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Qui s’informe comment au temps du Covid -19 ?

Qui s’informe comment au temps du Covid -19 ?
Cette infographie de Visual Capitalist a été conçue en avril 2020, alors que la crise sanitaire n’avait que quelques mois et que la plupart des pays expérimentaient leur premier confinement. Elle compare les types de médias vers lesquels se sont tournés les 4 000 Américains et Britanniques, âgés de 16 à 64 ans, interrogés par le cabinet d’études de marché Global Web Index, en fonction de la génération à laquelle ils appartiennent. Les boomers, les personnes âgées de plus de 55 ans dans cette enquête, sont ceux qui semblent avoir le moins changé leurs habitudes depuis le début de la pandémie, avec essentiellement une hausse de leur consommation de télévision. Les représentants de la génération X, de leur côté, ont augmenté leur consommation de programmes télévisés plus que toute autre génération, mais ils les regardent également sur Internet.

https://www.courrierinternational.com/grand-format/infographie-qui-sinforme-comment-au-temps-du-covid-19

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Écriture inclusive : pourquoi tant de haine ? - Parler comme jamais Difficile d’échapper aux polémiques sur « l’écriture inclusive » qualifiée tour à tour de « péril mortel », de « procédé à visée totalitaire », de « négationnisme vertueux »… Mais d’abord, qu’est-ce que c’est « l’écriture inclusive » ? Depuis quand l’expression est-elle apparue ? Pourquoi le débat s’est-il focalisé sur le point médian alors que le langage inclusif recoupe de nombreuses modalités dont certaines sont déjà bien en usage (accord des noms de métiers, accord de proximité, double flexion, etc ?) Un épisode pour mieux comprendre la teneur des débats en cours, ce qui fait consensus, ce qui fait polémique et pourquoi. Julie Abbou, Linguiste, Directrice de la revue GLAD – Revue sur le genre, le langage et les sexualités ; chercheuse post-doctorante à l’Université de Paris. Pascal Gygax, Psycholinguiste, chercheur, Directeur de l’équipe de Psycholinguistique et Psychologie Sociale Appliquée, Université de Fribourg, Suisse Les travaux de Julie Abbou · « (Typo)graphies anarchistes.

Twitch, nouveau terrain d’expérimentation des médias d’information | la revue des médias Dans les domaines de l’innovation et du journalisme numérique, Twitch s’inscrit comme une nouvelle tendance du début de l’année 2021. Initialement investie par les gamers, la plateforme s’est plus largement inscrite dans les usages numériques pendant le premier confinement. Si le jeu vidéo y occupe toujours une place importante, d’autres types de contenus y trouvent désormais leur place : musique, cuisine, activités manuelles, mais aussi l’actualité. En lançant une revue de presse régulière qui rassemble quotidiennement plus de 15 000 viewers, le journaliste et animateur semble ouvrir un nouveau point de contact entre internet et la télévision. Faut-il y voir un épisode de plus dans les interactions entre médias et plateformes numériques ? Le rapport au public au cœur des rapprochements entre Twitch et médias Avant la montée en popularité de la plateforme, plusieurs médias s’y sont essayés. Des contenus d’information déjà présents sur Twitch Accepter l’exposition directe avec son public

[SITE] Quel site d’information a le plus d’abonnés au monde  ? Avec ses 6,1 millions d’abonnés payants (papier et numérique confondu), le New York Times est de loin le grand vainqueur de ce classement proposé par le site Visual Capitalist. Cette infographie, publiée le 26 avril sur le site Visual Capitalist, permet de visualiser quels sont les sites d’information les plus populaires à travers le monde, si l’on se base sur le nombre de leurs abonnés payants. Les sept premiers du classement sont en anglais, l’une des langues les plus parlées dans le monde. Parmi eux, quatre sites étasuniens sont en tête, mais le deuxième, le Washington Post, a près de deux fois moins d’abonnés que le New York Times.

Les internautes consacrent seulement 3 % de leur temps à l’information (et beaucoup moins à la désinformation) Les internautes français passent peu de temps sur des sites de désinformation. C’est plutôt rassurant, mais c’est avant tout parce qu’ils consacrent peu de temps à l’information en ligne en général, selon une étude publiée par la Fondation Descartes, lundi 8 mars. Cet organisme de réflexion, qui se présente comme « citoyen, apartisan, indépendant et européen », entend alimenter le débat sur les questions liées à l’information en ligne. L’étude de la Fondation Descartes se base sur l’historique de connexion d’un panel de 2 372 internautes qui se veut représentatif de la population française, constitué par la société Respondi, spécialisée dans la collecte de données en ligne. Peu de temps pour s’informer en ligne « Ce qui nous intéressait, c’était de comprendre quelle est la consommation de médias en France », expliquent les auteurs de l’étude, Laurent Cordonier et Aurélien Brest. Derrière cette durée moyenne, des rapports bien différents à l’information coexistent.

