Frederic Skinner, il créa l'expérience de la boîte. Il existe cependant plusieurs types d'études béhavioristes tels que: -Le conditionnement classique Pavlovien, dans ce type de béhaviorisme, le but est d'imposer un stimulus qui entraine un changement variable. -Le conditionnement opérant, pour celui-ci, on exerce un peu l'inverse du conditionnement classique. Accueil Sources: Site Internet

L'histoire du génial mathématicien méconnu qui influa sur le XXe siècle Temps de lecture: 6 min Enfant précoce, esprit trop brillant pour son siècle, le personnage de John von Neumann est, 60 ans après sa mort, le sujet d’un documentaire diffusé sur Arte le 14 février dernier. Von Neumann est issu de la haute-bourgeoisie juive de Budapest. Son père a été anobli en 1913 pour services rendus à la monarchie. Johann von Neumann (qui anglicisera plus tard son prénom) est un enfant étonnant, incapable de rester en place et dont l’esprit semble battre la campagne en permanence. Un esprit vif, trop vif John von Neumann semble avoir été intéressé par à peu près tous les sujets physiques ou mathématiques. Alors comment expliquer qu’un tel génie, qui a par ailleurs donné son nom à des prix scientifiques, soit si peu connu du grand public? Comme lui, pourtant, von Neumann est parti d’Allemagne où il occupait un poste important à l’université de Berlin, dès 1933, pour occuper un poste à Princeton. Il travaille sur le projet Manhattan Un cynisme aussi absolu qu’implacable

Pédagogie Montessori La pédagogie Montessori est une méthode d'éducation créée en 1907 par Maria Montessori. Sa pédagogie repose sur l'éducation sensorielle et kinesthésique de l'enfant. Description[modifier | modifier le code] La pédagogue italienne Maria Montessori étudie d'abord en médecine. Ce projet d'éducation nouvelle s'inscrit dans la promotion de la paix et du progrès ; il repose sur trois piliers : une posture particulière de l’éducateur, un environnement préparé et un matériel pédagogique spécifique[2]. Montessori a voulu élaborer une « pédagogie scientifique » s'appuyant sur une démarche expérimentale et des observations, dans le but d'obtenir l’épanouissement de l'enfant[3]. de 0 à 6 ans (petite enfance) : l’enfant veut apprendre à se débrouiller seul. Elle utilise du matériel repris notamment aux professeurs Jean Itard et Édouard Séguin, tout en l'adaptant aux périodes sensibles de l'enfant. Historique[modifier | modifier le code] Montessori aujourd'hui[modifier | modifier le code]

Le behaviorisme : réflexions et perspectives Conclusions Aujourd’hui, le behaviorisme appartient à l’Histoire. Son influence a décru à partir des années soixante-dix à la suite, notamment, des critiques de Noam Chomsky. Pour ma part, en relisant ces théories, je ne peux m’empêcher de me poser deux questions : – Tout d’abord, tout cela est-il bien moral? Toutefois, si le comportementalisme ne manque pas des susciter des questions, il convient de les laisser ouvertes avant de se précipiter sur les réponses. D’une manière générale et particulièrement en psychologie, j’ai toujours eu un faible pour les positions minoritaires. Retour au dossier sur le comportementalisme. S’abonner aux articles et aux commentaires de Paradoxa. Like this: J'aime chargement…

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