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Phénoménologie (philosophie)

Phénoménologie (philosophie)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La phénoménologie (du grec : phainómenon, « ce qui apparaît » ; et lógos, « étude ») est un courant philosophique qui se concentre sur l'étude des phénomènes, de l’expérience vécue et des contenus de conscience. Edmund Husserl ( - ), est considéré comme le fondateur de ce courant, dans sa volonté de systématiser l'étude et l'analyse des structures des faits de conscience[1]. Il n'y a pas à s'étonner de la grande variété des expressions prises par ce courant de pensée qui ressortit à sa nature même qui veut exprimer les aspects spécifiques de chacun de ses domaines d'étude[1]. On attribue généralement l'invention du terme « phénoménologie » à Jean-Henri Lambert (1728-1777), qui dénomme ainsi dans la quatrième partie de son Nouvel Organon (1764) la « doctrine de l'apparence »[3],[N 1]. La phénoménologie est un concept central de la philosophie de Johann Gottlieb Fichte. Son élève et son compagnon le plus proche fut Martin Heidegger. Related:  Philo

Hannah Arendt Signature Hannah Arendt, née Johanna Arendt[1] le 14 octobre 1906 à Hanovre et morte le 4 décembre 1975 dans l'Upper West Side (New York), est une politologue, philosophe et journaliste allemande naturalisée américaine, connue pour ses travaux sur l’activité politique, le totalitarisme, la modernité et la philosophie de l'histoire. Elle soulignait toutefois que sa vocation n'était pas la philosophie mais la théorie politique (« Mein Beruf ist politische Theorie »)[2]. C'est pourquoi elle se disait « politologue » (« political scientist »)[3] plutôt que philosophe. Son refus de la philosophie est notamment évoqué dans Condition de l'homme moderne où elle considère que « la majeure partie de la philosophie politique depuis Platon s'interpréterait aisément comme une série d'essais en vue de découvrir les fondements théoriques et les moyens pratiques d'une évasion définitive de la politique »[4]. Biographie[modifier | modifier le code] Vie et études en Allemagne[modifier | modifier le code]

Présentisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la philosophie du temps, le présentisme est la théorie métaphysique selon laquelle seul le présent existe, contrairement au passé et au futur qui n'existent pas. Cette théorie s'oppose directement à l'éternalisme, théorie selon laquelle le passé, le présent et le futur existent tout autant[1]. Le présentisme peut également désigner plus généralement les conditions du moment présent[réf. nécessaire]. Origine du terme[modifier | modifier le code] Le terme est utilisé pour la première fois dans les années 1920. Tout d'abord en 1921 par l'artiste Raoul Haussmann, du mouvement Dada, dans la revue De Stijl[2] En 1924, le philosophe français Frédéric Paulhan y recourt lui aussi[3],[4]. Existence du passé et du futur[modifier | modifier le code] Le présentisme est compatible avec la relativité galiléenne, dans laquelle le temps est indépendant de l'espace, mais est probablement incompatible avec la théorie de la relativité restreinte.

Henri Lefebvre Henri Lefebvre en 1971. Œuvres principales La vie quotidienne dans le monde moderne (1968)Le droit à la ville (1968)Du rural à l'urbain (1970)La révolution urbaine (1970)La production de l'espace (1974) Compléments Henri Lefebvre, né le 16 juin 1901 à Hagetmau et mort le 29 juin 1991 à Pau, est un philosophe français. Biographie[modifier | modifier le code] Des années 1920 à la Libération[modifier | modifier le code] Il rejoint la Résistance[Note 1], ayant rang de capitaine FFI. De 1944 à 1947, il est le directeur de la station de Toulouse de la Radio-diffusion française (RDF)[Note 2]. De la philosophie à la sociologie, un des « maîtres à penser » d'une génération[modifier | modifier le code] En 1947, il réintègre l'enseignement à Toulouse. Il participe alors au groupe L’Étincelle, aux côtés notamment de François Châtelet, Anatole Kopp et Yves Cachin. En 1962, il devient professeur de sociologie à l'Université de Strasbourg, puis à l'Université de Paris X-Nanterre à partir de 1965.

Synchronicité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « Le voilà, votre scarabée », dit Jung à sa patiente en lui tendant un insecte apparu alors qu'elle racontait son rêve d'un scarabée d'or. La notion de synchronicité se distingue clairement de ces notions cependant. Sur le plan de l'expérience, la rencontre avec un événement synchronistique, à la différence de la rencontre avec un archétype ou une autre manifestation de l'inconscient collectif, a un tel degré de signifiance pour la personne, mais surtout apparaît d'une manière si fortuite et choquante pour le sens commun (malgré le sens qu'il revêt, ou à cause du sens qu'il revêt, pourrait-on tout autant dire), que la personne s'en trouve transformée. Sur le plan théorique, les synchronicités (si du moins on en accepte l'existence) remplissent un tel rôle. Définition, classification, exemple, analyse de la synchronicité[modifier | modifier le code] Jung la définit ainsi : - a) acausalité : l'événement ne s'explique pas par la causalité

Les 18 règles de vie du Dalai-Lama à partager le plus possible Le Dalaï-Lama, grand ambassadeur de l'humanisme dans le monde entier est une figure emblématique pour bon nombre d'entre nous. Ses philosophies sont évocatrices de paix de partage et d'échange. On retrouve bien sur ses valeurs dans le monde du voyage. Je tenais moi aussi, au nom de Voyager Loin, à parler de ces 18 règles de vie. Partagez les sans modération ! Photo © Jamie Williams 1. Le risque est impliqué dans chaque grande occasion de la vie. 2. Si vous oubliez ce que vous avez appris à ne pas faire, vous serez condamnés à répéter vos actions. 3. Respect de soi – La confiance est la clé de la réussite et si une personne ne se respecte pas, vous ne pouvez pas croire en elle. Respect des autres – Et vous serez respectés en retour. Responsabilité pour toutes vos actions – Vous êtes seul responsable de vos sentiments, de vos actions, de votre réussite, etc. 4. Essayer d’obtenir tout ce que vous désirez ne sera pas nécessairement bon pour vous dans le long terme. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11.

