background preloader

S'informer sur le coronavirus

Facebook Twitter

Recherchecovid.enseignementsup-recherche.gouv.fr. Vaccin Pfizer/BioNTech contre la COVID19 : enfin des données à analyser ! Les participants de l'essai C4591001 L'essai de phase 2/3 dont les résultats viennent d'être publiés (assortis, pour rappel, de résultats d'une étude de phase 1) est un essai randomisé en double aveugle avec placebo qui a été mené essentiellement aux États-Unis, au Royaume-Uni et, dans une moindre mesure, au Brésil, en Afrique du Sud, en Allemagne et en Turquie.

Vaccin Pfizer/BioNTech contre la COVID19 : enfin des données à analyser !

Dans cette étude, 43 448 personnes de plus de 16 ans, sans antécédents de COVID-19, ont été recrutées pour recevoir deux doses de 30 µg d'ARNm administrées à 21 jours d'intervalle. Sur ces 43 448 participants, les données de 36 621 d'entre eux ont été prises en compte par la FDA. Les promoteurs de l'essai, à la demande de la FDA, ont été vigilants quant à la diversité des profils des participants (âge, sexe, origine ethnique, comorbidités). L'âge médian était de 52 ans, avec 21,4 % de participants âgés de plus de 65 ans (N = 8 613) et 4,3 % de plus de 75 ans (N = 1 712). Après la 2e injection : ©Vidal.fr Pour aller plus loin. Académie des sciences - Covid-19 : séance exceptionnelle de l'Académie des sciences. 07 Mai2020 Publié dans Séances publiques Nous vous invitons à voir ou revoir la vidéo de la séance exceptionnelle organisée par l'Académie des sciences sur la maladie à coronavirus Covid-19, diffusée pour la première fois le 7 mai 2020.

Académie des sciences - Covid-19 : séance exceptionnelle de l'Académie des sciences

Six orateurs de renom, présentés par Pascale Cossart, Secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences, professeur à l'Institut Pasteur, font chacun le point en 10 minutes sur les sujets suivants : SIG : Tout savoir sur les Systèmes d'Information Géographique. Sources de données utiles Explorez les données géospatiales provenant de la communauté SIG mondiale et de nos partenaires de référence.

SIG : Tout savoir sur les Systèmes d'Information Géographique

Les développeurs possédant tous les niveaux d'expertise SIG peuvent ajouter nos ensembles de données directement aux cartes et applications qui visualisent et analysent le virus dans le contexte des ressources et des personnes au sein de chaque communauté. Etablissements hospitaliers français. Les anticorps : quelle protection offrent-ils vraiment ? Aux États-Unis, la FDA (Food and Drug Administration) a récemment autorisé, en suivant une procédure d’urgence, un test sanguin pour dépister les anticorps contre le SARS-CoV-2.

Les anticorps : quelle protection offrent-ils vraiment ?

C’est une première sur le marché américain. Ce test arrive à point nommé, au moment où les experts et les responsables de la santé voient dans l’immunité d’une large part de la population un moyen d’arrêter la pandémie. COVID-19 Map - Johns Hopkins Coronavirus Resource Center. Article - Le Monde- Maladies émergentes et biodiversité. Article Mediapart- Biodiversite et pandémies.

Coronavirus : la chauve-souris, le pangolin, le tigre et nous. C’est une fable tragique qui s’écrit au fil du journal de la propagation du coronavirus Covid-19 à travers le globe, et que rien hors le confinement et l’arrêt sur image de toutes les activités humaines jusqu’aux plus ordinaires ne semble devoir endiguer.

Coronavirus : la chauve-souris, le pangolin, le tigre et nous

Pour l’heure, les morts et les malades ne sont comptabilisés que dans nos rangs, et ce dans tous les pays du monde. Mais plus que des indices font craindre qu’à terme les ravages de ce virus aussi délétère que pernicieux ne touchent tous les mammifères sauvages et domestiques et aussi les oiseaux. Le SARS-CoV-2 est le patronyme du coronavirus responsable de la pandémie de Covid-19, et de nombreuses équipes de recherche sont à ses trousses pour tracer son parcours.

