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Entretien avec Wendelin Werner, mathématicien et médaille Fields 2006

Entretien avec Wendelin Werner, mathématicien et médaille Fields 2006
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La beauté de la multiplication Question : faut-il être fou pour parler d'arithmétique modulaire à un collégien ?Réponse : non ! On l'utilise même tous les jours en regardant l'heure... L'idée de base de l'arithmétique modulaire est de travailler non sur les nombres eux-mêmes, mais sur les restes de leur division par quelque chose.Par exemple, s’il est 16h52 et que j’attends 15 minutes, il sera 17h07, autrement dit 52+15=7 dans l’arithmétique (des minutes) de l’horloge. Ce que nous en écrivons, en mathématiques : 52 + 15 ≡ 7 (mod. 60) et que nous lisons : « 52 plus 15 est congru à 7 modulo 60 ». Pourquoi congru ? Pour lire la sublime biographie de Gauss, c'est dans un autre article : cliquer ici. Vous comprenez maintenant, je l’espère, les congruences suivantes : 5 ≡ 2 (mod. 3) ; 1985 ≡ 5 (mod. 10) ; 20 ≡ 8 (mod. 12). L’arithmétique modulaire est enseignée en Terminale Scientifique, pour ceux qui choisissent la spécialité mathématiques.Autant dire à des années de ce que pourrait comprendre un élève de collège…

Epicycles de Ptolémée Epicycles de Ptolémée Pour les grecs depuis Aristote (−385, −322) la Terre était le centre du Monde. Seul Aristarque de Samos (−310, −230) avait envisagé un système héliocentrique. Utilisation : La partie gauche du schéma représente dans le système héliocentrique le mouvement de la Terre (en bleu) et d'une planète hypothétique (en jaune) qui mettrait exactement trois années terrestre pour parcourir son orbite. Le slider rouge permet de modifier le rapport des vitesses de rotation entre l'épicycle et le déférent. Le slider vert permet de modifier le rayon de l'épicycle. Le bouton [Départ] permet de lancer l'animation la pause et la reprise de l'animation..

Introduction à la psychologie à l'Université « Dans le cadre de l’épidémie du Coronavirus, ce MOOC est accessible en mode « Archivé ouvert », sans forum ni suivi de l’équipe pédagogique, et aucune attestation de suivi avec succès ou de certificat ne sera délivré. » À propos du cours L’objectif de ce cours est de présenter ce qu’est la psychologie, ce que sont ses principaux secteurs, et les différents débouchés possibles. Notre objectif principal est donc de présenter dans les grandes lignes, ce que sont la psychologie et le métier de psychologue ainsi que d’autres débouchés possibles. À qui s'adresse ce MOOC ? Ce MOOC s’adresse au grand public sans aucun pré-requis. Format et organisation du cours Le cours est ouvert sur une durée totale de 5 semaines nécessitant, chacune, une implication d’environ 2 heures par apprenant. La première semaine est une introduction générale, positionnant la psychologie, le métier de psychologue, ainsi que les différentes méthodes utilisées. Plan du cours Évaluation Équipe Coordinateurs Ophélie Carreras

Don't be evil ("devise" de Google) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Don't be evil (littéralement, « Ne soyez pas malveillants ») est la devise ou le slogan informel de Google. Le sixième point du décalogue philosophique de Google stipule : « Il est possible de gagner de l'argent sans vendre son âme au diable ». En termes de culture d'entreprise, cette devise est devenue le pilier identitaire central de Google[1]. Historique[modifier | modifier le code] Originellement suggéré par les employés de Google Paul Buchheit et Amit Patel, la phrase figurait même en tête du courrier adressée aux investisseurs, quelque temps avant l'entrée de Google en bourse au printemps 2004. Critiques[modifier | modifier le code] Sur la forme, le slogan Don't be evil est une interdiction qui suppose de connaître ce qui est mal. Sur le fond, Google a été pris à partie sur son slogan, en particulier à propos du filtrage interdisant l'accès à certains sites ou à des pages contenant certains mots depuis la Chine. Portail de Google

"Secondes 2018/2019" : pour construire son avenir au lycée 5 étapes pour comprendre la réforme du bac, découvrir les métiers, le monde professionnel et les formations de l'enseignement supérieur, réfléchir à ses choix et à la façon de les réaliser. Le site Secondes 2018-2019 est un outil d'aide à la construction de son projet d'avenir. "Secondes2018-2019" est organisé en 5 étapes : Je découvre le nouveau lycée J'explore le monde économique et professionnel Je décrypte l'enseignement supérieur Je construis mes choix Je m'implique dans la réalisation de mes choix. Il fournit aux élèves de seconde des repères et des ressources d'information pour les aider à appréhender la réforme du baccalauréat 2021. Cet espace dédié intègre également le service www.monorientationenligne.fr Proposé par l'Onisep, ce service permet à chaque lycéen d'échanger par tchat, courriel ou téléphone avec des conseillers et des étudiants ambassadeurs sur son projet d'avenir. Mon orientation en ligne

Est-ce que la technologie sauvera le monde Par Hubert Guillaud le 28/10/10 | 5 commentaires | 8,804 lectures | Impression L’université de la singularité est une étrange école, explique Nicola Jones pour Nature. Elle ne décerne pas de diplôme. C’est une école qui, depuis 2009, propose un cursus de 10 semaines à destination d’une élite d’étudiants provenant des meilleures universités et des meilleures entreprises du monde. Sa mission est d’éduquer et d’inspirer les futurs dirigeants à utiliser les nouvelles technologies pour résoudre les grands problèmes de la planète, de la pauvreté à la mauvaise santé ou à l’épuisement des ressources. Elargir l’horizon ou le technocentrer ? Le principe de la SU consiste à élargir l’horizon des étudiants. Le principe du programme divise. Le programme de la SU est simple. Sur 1600 étudiants qui ont demandé à faire le cursus, le programme cette année en a retenu 78, provenant de 35 pays différents. Une manière d’évaluer la SU consiste à examiner les projets qui en sortent, rappelle Nicola Jones.

Sagittaria latifolia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sagittaria latifolia, la Sagittaire à larges feuilles, est une espèce de plante herbacée des milieux marécageux, originaire des Amériques, qui produit des tubercules comestibles. Connue aux États-Unis sous les noms de " wapato ", " wapatoo " ou encore " indian potato " (pomme de terre indienne), elle a été largement utilisée par les peuples amérindiens pour leur alimentation. Liens externes[modifier | modifier le code] Des robots pour tout, des robots pour tous ? Le nombre de robots devrait dépasser le chiffre de 11,5 millions, selon l’institut de statistiques IFR (International Federation of Robotics). Les gouvernements japonais et sud-coréen ne s’y sont pas trompés et ont investi plusieurs centaines de millions de dollars ces dix dernières années. La robotique a fini par gagner les faveurs de l’Union Européenne qui multiplie également ses investissements et ses travaux en recherche et développement dans ce domaine. Le robot industriel est apparu dans les années 1960 dans le secteur automobile. De nombreuses universités (UPMC...), des instituts d'enseignement technologique (IUT, CNAM...), des organismes de formation continue, associations (Planète sciences, Pobot...) , ou même des écoles primaires dans le cadre de projets d'éducation scientifique, proposent aujourd’hui des formations à la robotique. Face à la généralisation des robots dans la sphère domestique des problèmes de sécurité ou d’éthique pourraient surgir.

Avec Calico, Google s'attaque à l'immortalité En matière d'ambition, Google ne fait pas dans la demi-mesure. Dans un communiqué publié sur son site mercredi 18 septembre, le géant américain de l’Internet annonce la création de "Calico". Une entreprise qui se donne pour mission de "se concentrer sur la santé et le bien-être, et en particulier sur le challenge que constitue le vieillissement et les maladies associées". Autrement dit, en s'attaquant au vieillissement, cette toute jeune filiale du géant de l'informatique se lance dans la quête de l'immortalité. Une réflexion à long terme Dans une interview au Times Magazine, Larry Page, le directeur de l'entreprise explique cette incursion de son entreprise dans le monde de la santé par un désir de réflexion à plus long terme. "Est-ce que les gens se concentrent sur les choses importantes ?" Recherche de nouvelles technologies Concrètement, que propose donc de faire Calico ? Google est coutumier des expériences technologiques insolites. Un précédent raté

Et si l'intelligence artificielle simplifiait votre trajet domicile-travail ? (Crédit : Karos) Si en France, 63 % des actifs se rendent au travail en voiture, seulement 2 % le font en covoiturage selon une étude du groupe Randstadt parue en 2015. La raison est simple : il est compliqué de consulter chaque jour les annonces, que l'on soit conducteur ou passager. C'est sur ce marché à fort potentiel, où plusieurs start-up ont déjà échoué, que se lance Karos. Une application française qui entend simplifier le covoiturage domicile-travail grâce aux dernières avancées de l'intelligence artificielle. Tristan Croiset, directeur technique et spécialiste de l'intelligence artificielle et Oliver Binet, PDG de Karos (Crédit : Karos) Plus aucun formulaire à remplir. 10 centimes du kilomètre Mais alors, comment l'application se finance-t-elle ?

Robotique : Google va-t-il réaliser les rêves d'Isaac Asimov ? Atlas est un robot humanoïde que la société Boston Dynamics a développé pour le compte de l'armée américaine. Déjà agile et capable de se déplacer sur des terrains chaotiques, Atlas devrait voir ses capacités encore augmenter au cours des années. Google sera-t-il dans quelque temps l'équivalent de l'US Robots, le fabricant des robots positroniques des romans d'Isaac Asimov ? Robotique : Google va-t-il réaliser les rêves d'Isaac Asimov ? Google rachète depuis quelque temps des sociétés spécialisées dans la robotique. Créer un robot humanoïde capable de se déplacer dans des conditions extrêmes pour remplacer l'Homme, voilà ce que souhaite réaliser la Darpa, l'agence américaine chargée des projets en recherche avancée pour la Défense. Mais pourquoi Google a-t-il décidé de se lancer dans la robotique ? Google et le transhumanisme Il n’en demeure pas moins que les manœuvres de Google depuis quelques années laissent entrevoir un schéma cohérent sur lequel on peut bâtir ces spéculations.

Des prothèses bioniques commandées par la pensée Cette percée technologique permet aux amputés de commander leur prothèse inconsciemment, continuellement et en temps réel, comme un membre biologique. C'est une première : deux personnes handicapées contrôlent et commandent au quotidien leur prothèse de jambe bionique comme n'importe quel membre biologique. De minuscules capteurs myoélectriques (IMES) qui communiquent avec les muscles sont la clé des appareils, développés par la firme Islandaise Össur. Ces capteurs sont implantés chirurgicalement dans des tissus résiduels musculaires et permettent de déclencher les mouvements que le sujet désire faire grâce à un récepteur logé dans la prothèse. Chez les valides, le fait de bouger un membre commence la plupart du temps de manière inconsciente, en déclenchant des impulsions électriques à l'intérieur du corps qui mettent en branle les muscles, précise le Dr Ingvarsson. Bientôt des prothèses totalement intégrées à l’utilisateur © Handicap Infos

Quand Google règnera sur la posthumanité… Jean-Christophe Féraud nous fait part de son enthousiasme pour le roman d'anticipation "Google démocratie". Billet non sponsorisé :) Palo Alto, Californie, 2018. Sergey « Brain » est l’empereur d’un monde connecté. Google est partout, anywhere, everywhere, anytime. Il a mis à genoux Microsoft, le géant déchu du logiciel qui a initié la grande révolution numérique. Des milliards investis dans la techno-médecine, la cybernétique et le génie génétique Deux milliards d’individus se connectent chaque jour sur ses serveurs. Google a aussi un projet caché : la Singularité. Serguey a peur, moi aussi Mais Sergey est inquiet. Sergey Brain ne voulait pas finir comme Howard Hugues, malade et dément, richissime et parano. Coucou, tu veux voir mes circuits intégrés ? Un techno-thriller qui pose les bonnes questions Voilà, c’était en résumé le meilleur des Googlemonde, un futur possible très proche, tel qu’il est raconté dans Google Démocratie. Je suis un être humain, pas un transhumain

Ethique et intelligence artificielle : récit d’une prise de conscience « Nous ne concevrons ni ne déploierons d’intelligence artificielle [IA] dans des technologies qui sont globalement nocives, ou qui présentent des risques de l’être. » Ce serment éthique est tiré des « principes » publiés en juin par Google sur l’intelligence artificielle. L’IA, ce vaste ensemble de techniques visant à faire accomplir par des logiciels des tâches pour lesquelles l’homme utilise son intelligence : trier des informations, conduire une voiture, émettre une recommandation… Cette profession de foi inhabituelle a été élaborée en réponse à une fronde interne à Google : des employés demandaient l’arrêt de la participation au projet militaire Maven, dans le cadre duquel l’entreprise aidait l’armée américaine à analyser des images de drone. Cet épisode est la dernière des sorties médiatiques qui ont poussé le thème de l’éthique sur l’avant-scène de l’intelligence artificielle. Au-delà des déclarations d’intention, comment mettre en œuvre des principes éthiques ?

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