Les jeunes et l’information : une étude du ministère de la Culture vient éclairer les comportements des jeunes en matière d’accès à l’information Dans un contexte de profondes transformations des modes de production, de diffusion et de consommation de l’information, la Direction générale des médias et des industries culturelles (DGMIC) du ministère de la Culture a souhaité disposer d’un diagnostic approfondi sur les pratiques de consommation de l’information par les jeunes générations (15-34 ans). Pour ce faire, elle a confié le soin à Médiamétrie de produire une analyse de ces pratiques. L’étude constate que les jeunes sont plus équipés en terminaux mobiles que la moyenne (les 15-34 ans sont 89,9 % à détenir un smartphone, contre 69,2 % des 15 ans et plus)[1] et davantage connectés (97 % des 15-34 ans ont accès à Internet, contre 93% de l’ensemble de la population).[2] Les jeunes sont d’importants consommateurs de contenus d’information en mobilité. Ils font en particulier un usage intense des réseaux sociaux : L’étude montre que, contrairement aux idées reçues, les jeunes s’intéressent beaucoup à l’actualité :

Créer une visite virtuelle - Pour créer une visite virtuelle, il nous faut : Un ordinateur Un smartphone ou une caméra 360° Un trépied un logiciel de visite - Prise de photo 360 - A l’aide d’un smartphone et de l’application Street view sur android et Ios/] - A l’aide d’une caméra 360 Il en existe beaucoup sur le marché, des marques comme Ricoh, Insta360, Gopro... - Logiciel de visite virtuelle Il existe de nombreux logiciels, nous nous arrêterons sur Viar.live, gratuit et en ligne. Dans le cadre d’un prêt de matériel, la DRANE peut vous proposer : Une caméra Ricoh Theta S et l’application android Ricoh THETA qui permet de déclencher à distance l’appareil photo et de visualer celle-ci Téléchargement des logiciels et applications de la camera 360 Manuel d’utilisation N’hésitez à nous contacter à dane.expertise chez ac-lyon.fr

Étude sur les jeunes et les réseaux sociaux : 72 % des 16-18 ans n'utilisent pas Facebook Cette étude a été menée par Diplomeo (groupe HelloWork, éditeur du BDM) auprès de 4682 répondants âgés de 16 à 25 ans entre décembre 2020 et janvier 2021. Tour d’horizon des réseaux sociaux favoris des jeunes et sur la manière dont ils les utilisent aujourd’hui. Les réseaux sociaux préférés des jeunes : Instagram toujours en tête Le podium des réseaux sociaux les plus utilisés par les jeunes est le suivant : Instagram (82 %)Snapchat (74 %)Facebook (54 %) Ce qu’il faut retenir : Instagram garde sa position de leader dans le cœur des jeunes pour la troisième année consécutive mais reste suivi de très près par Snapchat, qui séduit toujours avec son modèle de partage de photos et vidéos éphémères. Facebook et Messenger, délaissés par la tranche d’âge 16-18 ans Si on se penche sur les 16-18 ans, on constate que seulement 28 % d’entre eux utilisent encore Facebook, contre 68 % de leurs aînés. La montée en popularité de TikTok Pourquoi les jeunes utilisent les réseaux sociaux ?

[AUDIO] Qu'est-ce qu'un "vrai" journaliste ? L’arrestation récente du reporter Taha Bouhafs, fermement contestée par une partie des sociétés de médias, a suscité la polémique sur les réseaux sociaux, certains le qualifiant de simple militant. Si les outils du journalisme se démocratisent, comment faut-il définir la profession ? Mais comment faisaient les journalistes pour s’engueuler entre eux avant l’invention de Twitter ? Le réseau social est devenu le réceptacle des débats internes à la profession. Comme par exemple le week-end dernier avec le « cas » Taha Bouhafs. Une vingtaine de sociétés de journalistes de médias, dont celle de France Culture, publient une tribune pour dénoncer cette interpellation. Ses partisans rappellent au contraire que ce sont ses images qui sont à l’origine de l’affaire Benalla ; que par ailleurs le fait d’avoir une carte de presse n’est pas une condition sine qua none pour se dire journaliste. « Qu’est-ce qu’un ‘vrai’ journaliste ? Articles :

