background preloader

Neurosciences : les méandres du cerveau

Neurosciences : les méandres du cerveau
Related:  Désinformationpsycho-Neurosciences

Le point de vue de Catherine Gueguen sur le développement des compétences sociales et émotionnelles du jeune enfant Nelson Mandela disait « l’Education est l’arme la plus puissante que vous pouvez utiliser pour changer le monde. » Plus récemment, la jeune militante pakistanaise Malala Yousafzai expliquait que certes avec des armes on peut tuer les terroristes, mais c’est avec l’éducation qu’on peut tuer l’idéologie du terrorisme. En effet, le cerveau du jeune enfant étant très malléable, on peut en faire ce que l’on veut. Tout s’imprime en profondeur dans son cerveau. D’où l’importance capitale du travail des professionnels auprès des jeunes enfants. Adopter une attitude empathique et bienveillante En France, on connaît bien les neurosciences cognitives - le ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer a même créé un comité scientifique avec des experts sur le sujet. Elles nous disent que la relation idéale - empathique, soutenante, aimante - est la condition fondamentale pour que le cerveau puisse se développer au maximum de ses capacités. Il ne s’agit pas de le laisser tout faire sans rien dire !

Changer l’école : prenez garde aux neuromythes ! Les neurosciences sont fascinantes. Alors que le cerveau humain restait une forteresse inatteignable depuis la nuit des temps, une sorte de boîte noire recelant les mystères de l’esprit, voilà que les progrès technologiques transforment la science-fiction en réalité. En nous permettant d’observer l’activité cérébrale, ils ouvrent une perspective vertigineuse : toute personne deviendrait un livre ouvert, dont la réflexion et la « subjectivité » pourraient se traduire en signaux objectifs. De l’espoir de réussir à décortiquer les rouages de la psychologie humaine naît la soif d’en comprendre et dominer la complexité. Cette dernière discipline paraît porteuse d’un enjeu particulier. Neurosciences ou sciences cognitives ? Lorsqu’on parle de « neuro » éducation, force est de constater que ce sont presque toujours des résultats issus des sciences cognitives en général, et de la psychologie expérimentale en particulier, qui sont mis en avant. De l’imagerie cérébrale aux mirages Effets d’annonce

Numérique : Cartes, schémas, mindmap et neurones La popularité récente et grandissante des cartes heuristiques, cartes conceptuelles et autres mindmap en éducation, s'accompagne d'une multiplication assez impressionnante de solutions logicielles en ligne (ou non) pour aider à les élaborer ainsi que sur tablette, comme sur ordinateur. Individuelles, collectives, collaboratives, les cartes conceptuelles, les schémas heuristiques et autres cartes mentales s'imposent dans l'environnement de travail comme un élément de plus en plus indispensable au coté des traditionnels outils bureautiques. On trouve en ligne une très abondante littérature sur ces logiciels et sur leurs usages. Si certains découvrent ces logiciels, d'autres peuvent témoigner que voilà près de vingt années qu'ils sont dans le paysage informatique mais aussi dans le paysage scolaire. Malheureusement un aspect de ces schémas, à la base de leur popularité, fait travailler l'imaginaire : ils ressemblent à ce que l'on croit être un réseau de neurones. Et en classe alors ?

Chaotic households undermine children’s development of executive functioning through less responsive parenting Children living in chaotic households demonstrate worse executive functioning, according to a study published in BMC Psychology. The findings revealed that this effect was partly driven by lower parental responsiveness in chaotic households. Executive functions begin to develop in early childhood, helping guide children’s mental processes, emotions, and behaviors. These functions include inhibition, cognitive flexibility, and working memory. Since these processes are susceptible to environmental influence, it follows that an adverse childhood environment might impact their development. Study authors Krysta Andrews and her team conducted a study to explore how a chaotic home environment might influence executive functioning among kindergarten-aged children. A final sample of 128 children and their mothers participated in the study. It was found that parental responsiveness was positively associated with children’s scores for each executive function task.

Nouvelles pratiques du journalisme | Sciences Po École de journalisme Comment devenir journaliste en 2015? Et faut-il le devenir? A ces questions, Félix Salmon, l’éditeur de Fusion, passé par Reuters, répond que "la vie n’est pas belle pour les journalistes" (EN). Pas d’accord, et même pas d’accord du tout – mais comme on aime les débats à l’École de journalisme de Sciences Po, on a invité Félix Salmon à donner la leçon inaugurale le 28 août prochain, et il a gentiment accepté. Lire la suite sur W.I.P. Comment devenir journaliste en 2015? Pas d’accord, et même pas d’accord du tout – mais comme on aime les débats à l’École de journalisme de Sciences Po, on a invité Félix Salmon à donner la leçon inaugurale le 28 août prochain, et il a gentiment accepté. Lire la suite sur W.I.P.

