2h32 (!) Conférence colibris "Le sens de la communauté" Colibris a organisé samedi 16 janvier 2016 la conférence "Le sens de la communauté au 21e siècle", au Trianon à Paris.En présence de :Bernard Werber, Écrivain,Margalida Reus, Responsable générale international de la Communauté de l’Arche, NonViolence et SpiritualitéThierry Kuhn, Président d’Emmaüs FrancePierre Rabhi, Fondateur de ColibrisMathieu Labonne, Directeur de Colibris et coordinateur du centre Amma FranceLa conférence s'est terminée en musique avec la participation de Gael Faure ! Ensemble, ils ont interrogé nos modes de vie et le sens de la communauté au 21e siècle.À quoi ressemble une communauté aujourd’hui ? La communauté est-elle un frein à notre liberté individuelle ou au contraire une source de richesse ? En quoi la communauté peut-elle nous aider à faire face aux défis sociaux et environnementaux ?
« There Is No Alternative » au capitalisme ! 200 exemples prouvent le contraire dans un livre « Il n’y a pas d’alternative » au système actuel. Plus que jamais, les citoyens sont accoutumés à ce slogan attribué à la vision très à droite de Margaret Thatcher et qui signifiait que le marché, le capitalisme et la mondialisation sont des phénomènes inévitables, le tout, défendant une politique libérale agressive et décomplexée. Avec son livre « Il faut tuer TINA », Olivier Bonfond répond à cette doctrine et démontre non seulement que des alternatives sont possibles, mais qu’en plus elles existent déjà ! Fort de 200 exemples, l’ouvrage s’inscrit ainsi dans un mouvement résolument positif et permet de mettre en lumière les initiatives citoyennes porteuses de sens ainsi que les solutions trop souvent marginalisées. Pour Olivier Bonfond, il faut s’attaquer collectivement au marasme ambiant et à la croyance tenace selon laquelle « There Is No Alternative » comme le martelait Thatcher pour défendre sa politique conservatrice dans les années 80. Un livre en hommage aux volontés citoyennes
5 écovillages touristiques à découvrir pour des vacances nature Les écovillages s’ouvrent de plus en plus au tourisme. Autour d’une communauté solidaire, ils proposent un mode de vie différent, intégrant notamment le jardinage collectif, une alimentation respectant l’environnement et des constructions écologiques. Nous avons retenu cinq écovillages touristiques qui nous paraissent incontournables pour des vacances nature. Sainte-Camelle, l’écovillage ardéchois en vogue Nous avons déjà parlé de l’écovillage de Sainte-Camelle dans ces pages. En Ariège, l’écovillage de Pourgues Plus touristique, l’écovillage de Pourgues accueille les habitants de passage pour une semaine de vie collective, dans des tentes safari aménagées ou dans la bâtisse historique (XIXe). Le séjour est plus ou moins immersif, selon l’envie des vacanciers. Des écovillages touristiques en Bretagne ? Ce village était l’un des premiers écovillages touristiques à offrir des vacances nature dans une communauté. équitation,pêche,course d’orientation,construction de cabanes.
Note sur "un nouveau nous" - à venir- Association Galléco | Une monnaie pour agir Langouët, petit village gaulois 100 % écolo «Small is beautiful» pourrait être la devise de Langouët. Le village de 600 âmes basé près de Rennes est en passe de devenir autonome sur le plan énergétique et vise l'indépendance alimentaire. Pour atteindre ses objectifs, la commune multiplie les projets depuis vingt ans: une cantine 100 % bio et locale depuis 2004, des logements sociaux passifs (sans système de chauffage actif, ou très peu), un hameau de «maisons- potagers», un jardin de formation en permaculture, un café participatif, une centrale solaire, une pépinière d'activités centrée sur l'économie sociale et solidaire, une voiture électrique partagée… C'est Daniel Cueff, maire depuis 1999, qui a donné cette impulsion. L'élu s'appuie sur ses administrés pour réaliser les projets. Au point que, dans un contexte de chute des dotations publiques, le village a pu compter sur ses habitants pour financer ses expérimentations. «Tout ce que nous pouvons faire localement, nous le faisons!» Écologie sociale
Pourquoi je ne vais finalement pas créer d’école (Partie 2) | L’École de Mes Rêves Cet article est pour vous, parents et enseignants, qui suivez mon blog depuis quelques temps, ou bien, qui venez de le découvrir suite au sondage que j’ai diffusé le mois dernier à l’attention des parents de la région niçoise. Je souhaite partager avec vous les principales raisons de ma décision longuement réfléchie : je ne vais pas créer d’école. Un peu de contexte En septembre 2015, après deux ans à vivre difficilement mon métier d’enseignante, que j’adore pourtant, j’arrête de travailler pour l’Education nationale et je pars voyager avec mon mari. C’est le second long voyage que nous entamons ; et je sais, d’expérience, qu’il me faut donner un but « professionnel » à ce voyage pour donner un sens à mes journées. Je crée alors le blog « L’École de Mes Rêves » ; je visite des écoles alternatives ; et je développe l’idée d’un projet d’école. Une année de voyage, une année à rêver le projet d’école. Une école pour tous ? Je ne le pourrai pas non plus dans le système. La suite de l’aventure
Classement des vidéos dans cette rubriquePour le moment... A quand le vrai changement de modèle de société? "Le changement, c'est maintenant"... Voilà une idée que nous pourrions trouver bien enthousiasmante de la part du politique. Enfin un changement de modèle de société nous est proposé! Mais à y regarder de plus près, en scrutant à la loupe les projets et programmes de tous bords de gauche comme de droite, on y voit bien la proposition d'un changement d'homme, claire, nette, ou de prolongement d'une politique en cours, mais point de changement de paradigme à l'horizon... Une nouvelle fois les véritables enjeux de notre société ne sont pas abordés dans cette campagne. On n'a pas voulu voir que la métamorphose de notre société est malheureusement devenue une nécessité, et que de toutes façons le monde se transforme déjà autour de nous. Et si la seule manière de gagner les élections, c'était de ne pas avoir de programme? Alors pourquoi la réponse des politiques n'est-elle pas à la hauteur de ces enjeux? 12% seulement des Français sont satisfaits de leur démocratie
Kerlanic : cette communauté vit en autonomie en Bretagne Depuis 8 ans, Audrey Reignaut vit au cœur de la Bretagne en totale autonomie. Débutée en famille, cette aventure regroupe aujourd’hui toute une communauté de personnes affranchies de la société de consommation. Bien qu’ils y mènent des jours heureux, la ferme autosuffisante de Kerlanic est aujourd’hui en danger. Il y a maintenant 8 ans, Audrey décide de changer de vie, juste après la naissance de son dernier enfant. Renoncer à une société encline au consumérisme Après 20 ans de vie régie par l’urgence et l’instantanéité, elle achète une petite maison à crédit dans la campagne tourangelle. “Une prise de conscience sur la vie, sur la terre, sur l'humain. Une aventure à deux La famille d’Audrey s’installe dans une ferme datée du 17ème siècle à Kerlanic (à 15 km de Vannes). Audrey installe son potager, des toilettes sèches et un compost de déchets. Un ferme devenue village La communauté se construit autour d’une autonomie à la fois énergétique et alimentaire. Un oasis en danger