Les cas de « bullshit à propos du bullshit » : le rationalisme perd-il son sang-froid ? Alors qu’aux États-Unis les mensonges de Donald Trump conduisaient à une extraordinaire situation insurrectionnelle, en France paraissait le dernier livre de Gerald Bronner, intitulé Apocalypse cognitive (qui s’inquiète de l’usage que nous faisons de notre « temps de cerveau disponible »). Surprenante rencontre des actualités éditoriale et politique : le sacrilège du Capitole ne pouvait mieux illustrer les sombres prophéties du sociologue rationaliste. Bien sûr, Gerald Bronner prend soin de rappeler l’étymologie grecque du mot apocalypse (« révélation », et non « fin du monde »), mais le contenu prophétique de son livre est manifeste. L’apocalypse cognitive, au sens le plus commun, est pour bientôt, elle s’annonce avec le visage hurlant du conspirationnisme profanant le temple de la raison démocratique. Il s’agit avant tout de comprendre ces dérèglements pour mieux pouvoir les traiter. Du bullshit à propos du bullshit Le faux va-t-il plus vite que le vrai ? Post-vérité ?

Valider l’information par une approche métacognitive et scientifique – Prof & Doc Suis-je maître de mon cheminement vers l’information? En tant que professeurs-documentalistes soucieux de former nos élèves à la notion de fiabilité, les Sciences de l’Information nous ont apporté des méthodologies afin d’établir la qualité et la véracité d’une information. Ces méthodologies nous ont permis de traiter avec eux les modalités de la recherche documentaire, à évaluer les sites canulars, les infox et autres éléments informationnels qui circulent, à reconnaître l’autorité d’un site par rapport à ceux qui seraient moins sérieux, à observer les algorithmes de recherche et les résultats de nos requêtes. Le contexte actuel nous interroge, car il concerne la citoyenneté mais aussi le bien-être de nos élèves, chacun pouvant aisément adhérer à des discours pseudo-scientifiques, voire des phénomènes d’emprise intellectuelle. Pourquoi repenser son rapport à l’information ? 1. 2. 3. 4. 5. L’expertise du professeur-documentaliste sur ces enjeux est primordiale. 1. 2. Quelques biais : 3.

Cyrano. De grandes pièces de théatre gratuites pour tous les enseignants Dernière mise à jour le 1 mars 2021 Comment permettre à vos élèves de voir les grandes pièces de théâtre au programme scolaire en cette période de crise sanitaire et de désert culturel ? En attendant de pouvoir retourner dans les salles saluons comme il se doit l’initiative de Théâtral Magazine. L’équipe de Théâtral Magazine a conçu une plateforme vidéo de théâtre à destination des enseignants : Cyrano. Sur Cyrano, vous allez pouvoir retrouver les captations intégrales des pièces de théâtre actuellement au programme. Une vingtaine de grandes pièces de théâtre gratuites Cyrano propose une affiche pour le moins alléchante pour tous les amoureux du 6e art. Elles sont classées par catégories pour faciliter la consultation et la recherche. Pratique, Cyrano a eu la bonne idée de proposer également une rubrique “Programme scolaire” qui regroupe les grandes pièces de théâtre à étudier en première et terminale. Comment voir ces grandes pièces de théâtre gratuitement ?

Kit pédagogique du citoyen numérique : retrouvez toutes les ressources Les thèmes du kit pédagogique Comment supprimer une photo sur un réseau social ? À quel âge mon enfant peut-il regarder un écran ? Comment distinguer l’offre légale de biens culturels des sites illicites ? Quels sont les droits des internautes ? Pour répondre à ces questions, les ressources du kit pédagogique permettent d’explorer chaque grand thème de la vie numérique : les droits sur internet ; la protection de la vie privée en ligne ; le respect de la création ; l'utilisation raisonnée et citoyenne des écrans. Certaines ressources sont dédiées aux parents, d’autres sont plus adaptées aux professionnels de la formation (enseignants, éducateurs, personnels éducatifs, etc.). Pour les parents : les ressources pour apprendre la citoyenneté numérique à vos enfants Tout savoir sur les droits sur Internet Pour mieux comprendre leurs droits et responsabilités dans l’environnement numérique, les enfants et les jeunes peuvent consulter : Tout savoir sur la protection de la vie privée en ligne

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