Neurosciences et salle de classe : beaucoup de bruit, peu d’effets L’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) annonçait en 2007 la naissance d’une science de l’apprentissage qui aurait pour parents les neurosciences et l’éducation. Si on arrivait à mieux comprendre comment fonctionne le cerveau, les enseignants pourraient alors adapter leurs pratiques pédagogiques. Évidemment, tout ça n’est pas si simple. C’est ce que nous expliquent Marie Gaussel et Catherine Reverdy, suite à la publication d’un dossier sur ce sujet. Nous nous sommes intéressées aux domaines éducatifs sur lesquels les neurosciences pouvaient avoir un impact : que se passe-t-il dans le cerveau quand on apprend à lire ? Nos capacités cognitives sont-elles mobiles et évolutives ou bien sont-elles fixées depuis la naissance ? Marie Gaussel Et la salle de classe, peut-elle devenir un laboratoire ? Quels sont donc les problèmes liés à l’implantation des neurosciences à l’école ? Catherine Reverdy Pour en savoir plus Article extrait du numéro :

Prise de décision Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La prise de décision est un processus cognitif complexe, différent de la réaction instinctive et immédiate, visant à la sélection d'un type d'action parmi différentes alternatives. Ce processus repose théoriquement sur des critères de choix et sur une analyse des enjeux et des options, et conduit à un choix final. Le résultat peut être une action ou une opinion d’un choix[pas clair]. Le décideur peut être une personne autonome ou une entité multiple telle qu'un couple, une famille[1], un conseil d'administration, une collectivité (on parle ainsi de décideur public, de décision juridique...), ou un organisme de type établissement de santé. Prise de décision[modifier | modifier le code] Au sens le plus large, la notion de prise de décision peut concerner tout organisme vivant doté d'un système nerveux. Processus cognitif[modifier | modifier le code] La décision n'est pas nécessairement exprimée (mais elle doit être consciente). ↑ C.

1.200 élus, personnalités et acteurs de l'éducation défendent le bilan de Macron sur l'école La tribune : "Nous, citoyennes et citoyens, nous reconnaissons dans la démarche du collectif 'Je m'engage pour l'école!' fondé pour promouvoir les valeurs de la République, lutter contre les inégalités de destin, refaire société à l'école et préparer nos enfants aux défis d'un monde en transition car nous sommes convaincus que la transformation de notre système éducatif requiert la mobilisation de l'ensemble de la communauté éducative. Depuis 2017, la France a renoué avec le volontarisme politique en matière d'éducation. Face à l'échec scolaire annoncé pour 2 enfants sur 10 ne maîtrisant pas la lecture, l'écriture et le calcul en fin de CM2, la décision de passer de 24 à 12 élèves dans les classes de grande section de maternelle, de CP et de CE1 des écoles situées en réseau d'éducation prioritaire, est historique. Ce dédoublement a déjà changé la donne pour les 380.000 élèves qui en bénéficient chaque année comme en témoignent les premières évaluations. Le chantier est vaste.

Éducation aux médias et à l'information - Déconstruire la désinformation et les théories conspirationnistes L'apport de l'Education aux médias et à l'information (EMI) et de l'esprit critique L’éducation aux médias et à l’information met l’accent sur la capacité des élèves à analyser l’information et la source dont elle émane. Le programme pour le cycle 4 cite comme première compétence de l’EMI « Une connaissance critique de l’environnement informationnel et documentaire du XXIème siècle. » Outils pour l'école, le collège et le lycée Dans le premier degré Pour le premier degré, la vidéo Vinz et Lou « La vérité ne sort pas toujours de la bouche d'internet » permet, sans traiter directement de la rumeur, de lancer le débat avec les élèves sur la manière dont ils vérifient les faits et croisent les informations. Toujours dans le premier degré, le site de l'IEN de Cluses (académie de Grenoble) met en ligne le travail de Rose-Marie Farinella qui fait passer à ses élèves un diplôme d'apprenti hoaxbuster à travers une séquence du 8 séances. Pour le collège et le lycée Réagir face aux théories du complot

Neuroéducation et neuropsychanalyse : du neuroenchantement aux neurofoutaises | Ramus méninges Version pré-publication d'un article à paraître dans Intellectica. Dans une expérience devenue classique, des explications d’un phénomène psychologique ont été jugées par les participants plus convaincantes et plus satisfaisantes lorsqu’elles étaient accompagnées d’une mention de régions cérébrales (et ce particulièrement lorsque ces explications étaient incorrectes) (Weisberg, Keil, Goodstein, Rawson, & Gray, 2008). Peu après, une autre étude montrait que les explications jugées les plus convaincantes étaient celles accompagnées d’images d’activations cérébrales (McCabe & Castel, 2008). Une étude plus récente a également montré que l’usage apparent d’un faux appareil d’imagerie cérébrale rendait les participants particulièrement crédules vis-à-vis d’un tour de magie de type « mentaliste » (lecture des pensées) (Ali, Lifshitz, & Raz, 2014). Occultation de la psychologie La plasticité cérébrale peut-elle sauver la psychanalyse ? La rééducation de la dyslexie évaluée par IRM Ali, S.

Imagerie mentale visuelle - nouveaux modèles des réseaux cérébraux Comment parvenons-nous à « voir » des images dans nos pensées ? Si l’on vous parle du tableau Monna Lisa de Léonard de Vinci, vous pouvez surement le visualiser dans votre tête et vous souvenir du sourire énigmatique de la Joconde. Une étude récente de l’équipe de Paolo Bartolomeo, publiée dans Neuroscience & Biobehavioral Reviews, propose un nouveau modèle sur les bases cérébrales de cette capacité appelée imagerie mentale visuelle. Qu’est-ce qui est d’un rouge le plus foncé entre une fraise et une cerise ? La théorie dominante pour expliquer ce qu’il se passe dans notre cerveau lorsque nous créons de telles images est que nous faisons appel au même système que celui engagé pour la vraie vision : l’aire visuelle primaire située dans le cortex occipital, à l’arrière de notre cerveau. « Il y a déjà 20 ans, j’avais rencontré une patiente qui avait fait deux AVC presque symétriques, entre les lobes occipitaux et temporaux des deux hémisphères. Ce cas était loin d’être unique. Source

twitter

Related: