Pandémie de grippe russe : une COVID du XIXe siècle ? En termes de pandémie virale respiratoire, il est fréquent d'évoquer la grippe espagnole de 1918 comme point de référence. Pourtant, dans le contexte de la COVID-19, il semble plus pertinent d'évoquer une autre pandémie, plus ancienne : la grippe russe qui sévit à travers le monde entre l'automne 1889 et le printemps 1894 (voire 1895). Également appelée grippe de Saint-Pétersbourg, grippe asiatique ou influenza, cette pandémie, la première de l'ère industrielle à être richement documentée, est particulièrement intéressante car elle évoque par de très nombreux aspects celle que nous traversons aujourd'hui. La grippe russe, une pandémie d'extension ultrarapide La grippe russe pourrait avoir émergé dès 1888 dans la ville de Boukhara (aujourd'hui en Ouzbékistan). Un feu de brousse à travers la planète Une des particularités de la pandémie de grippe russe est son aspect en feu de brousse. 1889, année de naissance du coronavirus OC43 ? 1889, année de naissance du coronavirus OC43 ? ©vidal.fr
Les autotests Je fais un test PCR de confirmation. En cas de résultat positif à un autotest, il convient de confirmer sans délai ce résultat à l’aide d’un test PCR et de commencer à s’isoler immédiatement. Je peux ainsi notamment bénéficier de l’arrêt de travail délivré par l’Assurance maladie. Je m’isole : Je rentre chez moi m’isoler, en prenant le moyen de transport qui me permet de croiser le moins de monde possible. Où que je sois confiné, je protège mon entourage, notamment en restant, si possible, dans une pièce séparée, en portant un masque chirurgical, en évitant les contacts et en me tenant toujours à plus d’1 mètre des autres personnes, en ne partageant pas mes objets du quotidien, en sortant le moins possible et en aérant régulièrement. Mon isolement doit durer 10 jours. Les 7 jours qui suivent la levée de mon isolement, je respecte strictement les gestes barrières et le port du masque chirurgical, et je limite les contacts avec les personnes fragiles. Je contacte mon médecin traitant.
DEFINE_ME Summary Background The long-term health consequences of COVID-19 remain largely unclear. The aim of this study was to describe the long-term health consequences of patients with COVID-19 who have been discharged from hospital and investigate the associated risk factors, in particular disease severity. Methods We did an ambidirectional cohort study of patients with confirmed COVID-19 who had been discharged from Jin Yin-tan Hospital (Wuhan, China) between Jan 7, 2020, and May 29, 2020. Findings In total, 1733 of 2469 discharged patients with COVID-19 were enrolled after 736 were excluded. Interpretation At 6 months after acute infection, COVID-19 survivors were mainly troubled with fatigue or muscle weakness, sleep difficulties, and anxiety or depression. Funding Methods Study design and participants This ambidirectional cohort study was done at Jin Yin-tan Hospital, the first designated hospital for patients with COVID-19 in Wuhan, Hubei, China. Procedures Cao B Wang Y Wen D et al. Results
Covid-19 : quand le SARS-CoV-2 se déleste de petits fragments de son matériel... Le Monde et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires. Les cookies nous permettent d’accéder à, d’analyser et de stocker des informations telles que les caractéristiques de votre terminal ainsi que certaines données personnelles (par exemple : adresses IP, données de navigation, d’utilisation ou de géolocalisation, identifiants uniques). Ces données sont traitées aux fins suivantes : analyse et amélioration de l’expérience utilisateur et/ou de notre offre de contenus, produits et services, mesure et analyse d’audience, interaction avec les réseaux sociaux, affichage de publicités et contenus personnalisés, mesure de performance et d’attractivité des publicités et du contenu. Pour plus d’information, consulter notre politique de confidentialité. Vous pouvez consentir à l’utilisation de ces technologies en cliquant sur « accepter »
Vaccin Pfizer/BioNTech contre la COVID19 : enfin des données à analyser ! Les participants de l'essai C4591001 L'essai de phase 2/3 dont les résultats viennent d'être publiés (assortis, pour rappel, de résultats d'une étude de phase 1) est un essai randomisé en double aveugle avec placebo qui a été mené essentiellement aux États-Unis, au Royaume-Uni et, dans une moindre mesure, au Brésil, en Afrique du Sud, en Allemagne et en Turquie. Dans cette étude, 43 448 personnes de plus de 16 ans, sans antécédents de COVID-19, ont été recrutées pour recevoir deux doses de 30 µg d'ARNm administrées à 21 jours d'intervalle. Sur ces 43 448 participants, les données de 36 621 d'entre eux ont été prises en compte par la FDA. Les critères d'efficacité de l'étude C4591001 Le critère principal d'efficacité retenu était l'incidence des cas de COVID-19 symptomatiques confirmés par test PCR au moins 7 jours après la seconde injection. L'analyse des données d'efficacité chez les personnes les plus âgéesLe taux de protection semble peu varier avec l'âge. Après la 2e injection :
Immunological memory to SARS-CoV-2 assessed for up to 8 months after infection Abstract Understanding immune memory to SARS-CoV-2 is critical for improving diagnostics and vaccines, and for assessing the likely future course of the COVID-19 pandemic. We analyzed multiple compartments of circulating immune memory to SARS-CoV-2 in 254 samples from 188 COVID-19 cases, including 43 samples at ≥ 6 months post-infection. IgG to the Spike protein was relatively stable over 6+ months. Coronavirus disease 2019 (COVID-19), caused by the novel severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 (SARS-CoV-2), is a serious disease that has resulted in widespread global morbidity and mortality. While sterilizing immunity against viruses can only be accomplished by high-titer neutralizing antibodies, successful protection against clinical disease or death can be accomplished by several other immune memory scenarios. Immune memory, from either primary infection or immunization, is the source of protective immunity from a subsequent infection (35–37). COVID-19 cohort Concluding remarks
The History of Pandemics, by Death Toll The History of Pandemics Pan·dem·ic /panˈdemik/ (of a disease) prevalent over a whole country or the world. As humans have spread across the world, so have infectious diseases. Even in this modern era, outbreaks are nearly constant, though not every outbreak reaches pandemic level as COVID-19 has. Today’s visualization outlines some of history’s most deadly pandemics, from the Antonine Plague to the current COVID-19 event. A Timeline of Historical Pandemics Disease and illnesses have plagued humanity since the earliest days, our mortal flaw. Widespread trade created new opportunities for human and animal interactions that sped up such epidemics. The more civilized humans became – with larger cities, more exotic trade routes, and increased contact with different populations of people, animals, and ecosystems – the more likely pandemics would occur. Here are some of the major pandemics that have occurred over time: Wrath of the Gods Importing Disease Tracking Infectiousness
Académie des sciences - Covid-19 : séance exceptionnelle de l'Académie des sciences 07 Mai2020 Publié dans Séances publiques Nous vous invitons à voir ou revoir la vidéo de la séance exceptionnelle organisée par l'Académie des sciences sur la maladie à coronavirus Covid-19, diffusée pour la première fois le 7 mai 2020. Six orateurs de renom, présentés par Pascale Cossart, Secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences, professeur à l'Institut Pasteur, font chacun le point en 10 minutes sur les sujets suivants : • Les tests Olivier Schwartz, directeur de l’Unité Virus et Immunité – Institut PasteurVoir les slides • Les médicaments Patrick Couvreur, professeur émérite, membre de l'Académie des sciences, président de l'Académie nationale de pharmacieVoir les slides • Les vaccins Frédéric Tangy, chef du laboratoire d’innovation : Vaccins – Institut PasteurVoir les slides • La situation de l'épidémie Dominique Costagliola, directrice de recherche Inserm, membre de l’Académie des sciences Voir les slides
Covid-19 : comment le variant B.1.1.7, apparu en Angleterre, menace de relancer l’épidémie en France Au Royaume-Uni, comme en France, la rentrée de septembre 2020 fut l’occasion pour les pouvoirs publics de tenter un retour à la normale, ou presque. La réouverture des établissements scolaires a suivi celle des commerces. Les modélisateurs et épidémiologistes britanniques avaient pourtant averti dès le mois d’août que l’hiver 2020-2021 serait difficile. Retour sur ces quelques mois qui ont précipité l’Angleterre dans une nouvelle phase de l’épidémie. Octobre : un « petit » confinement pour briser la dynamique épidémique Début décembre, l’Angleterre sort donc de son deuxième confinement. Décembre : une situation atypique dans le Kent Tous les indicateurs sont à la baisse… ou presque. « Les tout premiers signaux sont venus en novembre, lorsque le confinement était en place. Le 8 décembre, un petit groupe de scientifiques travaillant au Royaume-Uni se réunit en visioconférence, comme tous les mardis, pour discuter de l’évolution de l’épidémie. Le retour au confinement strict
Aerosol transmission of Covid-19: A room, a bar and a classroom: how the coro... The coronavirus is spread through the air, especially in indoor spaces. While it is not as infectious as measles, scientists now openly acknowledge the role played by the transmission of aerosols – tiny contagious particles exhaled by an infected person that remain suspended in the air of an indoor environment. How does the transmission work? And, more importantly, how can we stop it? These are respiratory droplets that are less than 100 micrometers in diameter that can remain suspended in the air for hours 1,200 aerosols are released for each droplet These are particles that are larger than 300 micrometers and, due to air currents, fall to the ground in seconds Without ventilation, aerosols remain suspended in the air, becoming increasingly concentrated as time goes by. Breathing, speaking and shouting At the beginning of the pandemic, it was believed that the large droplets we expel when we cough or sneeze were the main vehicle of transmission. of infecting someone if inhaled School
SIG : Tout savoir sur les Systèmes d'Information Géographique | Esri France - Hub SIG COVID-19 Sources de données utiles Explorez les données géospatiales provenant de la communauté SIG mondiale et de nos partenaires de référence. Les développeurs possédant tous les niveaux d'expertise SIG peuvent ajouter nos ensembles de données directement aux cartes et applications qui visualisent et analysent le virus dans le contexte des ressources et des personnes au sein de chaque communauté. Etablissements hospitaliers français Carte recensant les établissements hospitaliers français (Hôpitaux, Cliniques, Urgences, Réanimations). Périmètre de déplacement à 100 km Application vous permettant de calculer votre périmètre de déplacement dans un rayon de 100 kilomètres. Liste des pharmacies d'Île-de-France Cette carte présente les pharmacies d'Île-de-France. Population française agée de plus de 80 ans Carte présentant les pourcentages de la population française de plus de 80 ans par IRIS. Population française agée de plus de 75 ans Les pourcentages de la population française de plus de 75 ans par IRIS.
Variant anglais du SARS-CoV-2 : la France est-elle prête pour une détection à grande échelle ? Actualisation 28/12 -- Le 25 décembre, un premier cas d’infection par le variant VOC 202012/01 a été confirmé sur le territoire national. Il a été détecté à Tours. Il s’agit d’un homme de nationalité française résidant en Angleterre. Actualités Medscape © 2020 Citer cet article: Variant anglais du SARS-CoV-2 : la France est-elle prête pour une détection à grande échelle ?