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Related: H2_Ch3: La France depuis 1944 : évolutions politiques, institutionnelles et sociales • AXE 1Comprendre un récit de témoignages De Gaulle et l'Europe (15 mai 1962) Proposé par Institut national de l’audiovisuel Date de diffusion : 15 mai 1962 Contexte historique La question de la supranationalité dans la construction européenne a toujours engendré de vifs débats. Au début des années 1950, l'échec de la Communauté Européenne de Défense (CED) témoignait du rejet de l'Europe intégrée par une large partie de l'opinion publique et politique. En 1962, la question reste d'actualité. Mais, le 17 avril 1962, l'opposition de la Belgique et des Pays-Bas fait échouer ce plan. Elle détermine une mini-crise gouvernementale : ses ministres MRP, Pierre Pflimlin, Robert Buron et Maurice Schumann, scandalisés tant par cette position radicale que par le caractère anti-américain de l'européanisme gaullien, démissionnent en signe de protestation. Éclairage média
L’État français vient d’être condamné pour la traite "indigne" des harkis sur son sol Cet article date de plus de cinq ans. Publié le 05/10/2018 14:57 Mis à jour le 05/10/2018 15:20 Durée de la vidéo : 2 min Cette condamnation intervient parallèlement à l’annonce de la mise en place d’un "plan harki" visant à revaloriser leur pension de retraite et dédommager certains enfants de ces anciens combattants. Les harkis, ce sont ces anciens combattants algériens à qui la France à fait appel lors de la guerre d’Algérie. Ce mercredi 3 octobre 2018, soit 56 ans après l’ouverture des premiers camps, l’État a été condamné à "verser une somme de 15 000 euros en réparation des préjudices matériels et moraux subis" par un fils de harki, qui est né et à vécu dans l’un d’entre eux. Cette première condamnation symbolique apparait parallèlement au nouveau "plan harki" annoncé par le gouvernement. Partager : l'article sur les réseaux sociaux La Quotidienne Politique Retrouvez tous les jours à 12h l’actualité politique en France et à l’étranger
Indépendances - Après les massacres de Melouza Depuis la scission de l'été 1954 et le déclenchement de l'insurrection par le FLN lors de la Toussaint Rouge, la lutte d'influence doublée de l'affrontement armé entre les deux grands partis nationalistes rivaux : le FLN et le MNA (Mouvement national algérien) regroupant les messalistes est terrible. L'année 1956 a consacré la prééminence du FLN. Sur le terrain, quelques douars restent fidèles à Messali Hadj. Le 28 mai 1957, sans doute sur ordre du colonel Saïd Mohammedi, une unité de l'ALN, commandée par le capitaine Arab, déclenche un massacre collectif dans le douar de Melouza, situé aux confins méridionaux de la Kabylie, à la limite du Constantinois. L'horreur du crime est fortement relayée médiatiquement, y compris sur la scène internationale, comme le prouve ce reportage destiné également aux médias étrangers. La propagande du FLN tente via des tracts et des émissions radiophoniques d'attribuer l'entière responsabilité du massacre à des parachutistes de l'armée française.
Malgré la réforme des 35 heures, les femmes font toujours plus de tâches ménagères que les hommes A la maison, les femmes assument toujours le plus gros des tâches domestiques malgré la réforme des 35 heures, instaurée il y a 20 ans, qui a permis à nombre de Français de réduire leur temps au travail. « Que les femmes soient à 35h ou à 39h, elles en font toujours plus que les hommes », affirment Ariane Pailhé et Anne Solaz dans un article publié fin 2019 dans la Revue européenne de sociologie questionnant l’évolution de la participation des hommes et des femmes au travail domestique depuis cette réforme. Si hommes et femmes ont globalement pu avoir accès à parts égales à « plus de temps de loisirs et moins de pression temporelle », ils ne sont toujours pas égaux quant au temps investi à la maison. Douze minutes de plus pour les hommes Avec 160 minutes en moyenne par jour (week-end compris) consacrées aux tâches ménagères, les femmes qui travaillent 35 heures dépassent de loin les hommes qui travaillent le même nombre d’heures et y consacrent 105 minutes par jour.
Analyser le documentaire vidéo L'instabilité gouvernementale sous la 4e Rép Lorsque Pierre Mendès France est déchu par l'Assemblée, le 6 février 1955, Edgar Faure, ministre à de multiples reprises depuis 1949 et fort d'une première et précoce expérience à la présidence du Conseil (en 1952), fait figure de successeur. Parmi ses atouts, le député radical du Jura est l'un des plus fins tacticiens de la IVe République. De plus, il apparaît pouvoir poursuivre la politique de Pierre Mendès France, avec lequel il rivalise au sein du parti radical, lui sur l'aile droite, Mendès à gauche, mais avec un sens plus poussé de la transgression des clivages politiques et de la conciliation. Ces deux qualités doivent en principe lui éviter de s'affronter à l'une des fréquentes crises politiques que connaît la IVe République. Après le retrait d'Antoine Pinay dans la course à Matignon et l'échec de Christian Pineau à former un gouvernement, René Coty sollicite Edgar Faure.
Emmanuel Macron décide de faciliter la déclassification des archives de la guerre d’Algérie Le rapport de l’historien Benjamin Stora sur la question mémorielle de la colonisation et de la guerre d’Algérie préconisait l’accès aux archives classifiées de plus de cinquante ans, notamment celles sur la guerre d’Algérie. Dans un communiqué publié mardi 9 mars, l’Elysée annonce que le chef de l’Etat « a pris la décision de permettre aux services d’archives de procéder dès demain [mercredi] aux déclassifications des documents couverts par le secret de la défense nationale (…) jusqu’aux dossiers de l’année 1970 incluse ». « Cette décision sera de nature à écourter sensiblement les délais d’attente liés à la procédure de déclassification, s’agissant notamment des documents relatifs à la guerre d’Algérie », selon le texte. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Guerre de tranchée sur l’accès aux archives Article réservé à nos abonnés Lire aussi Emmanuel Macron « reconnaît » la responsabilité de la France dans l’assassinat d’Ali Boumendjel en Algérie Le Monde avec AFP
7 mars 1966, la France tourne le dos à l'OTAN | INA