Beaucoup envisagent que certaines chauves-souris d’Asie constituent un réservoir pour ce germe. Covid-19 : de nouvelles pistes de traitement. Depuis le déclenchement de la pandémie de Covid-19, le monde scientifique travaille d’arrache-pied à comprendre la maladie et à explorer le moindre recoin du fonctionnement du virus SARS-CoV-2 dans l’espoir de repérer une faille, une brèche dans laquelle s’engouffrer pour mettre en défaut l’agent pathogène.

Covid-19 : de nouvelles pistes de traitement

Et force est de constater qu’outre le repositionnement de molécules prescrites pour d’autres usages que le Covid-19, déjà évoqué ici, les pistes suivies se sont multipliées ces derniers jours. Parmi elles, plusieurs sont radicalement inédites. Insistons : aujourd’hui, de ce bouillonnement de propositions, nous ignorons encore lesquelles, ni même si certaines, aboutiront. Leurrer le coronavirus Le SARS-CoV-2, à l’instar de plusieurs coronavirus, infecte les cellules dotées de protéines ACE2 à leur surface, enchâssées dans la membrane cellulaire, en s’y associant via les protéines Spike ou S. Contourner l’exonucléase. Idées reçues sur le covid-19. L’utilisation prolongée de masques médicaux*, dès lors qu’ils sont correctement portés, N’ENTRAÎNE PAS d’intoxication au dioxyde de carbone ni de manque d’oxygène.

Idées reçues sur le covid-19

L’utilisation prolongée de masques médicaux peut être inconfortable, mais elle n’entraîne ni intoxication au CO2 ni manque d’oxygène. Au moment de porter un masque médical, veillez à ce qu’il soit correctement ajusté et qu’il soit suffisamment serré pour vous permettre de respirer normalement. Ne réutilisez pas un masque à usage unique et changez-le dès qu’il s’humidifie. * Les masques médicaux (aussi appelés masques chirurgicaux) sont plats ou plissés. Ils se mettent en place à l’aide de sangles ou disposent de lanières qui se glissent derrière les oreilles. Coronavirus (SRAS-CoV et MERS-CoV) “Fake news” et désinformation autour du coronavirus SARS-CoV2. ©M.Rosa-Calatrava/O.Terrier/A.Pizzorno/E.Errazuriz-cerda Comme tous les sujets médiatiquement forts, le coronavirus SARS-CoV2 de 2019 n’échappe pas au sillon de la désinformation.

“Fake news” et désinformation autour du coronavirus SARS-CoV2

Apparu dans la province chinoise du Hubei, l’épidémie provoquée par ce coronavirus – appelé désormais SARS-CoV2 et COVID-19 pour la maladie qu’il entraîne chez le patient–continue d’alimenter les médias, mais aussi le web et les réseaux sociaux, parfois dans de mauvaises directions. L’Inserm vous propose de revenir sur les différentes formes que prend cette vague de désinformation afin de couper court aux fausses informations et mieux se repérer sur l’océan médiatique. S’agissant du SARS-CoV2 et du Covid-19 (la maladie contractée chez l’Homme, à distinguer du virus), la désinformation prend plusieurs formes. Coronavirus : ce que sait la science !

Chez certains patients, la Covid-19 présente des formes particulièrement sévères.

Coronavirus : ce que sait la science !

On assiste, chez eux, à un affolement de la réponse immunitaire, cette réaction pourtant chargée de lutter contre les infections. Lors d’une infection, des globules blancs aptes à détruire les virus et les cellules infectées migrent vers la zone malade. Cet afflux est régulé grâce à des protéines appelées cytokines. Avec le SARS-CoV-2 on constate une surproduction de cytokines. On parle d’« orage cytokinique ». La survenue de cet événement serait favorisée par un système immunitaire moins réactif aux nouvelles infections, comme celui des sujets âgés.