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Connectivisme (théorie de l'apprentissage)

Connectivisme (théorie de l'apprentissage)
Une page de Wikiversité. Notez qu'il existe aussi (#CCK09), les messages blog, et un . php ? id = 522 forum de discussion à ce sujet. Mashups du bétail comprennent: [1]. La théorie du connectivisme est similaire au néo-constructivisme (théorie élaborée par Lev Vygotski) qui exploite pleinement les ressources des nouvelles sciences & technologies de l'information et de la communication. Le Connectivisme est l'intégration des principes explorés par les théories du chaos, théories des réseaux (et la théorie de l'information), de la complexité (et la Systémique) et les théories de l'Auto-organisation. Souligné par Mergel sur Ertmer et Newby's : "cinq questions définitives pour distinguer les théories de l'apprentissage" (en distinguant la section apprentissage, ¶ 1 ) fournit un cadre pour organiser les différentes théories : Comment l'apprentissage se produit il ? Créez des blogs pour la classe ... Quelle est la différence entre Connectivisme et d'apprentissage en réseau? ((ancrage | blogues)) Related:  Penser l'école (dans une dynamique Education nouvelle)

Lernen durch Lehren Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Élève enseignant le vocabulaire à ses camarades Lernen durch Lehren (LdL) (anglais: Learning by teaching) est la technique d'enseignement mutuel pratiquée en Allemagne depuis les années 1980. Pour faire face à une pénurie de professeurs, on demandait à des élèves de transmettre à leurs condisciples les connaissances qu'ils venaient d'assimiler. Histoire[modifier | modifier le code] En Suisse, le franciscain Grégoire Girard instaure des « cours gradués » basés sur le monitorat systématique en petits groupes. À partir du début du XXe siècle ces techniques sont utilisées pour des motifs pédagogiques pour arracher les élèves à leur passivité (pédagogie active). Cette méthode se répandit en Allemagne particulièrement à partir de 1987, lorsque Martin développa un réseau de plus de mille collègues qui utilisent la méthode dans toutes les matières[6]. La méthode d'après Martin (LdL)[modifier | modifier le code] LdL comporte deux volets : Avantages :

Perrenoud : « Comprendre, c’est contester l’ordre des choses… » Par Marcel Brun Un nouvel ouvrage de Philippe Perrenoud est forcément un objet attendu, tant les travaux de l’universitaire genevois ont irrigué les milieux de la formation des enseignants, IUFM compris. Le titre est tout un programme, comme une preuve que le propos est pesé : « Quand l’école prétend préparer à la vie… Développer des compétences ou enseigner d’autres savoirs ?» Il faut dire que ces derniers temps, les pédagos qui parlent des compétences ne sont pas sur une ligne unique. Il suffirait de comparer l’évolution du positionnement d’un autre Philippe célèbre, Meirieu, dont le dernier entretien croisé avec Marcel Gauchet, publié dans Le Monde (1), a donné un coup de pied dans la fourmilière. Où en est Perrenoud avec les compétences ? Du coup, pas étonnant que la construction de « référentiels » nécessaires en éducation tourne rapidement au dialogue de sourds : - « travailler par situations-problèmes » ne suffit pas pour développer automatiquement des compétences Notes : Liens :

Contre l'idéologie de la compétence, l'éducation doit apprendre à penser Dans quelle mesure l'évolution de nos sociétés ébranle-t-elle les conditions de possibilité de l'entreprise éducative ? Marcel Gauchet : Nous sommes en proie à une erreur de diagnostic : on demande à l'école de résoudre par des moyens pédagogiques des problèmes civilisationnels résultant du mouvement même de nos sociétés, et on s'étonne qu'elle n'y parvienne pas... Quelles sont ces transformations collectives qui aujourd'hui posent à la tâche éducative des défis entièrement nouveaux ? A priori, famille et école ont la même visée d'élever les enfants : la famille éduque, l'école instruit, disait-on jadis. Aujourd'hui, la famille tend à se défausser sur l'école, censée à la fois éduquer et instruire. Philippe Meirieu : Nous vivons, pour la première fois, dans une société où l'immense majorité des enfants qui viennent au monde sont des enfants désirés. Dans quelle mesure le face-à-face pédagogique est-il bouleversé par cette nouvelle donne ? P. Découvrir M. M. P. P. M. P. M. P. M. P.

Meirieu : "Je ne peux accepter que l’idéologie des compétences devienne une « théorie de l’apprentissage" Peut-on être optimiste à cette rentrée ? Dans la nouvelle édition actualisée de sa "Lettre à une jeune professeur", Philippe Meirieu analyse le plaisir d'enseigner. L'ouvrage, accessible et optimiste, reconnaît les difficultés du métier mais en montre aussi la beauté intime. Cette publication est l'occasion pour le Café de l'interroger sur la rentrée et l'avenir de l'Ecole. Je suis dans un paradoxe pour démarrer cet entretien. Oui, bien sûr, cette rentrée est, à de très nombreux égards, catastrophique : le système est au bout du rouleau, étouffé par une politique de restriction insupportable. Mais, fort heureusement, les professeurs ne sont pas seulement les « employés » d’un ministère qui n’a plus aucune légitimité à se nommer « de l’Education nationale »… Ce sont aussi des hommes et des femmes qui sont mus par la passion de transmettre et je veux croire que les comportements de leur institution n’érodera pas trop leur enthousiasme. Il faut absolument y échapper. Oui, évidemment !