Monade (philosophie) Le monadisme, vitaliste, s'oppose à l'atomisme, qui est mécaniste. La science des monades s'appelle « monadologie » ; ce néologisme vient, non de Leibniz, mais de Erdmann, l'éditeur de Leibniz en 1840. Quant aux mots, on peut dire que, parfois, le Grec appelle les nombres arithmétiques un, deux, trois, quatre, cinq, dix..., tandis qu'il appelle les nombres idéaux monade, dyade, triade, tétrade[1]. D'autre part, par convention, le mot « Monade » (avec majuscule) désigne le principe un, l'Un, l'Unité, tandis que « monade », avec minuscule, désigne une unité, une substance simple. Quant aux concepts, on peut distinguer ou confondre Un et Monade. Chez les pythagoriciens, surtout chez Philolaos de Crotone et Archytas, la Monade désigne l'unité originelle d'où dérive la série des nombres, en particulier la Décade (les dix premiers nombres entiers naturels). « Le principe de toutes choses est la Monade. Xénocrate, deuxième successeur de Platon à l'Académie, reprend l'opposition de Platon :

Savoirs ENS Arts 54 résultat(s) sur le site > Vous pouvez aussi chercher parmi nos archives Chéreau dans l'histoire ? La Reine Margot, le théâtre du pouvoir Françoise Zamour 21/03/2015Exposé lors de la journée d'études "Raconter l'Histoire ? La Reine Margot, sept années de genèse. Le massacre de la Saint-Barthélemy, de l'actualité à l'histoire Rahul Markovits 21/03/2015Exposé de Rahul Markovits lors de la journée d'études "Raconter l'Histoire ? Massacre à Paris (1972) : la Saint-Barthélemy dans le théâtre de Chéreau Anne-Françoise Benhamou 21/03/2015Exposé lors de la journée d'études "Raconter l'Histoire ? Matière des corps dans La Reine Margot Laure Weiss 21/03/2015Exposé lors de la journée d'études "Raconter l'Histoire ? Being of Our Time Aldona Jonaïtis 30/04/2013Le labex Transfers a invité en avril 2013 le Professeur Aldona Jonaitis (Université d'Alaska) pour un séminaire sur l'histoire de l'anthropologie. Divide et impera. Règles et rationalité pendant la guerre froide.

Méthode Coué Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'édition de 1926 du livre qui a fondé la méthode d'Émile Coué La méthode Coué est une prophétie autoréalisatrice qui tire son nom des travaux du psychologue et pharmacien français Émile Coué de la Châtaigneraie (1857 - 1926). Théorie[modifier | modifier le code] Reprenant le concept d'idéo-dynamisme proposé par H. quand la volonté et l'imagination sont en lutte c'est toujours l'imagination qui l'emporte sans aucune exception ;dans le conflit entre la volonté et l'imagination, la force de l'imagination est en raison directe du carré de la volonté ;quand la volonté et l'imagination sont d'accord, l'une ne s'ajoute pas à l'autre, mais l'une se multiplie par l'autre ;l'imagination peut être conduite[2] par l’autosuggestion consciente. Il est possible d'influencer favorablement notre être inconscient par la suggestion, et de cette façon d'améliorer notre état tant physique que moral. La méthode[modifier | modifier le code]

Anthropocentrisme L’anthropocentrisme est une conception philosophique qui considère l’humain comme l'entité centrale la plus significative de l'Univers et qui appréhende la réalité à travers la seule perspective humaine. Aristote fut le premier à en développer la théorie en même temps que celle du géocentrisme, conception scientifique qui, elle, a prévalu jusqu'au XVIe siècle et selon laquelle la Terre était le centre de l'univers. L'anthropocentrisme, en revanche, se prolonge encore aujourd'hui sur le plan philosophique et moral avec l'humanisme, idéologie à laquelle il est étroitement lié (et avec laquelle on le confond souvent), qui assigne à l'homme le rôle de mètre-étalon pour mesurer toute chose ou phénomène. Anthropocentrisme religieux[modifier | modifier le code] Philosophies antiques[modifier | modifier le code] Les Grecs et les Romains représentent leurs dieux sous des apparences humaines.Ici, une statue romaine représentant le dieu Apollon (IIe s av. Le judaïsme[modifier | modifier le code]

Acosmisme L'acosmisme dans la philosophie occidentale[modifier | modifier le code] L'acosmisme est repéré dans l’œuvre d'un certain nombre de philosophes occidentaux, dont Parménide, Spinoza, Kant, Hegel, Schopenhauer, Spir, Martinetti et les idéalistes britanniques et américains tels que F.H. Bradley[2],[3]. Le terme « acosmisme » est souvent attribué à Hegel qui l'emploie dans sa discussion de la philosophie de la religion, en particulier sa compréhension du panthéisme et sa réfutation des accusations d'athéisme contre Spinoza[4],[5],[6]. Hegel explique que pour Spinoza c'est la substance infinie qui est réelle, tandis que le monde fini n'existe pas. « Mais les accusateurs du spinozisme sont incapables de se libérer du fini ; par conséquent, ils déclarent que pour le spinozisme tout est Dieu, parce que c'est précisément l'ensemble des finitudes (le monde) qui à présent disparaît. L'acosmisme dans la philosophie orientale[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]

anticosmisme (= opposition au monde matériel)

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