http://lecerveau.mcgill.ca/flash/d/d_10/d_10_cr/d_10_cr_lan/d_10_cr_lan.html
Related: langageLE CERVEAU DE TANTAN, DANS LES MÉANDRES DE LA MORT. En 1861, le jeune médecin-assistant Paul Broca vit arriver dans son service (de chirurgie) un patient en piteux état : alité depuis près de 7 ans dans un lit d’hôpital car paralysé de tout le côté droit, il souffre d’une grave gangrène. Ce patient s’appelle Victor Leborgne. Comme son nom le laisse présager, il n’est pas du tout malvoyant mais aphasique. Il ne peut presque pas parler mis à part 2 ou 3 syllabes comme « Tan-tan », si bien que la plupart des soignants et des patients le surnomment ainsi. Victor Leborgne est un habitant au long court de l’hôpital Bicêtre, où exerce Paul Broca : il y résidera pendant plus de 20 ans après avoir brutalement perdu la parole au cours de l’année 1839 et son père peu après. Malheureusement pour Leborgne, Paul Broca ne put le sauver de la gangrène qui le rongeait, et il décèdera quelques jours après son admission au service de chirurgie. Cependant, c’est à ce moment-là que Tantan entra dans l’Histoire. 1-0 pour l’associationnisme. - Dronkers, N.
MODÈLES CÉRÉBRAUX DU LANGAGE PARLÉ ET ÉCRIT Pour suivre une conversation, comprendre un texte ou une plaisanterie, on doit non seulement être capable de comprendre la syntaxe des phrases et le sens des mots mais également de mettre en relation plusieurs éléments et de les interpréter par rapport à un contexte donné. Si des lésions dans l’hémisphère gauche produisent , celles qui surviennent dans l’hémisphère droit provoquent une variété de déficits que l’on peut regrouper en deux grandes catégories. Certains exercent d’abord un effet indirect sur la communication en perturbant l’habileté à interagir de façon compétente avec son environnement. L’autre grande famille de déficits que l’on peut observer suite à une lésion dans l’hémisphère droit affecte directement la communication et la cognition. Enfin, dernière catégorie de trouble pragmatique mais non la moindre, la compréhension du langage non-littéral. Les métaphores traduisent également une intention qui n’est pas conforme avec l’interprétation littérale du propos.
Brain Basics - 3D Model of Brain Injury | BrainLine.org Animated Deceleration Injury from a Traumatic Brain Injury TBI Inform: Introduction to Brain Injury What Happens When a Brain Bleeds? Areas of the Brain Affected by Concussion What is Chronic Traumatic Encephalopathy? Concussion Recovery The brain is incredibly complex. Located behind the forehead, the frontal lobes are the largest lobes of the brain. planning organizing problem solving memory impulse control decision making selective attention controlling our behavior and emotions The left frontal lobe plays a large role in speech and language. Problems After Injury Injury to the frontal lobes may affect: emotions impulse control language memory social and sexual behavior The temporal lobes are located on the sides of the brain under the parietal lobes and behind the frontal lobes at about the level of the ears. recognizing and processing sound understanding and producing speech various aspects of memory Damage to specific parts of the temporal lobe can result in: heart rate breathing swallowing
Le Signe (1) La primauté du langage oral s'imposera en linguistique pendant plusieurs décennies, jusqu'à ce que la sémiotique réintroduise l'importance des signifiants visuels et critique la notion de l'écriture comme simple transcription de la parole. Le grand mérite de Saussure, c'est d'avoir défini clairement le processus de la semiosis en faisant abstraction à la fois du «mot» et de la «chose»; en effet, dans ce qu'on peut appeler la vision «naïve» du language, les mots constituent des sortes d'étiquettes attachées aux objets. Depuis les travaux de Saussure, on a pris l'habitude d'assimiler le signe linguistique au morphème, c'est à dire à la plus petite unité porteuse de sens. Pourtant, Saussure ignore ou évite certaines questions fondamentales qui hypothèquent sa théorie. Tout d'abord, il exclut du système le référent (ce à quoi le langage fait référence), qu'il assimile aux objets du monde. Haut
La cartographie du cerveau : Le langage Les deux aires principales du langage ont été parmi les premières à être identifiées. C'est Broca et Wernicke, qui en examinant des cerveaux d'aphasiques, remarquèrent que ces derniers présentaient des lésions cérébrales identiques. Chez 95% des gens, ces deux zones se situent dans l'hémisphère gauche. La compréhension Le processus permettant de donner un sens à des paroles est très complexe. Des neurologues ont ainsi identifié une petite zone proche de l'aire de Wernicke chargée exclusivement de la reconnaissance des consonnes ! Le "parler"La "production" de langage est elle située à un atout autre niveau, celui de la zone de Broca. La lecture et l'écriture, contrairement à la parole, ne font pas intervenir les zones du langage.
BBC Science & Nature - Human Body and Mind - Organ Layer Comment l'esprit vient aux bébés.A quelques heures, le bébé sait déjà reconnaître sa langue maternelle. A 4 mois, il a acquis des notions de physique, «sait» compter, analyser le langage... Bref, une incroyable somme de compétences, insoupçonnées il y a q Comment l'esprit vient aux bébés.A quelques heures, le bébé sait déjà reconnaître sa langue maternelle. A 4 mois, il a acquis des notions de physique, «sait» compter, analyser le langage... Bref, une incroyable somme de compétences, insoupçonnées il y a quelques années encore. n sll bgn pr n lmèr crpsclr. ntl d'blr L, n bb d 4 jrs, bn nrr, bn chd.
Mécanisme du langage dans le cerveau Le langage est la faculté chez l'homme de communiquer en utilisant des signes vocaux, c'est-à-dire la parole, ces signes pouvant aussi être transcrits graphiquement (il s'agit alors de l'écriture). Le langage est normal si d'une part les organes phonatoires ne sont pas atteints, il s'agit de la bouche, de la langue, du pharynx, du nez entre autres et d'autre part si les structures nerveuses (essentiellement le cerveau) fonctionnent normalement. L'aphasie indique l'impossibilité de traduire la pensée par des mots alors que les organes de la phonation (bouche, pharynx etc.) sont normaux. Il existe plusieurs variétés d'aphasie en dehors de celles-ci (transcorticale, de conduction, amnésique, globale etc). Le langage est le résultat d'un ordre donné par le cerveau aux organes phonatoires. Contrairement à ce que l'on pourrait croire les airs sensoriels primaires et les airs motrices primaires ne représentent que 10 % du cortex cérébral.
NEUROSCIENCE: LANGUAGE -- Speech and Language A. Speech Representation 1. a. location: frontal lobe on the dominant side of the cortex, adjacent to area of primary motor cortex controlling muscles of vocalization b. output: primary motor cortex vocalization muscles c. input: Wernicke’s area via the arcuate fasciculus d. role: in dominant hemisphere, processes information into detailed pattern necessary for vocalization e. pathophysiology: motor aphasia 2. a. location: posterior region of the superior temporal gyrus on the dominant side of the cortex b. input: visual, auditory, and somatosensory interpretive areas c. output: Broca's area via the arcuate fasciculus d. role: language, thought, “intelligence” e. pathophysiology: inability to recognize or form coherent thought; sensory aphasia Note: the area corresponding to Wericke's area on the contralateral temporal cortex (non-dominant side) is responsible for emotional coloration of vocal expression 3.
Notre cerveau à l’heure des nouvelles lectures Maryanne Wolf, directrice du Centre de recherche sur la lecture et le langage de l’université Tufts est l’auteur de Proust et le Calmar (en référence à la façon dont ces animaux développent leurs réseaux de neurones, que nous avions déjà évoqué en 2009). Sur la scène des Entretiens du Nouveau Monde industriel au Centre Pompidou, la spécialiste dans le développement de l’enfant est venue évoquer « la modification de notre cerveau-lecteur au 21e siècle » (voir et écouter la vidéo de son intervention)… Image : Maryanne Wolf face au public sur la scène du Centre Pompidou, photographiée par Victor Feuillat. Comment lisons-nous ? « Le cerveau humain n’était pas programmé pour être capable de lire. La présentation de Marianne Wolf via l’IRI. Pour autant, le circuit de la lecture n’est pas homogène. Ce qui stimule le plus notre cerveau, selon l’imagerie médicale, c’est d’abord jouer une pièce au piano puis lire un poème très difficile, explique Maryanne Wolf. Notre avenir cognitif en sursis ?