background preloader

Le règlement général sur la protection des données (RGPD), mode d’emploi

Le règlement général sur la protection des données (RGPD), mode d’emploi
Le RGPD, qu’est-ce que c’est ? Le règlement général de protection des données (RGPD) est un texte réglementaire européen qui encadre le traitement des données de manière égalitaire sur tout le territoire de l’Union Européenne. Il est entré en application le 25 mai 2018. Le RGPD s’inscrit dans la continuité de la Loi française Informatique et Libertés de 1978 établissant des règles sur la collecte et l’utilisation des données sur le territoire français. Il a été conçu autour de 3 objectifs : renforcer les droits des personnesresponsabiliser les acteurs traitant des donnéescrédibiliser la régulation grâce à une coopération renforcée entre les autorités de protection des données. Données personnelles : de quoi parle-t-on ? Une donnée personnelle est décrite par la CNIL comme « toute information se rapportant à une personne physique identifiée ou identifiable ». identification directe (nom, prénom etc.)identification indirecte (identifiant, numéro etc.). Êtes-vous concerné par le RGPD ?

https://www.economie.gouv.fr/entreprises/reglement-general-sur-protection-des-donnees-rgpd#

Related:  RGPDRGPD

Le numérique peut-il booster la politique RSE des entreprises ? Réel engagement en faveur du climat, réalignement des valeurs individuelles avec l'activité professionnelle, volonté d'avoir un impact positif tangible pour l'avenir, etc., autant de résolutions qui doivent s'inscrire dans les démarches RSE des entreprises, et ce de façon transversale. Dans cet objectif, les outils digitaux s'imposent comme de véritables accélérateurs du changement. Le monde d'après ne s'envisage pas sans une responsabilité sociétale accrue de la part des entreprises

Le numérique au service de l'École de la confiance Placer les données scolaires au cœur de la stratégie numérique du ministère L'Éducation nationale produit aujourd'hui un très grand nombre de données liées à la vie scolaire, aux évaluations et aux résultats des élèves, aux travaux et aux devoirs qu'ils réalisent. Une grande variété de données numériques personnelles sont ainsi collectées, stockées et font l'objet de traitements par une multitude d'acteurs (écoles et établissements scolaires, services académiques, collectivités territoriales, partenaires privés fournissant des ressources pédagogiques et services numériques). Le ministère de l'Éducation nationale doit impérativement s'assurer que les flux, les traitements et l'hébergement de ces données scolaires respectent strictement la vie privée des élèves et de leur famille, des professeurs et des personnels administratifs. Mieux protéger pour mieux valoriser sera donc la pierre angulaire de la stratégie ministérielle en matière de données numériques. Mieux protéger...

Éducation et Numérique : Inria fait le point dans un livre blanc Ce livre blanc s’inscrit dans une véritable volonté de l’institut de renforcer sa contribution dans son activité de recherche et dans la production de ressources sur l’éducation au et par le numérique. Inria l’avait en effet énoncé dans son Contrat d’Objectif et de Performance 2019-2023 : l’apprentissage tout au long de la vie doit être l’une des priorités scientifiques de l’institut, au même titre que l’informatique quantique, la sécurité numérique ou encore l’IA responsable. L’institut s’est également engagé, dans cette feuille de route, à renforcer son appui aux politiques publiques à fort enjeu. Dans cette optique, il ambitionne de poursuivre ses efforts sur l’enseignement des fondements du numérique, en renforçant, d’une part, ses liens avec l’Éducation nationale et, d'autre part, ses recherche transdisciplinaires grâce à l’agilité de son modèle d’organisation en équipes-projets. Article publié sur le site : : INRIAPhoto : © Inria / Photo G.

Quelle politique de concurrence pour l’économie numérique ? L'économie numérique actuelle se caractérise par de puissants « effets de réseaux » : l'attractivité d'un service numérique est d'autant plus grande que de nombreux utilisateurs y sont déjà connectés, soit sur le même côté de la plateforme (comme dans les réseaux sociaux), soit sur l'autre, comme dans les services de type Uber ou Booking où la qualité de service offerte aux consommateurs est d'autant plus grande que les chauffeurs et les hôtels sont nombreux. Conséquence directe de ces effets de réseau, les opérateurs cherchent à atteindre une taille importante, donnant ainsi naissance aux géants de l'internet : hier les « GAFA » (Google, Apple, Facebook, Amazon), aujourd'hui les « NATU » (Netflix, AirBn'B, Tesla et Uber), sont les figures emblématiques de la disruption numérique. Toutefois, la grande taille de ces entreprises, source de leur efficacité, fait naître des positions dominantes difficiles à contester pour de nouveaux entrants. ([1]) Colin N., A. Landier, P. Mohnen et A.

Les politiques publiques en faveur du numérique En France, une impulsion venant de l'Etat En France, le Conseil national du numérique (CNNum) est un organisme consultatif en charge d'étudier les questions relatives au numérique et d'informer et conseiller le gouvernement quant aux enjeux et perspectives de la transition numérique. Constituée de personnalités civiles expertes du numérique, cette instance est placée sous la tutelle du ministre chargé du numérique depuis décembre 2017 et défend une transition numérique citoyenne et inclusive. Les 7 recommandations du Conseil National du Numérique pour une transition numérique citoyenne et inclusive : Ainsi, le CNNum place au cœur de ses réflexions et propositions à venir « la reconfiguration de l’économie par les plateformes, la coexistence entre l’intelligence des machines et l’intelligence humaine, la régulation des données, les inégalités sociales et territoriales, la démocratie ouverte dans un monde dangereux, la convergence entre transformation numérique et transition écologique. »

Suramortissement exceptionnel en faveur des investissements de transformation numérique Les nouvelles technologies de l’industrie du futur (numérisation, robotisation, impression 3D, réalité augmentée, Big Data…) permettent aux entreprises de réaliser un véritable saut de productivité. Dans ce cadre, le Gouvernement a mis en place un ensemble de mesures visant à moderniser le tissu productif français dans tous les territoires, afin d’améliorer notre compétitivité, et in fine de contribuer à la réindustrialisation du pays. L’une de ces actions vise à soutenir l’investissement des PME industrielles, afin de leur permettre de se tourner à moindre coût vers des technologies de l’industrie du futur qu’elles intègrent dans leur ligne de production. Pour soutenir ces investissements, l’Etat a réintroduit un système de suramortissement fiscal permettant à une PME industrielle de déduire de son résultat imposable jusqu’à 40 % du prix de revient des biens et logiciels contribuant à sa transformation vers l’industrie du futur, pour toute acquisition réalisée sur la période 2019-2020.

Related: