Working From Anywhere: A Boon … Or A Bummer? The pandemic appears to have accelerated many firms’ thinking on “Working from Anywhere” (WFA). Facebook, Twitter, Microsoft, Reddit, and other high-tech companies based in and around the Bay Area, have promoted the idea of allowing permanent remote working to employees post-pandemic -and employees will be able to leave the Bay Area to live in their preferred location. The pandemic-enforced social isolation also appears to have shifted worker psychology on remote working, with a recent survey showing that 80% of workers would prefer to work from home should their job allow it. But decision-makers need to weigh up this enthusiasm with several potentially negative knock-on effects. These concern pay, recruitment, competition, innovation, and psychological impact.
Le télétravail où ? A domicile, dans un tiers-lieu, dans un télécentre ou dans un espace de co-working, les lieux où peut s’exercer le télétravail sont nombreux, le choix du lieu de télétravail dépend des besoins de chaque teletravailleur. Découvrez les avantages et les points de vigilance de chaque lieu où le télétravail peut s’exercer Les lieux où l’on peut télétravailler En France comme ailleurs dans le monde, le domicile est souvent associé au lieu où s’effectue le télétravail. Après l'adoption, le télétravail à l'heure de la consécration en 2021 ? 8 millions de télétravailleurs potentiels en France La pandémie a bouleversé les modes d'organisation dans les entreprises. Au premier confinement, des millions de salariés ont basculé dans l'urgence en télétravail. Beaucoup d'entreprises et salariés ont alors été complètement déboussolés lors de cette mise sous cloche improvisée de l'économie tricolore au printemps. Si le second confinement a également entraîné une nouvelle massification du télétravail, les règles sont bien plus souples et les entreprises ont été mieux préparées pour affronter cette nouvelle décision. Il reste que les répercussions macroéconomiques du travail à distance sont loin d'être tranchées...
Télétravail : la difficile prise en charge des frais par les employeurs Avec la crise et les deux confinements, le télétravail s’est généralisé dans les entreprises françaises. De nouvelles questions se sont donc posées en matière d’organisation, et notamment concernant la prise en charge des frais et la fourniture de matériel aux salariés en télétravail. Internet, téléphone, chauffage, achat de fournitures… le travail à distance engendre certains coûts supplémentaires, pour lesquels les salariés peuvent demander une prise en charge par leur employeur s’ils peuvent les justifier.
Le télétravail Le télétravail est une forme d’organisation et/ou de réalisation du travail. Elle utilise les technologies de l’information, dans le cadre d’un contrat ou d’une relation d’emploi, dans laquelle un travail qui aurait pu être réalisé dans les locaux de l’employeur, est effectué hors de ces locaux de façon régulière. Lorsque le salarié en situation de télétravail engage des frais, l’allocation forfaitaire versée par l’employeur sera réputée utilisée conformément à son objet et exonérée de cotisations et contributions sociales dans la limite globale de 10 € par mois, pour un salarié effectuant une journée de télétravail par semaine. (Cette allocation forfaitaire passe à 20 € par mois pour un salarié effectuant deux jours de télétravail par semaine, 30 € par mois pour trois jours par semaine…).
67 % des employés souhaiteraient un modèle de travail hybride La crise de COVID-19 a mis en évidence la difficulté des entreprises à devoir s’adapter non seulement au travail à distance, mais aussi à offrir des conditions sur site compatibles avec un contexte sanitaire inédit. La mise en place du télétravail a provoqué des changements au sein des organisations, mais également au sein des foyers. La durée de la crise, au rythme des restrictions et des variants du coronavirus ne donne pas une visibilité sur une prochaine sortie du tunnel et joue sur le moral des troupes. Elle met également en lumière les inégalités sociales : chaque collaborateur connaît une situation personnelle distincte, accentuée ou atténuée par les moyens proposés par l’entreprise pour la continuité de l’activité, quand cela est possible. Cependant, si la France semble toujours réticente au télétravail, un nouveau modèle de travail est de plus en plus plébiscité par les employés : c’est le cas du modèle de travail hybride qui permet d’alterner télétravail et travail sur site.
L’avenir du télétravail (et du travail hybride) en 4 questions Que n’a-t-on pas encore dit sur le télétravail ? Pour ne pas enfoncer des portes ouvertes, mieux vaut résumer ce que l’on sait : 1. le confinement a prouvé que l’on pouvait être autant voire plus productif chez soi ; 2. que les salariés demeurent néanmoins attachés au présentiel et aspirent simplement à davantage de flexibilité ; 3. que de nombreuses entreprises ont fait marche arrière et restent récalcitrantes face au changement ; 4. que quelques autres sont passées du jour au lendemain en “100% remote”, défiant les lois naturelles de la conversion... On pèse le pour, le contre, et l’on manque l’essentiel. Car ce qui compte, ce n’est pas tant le télétravail en soi, mais ce qu’il représente et nous dit des mutations en cours. Prêtons l’oreille.
Télétravail : les frais engagés par les salariés en 2020 peuvent être exonérés d'impôt Par Benjamin ChenevièrePublié le 10 Mar 21 à 10:58 Progressivement mis en place dans les entreprises depuis le début de la crise du Covid-19, le télétravail est aujourd’hui fortement encouragé par le gouvernement pour lutter contre l’épidémie. Le quotidien de nombreux travailleurs a été chamboulé avec l’arrivée de cette pratique jusque-là peu répandue en France. S’il peut présenter certains avantages, comme le fait de réduire considérablement certaines dépenses (carburant, déjeuner…), le télétravail peut aussi engendrer des coûts pour les salariés. C’est pourquoi l’Etat a décidé, début mars, que « les allocations versées par l’employeur au titre du télétravail à domicile en 2020 seront exonérées d’impôt sur le revenu, dans la limite de 550 € pour l’année ».
Fanny Lederlin : "Le télétravail grignote peu à peu toutes les sphères de nos vies" Marianne : Quel bilan après un an de télétravail ? Fanny Lederlin :Tout dépend de quel point de vue on se place. Techniquement, cette expérimentation à marche forcée se révèle une réussite : en quelques semaines à peine, nous sommes passés, en France, d’une pratique minoritaire et extrêmement frileuse du télétravail (3 à 7 % des actifs télétravaillaient) à une pratique massive et courante dans tous les métiers télétravaillables (services, administrations, métiers de la connaissance, etc., soit environ 40 % des actifs). Cela a été possible parce que les technologies (Zoom, Teams, Outlook, Hubstaff, etc.) étaient prêtes. Mais il faut souligner que l’organisation du travail a aussi su s’adapter, en partie grâce à l’implication des « middle managers » et plus globalement grâce à celle des télétravailleurs qui semblent avoir très fiables et très impliqués durant toute la période.