Edgar Morin : Réforme de pensée, transdisciplinarité, réforme de l'Université Réforme de pensée et transdisciplinarité Nous savons que le mode de pensée ou de connaissance parcellaire, compartimenté, monodisciplinaire, quantificateur nous conduit à une intelligence aveugle, dans la mesure même où l'aptitude humaine normale à relier les connaissances s'y trouve sacrifiée au profit de l'aptitude non moins normale à séparer. Car connaître, c'est, dans une boucle ininterrompue, séparer pour analyser, et relier pour synthétiser ou complexifier. Ces conditions se rappellent à nous d'autant plus que s'ouvre une ère planétaire d'inter-solidarité. Le système La première notion ou conception, qui est maintenant bien connue, c'est évidemment celle de système. La pensée complexe La réforme de pensée, c'est celle qui permet d'intégrer ces modes de reliance. La réforme de pensée rencontre des conditions favorables et des conditions défavorables. La révolution quantique Les conditions favorables, ce sont les deux grandes révolutions du siècle. Réforme de pensée et éducation

L’école transformée en machine à désintégrer Dans le petit jeu des annonces gouvernementales qui s’emballent à l’approche des élections, le repérage des enfants «à risque» et «à haut risque» en maternelle est très représentatif d’une conception tout à fait cohérente de l’enseignement fondée sur des principes simples : médicalisation, détection et dérivation. Longtemps, la métaphore médicale a joué un rôle critique en éducation. En 1967, les enfants de Barbiana écrivaient dans leur «Lettre à une maîtresse d’école» que «l’école se comport[ait] comme un hôpital qui soignerait les bien portants et exclurait les malades». Le caractère subversif de la formule s’est émoussé : avec la gestion libérale du système de santé, quand le management l’emporte sur le soin et que le «pilotage par les résultats» permet tout naturellement d’arroser là où c’est déjà mouillé, la médecine n’a plus rien à envier à l’école ! Ainsi, ce qu’on nous présente comme une machine à intégrer est devenu une gigantesque machine à désintégrer.

Meirieu : Un pédagogue dans la Cité Par François Jarraud Attention : ce livre n'est ni une biographie officielle, ni des mémoires, encore moins un testament ! Avec "Un pédagogue dans la Cité", Philippe Meirieu revient dans le débat éducatif avec des propositions et pas seulement des souvenirs. "J'ai considéré comme "pédagogues" des personnalités engagées à la fois dans la réflexion et l'action éducative". Cette définition de Philippe Meirieu lui convient bien. Dans cet ouvrage, fruit d'une conversation avec Luc Cédelle, Philippe Meirieu revient sur son parcours et son action de pédagogue. Mais l'essentiel c'est la foi et les propositions. Plus qu'un livre de souvenirs, l'ouvrage est un livre de réflexion et d'action. Philippe Meirieu, Luc Cédelle, Un pédagogue dans la Cité, Conversation avec Luc Cédelle, Desclee de Brouwer, 2012. Présentation et commande Philippe Meirieu : Jamais la question des rapports entre démocratie et pédagogie n’a été aussi vive Non. P.

CONFERENCE : « L’œuvre de VYGOTSKI », par Jean-Yves Rochex. Accueil Sites compagnons Offres numériques Téléchargement Actualités Forum Retz Votre panier : 0 article Recherche avancée Accueil > Informations > CONFERENCE : « L’œuvre de VYGOTSKI », par Jean-Yves Rochex. CONFERENCE : « L’œuvre de VYGOTSKI », par Jean-Yves Rochex. L’IUFM de Créteil a mis en ligne la conférence de Jean-Yves Rochex, professeur en sciences de l’éducation, intitulée « L’œuvre de Vygotski : fondement pour penser l’école aujourd’hui ». Vygotski et l'éducation - Apprentissages, développement et contextes culturels à lire également > Tous les articles Services et liens utiles chargement

Formation | Enseignement: L'UCL lance les classes inversées! Avez-vous déjà entendu parler du concept de «classe inversée» ou de «flipped classroom»? Une révolution dans la façon d’enseigner! Rencontre avec Julie Lecoq, responsable du projet à l’IPM et Valérie Rosoux, professeur de négociation internationale. YOUcl News: d’où vient ce concept de «classe inversée», en quoi consiste-t-il? Julie Lecoq: La notion de «flipped classroom» a été conceptualisée en 2007 aux Etats-Unis par deux professeurs de chimie. Depuis, les recherches montrent de plus en plus à quel point cette forme de pédagogie est efficace pour les étudiants. YN: peut-on faire confiance aux étudiants pour lire et découvrir la théorie en amont, par eux-mêmes? YN: Ce sont les professeurs qu’il va falloir alors convaincre? YN: Concrètement, comment allez-vous vous organiser? Infos pratiques: Mercredi 18 décembre 2013 9h00-12h00 SUD 08, LLN (Place Croix du Sud - rez de chaussée- Louvain-la-Neuve) Mise en pratique : rencontre avec Valérie Rosoux, professeur de négociation internationale

Climat motivationnel instauré par l’enseignant et implication des élèves en classe : l’état des recherches 1 En témoigne le Miroir du Débat qui reflète ce que les Français on dit de leur école. Il contient la (...) 1« Motiver, motiver, comment les motiver » titrait Le Monde de l’Éducation dans son numéro d’avril 2004, se faisant l’écho de la fameuse « question 8 » du « Grand débat sur l’école » organisé par Luc Ferry le ministre de l’Éducation nationale de l’époque. 2 Bien que proche, ce dernier ne se confond pas avec « l’effet-classe » qui intègre d’autres éléments (...) 2Sensibles à cette préoccupation sociale grandissante, les travaux en psychologie de l’éducation se sont multipliés ces vingt dernières années sur le thème de la motivation. 3L’objectif de cette revue de littérature est précisément de montrer que le climat motivationnel instauré par l’enseignant dans sa classe constitue une variable importante à analyser pour comprendre l’investissement motivationnel des élèves à l’école. Postulats théoriques 8Initialement développée dans le champ de l’éducation grâce aux propositions de C.

La compassion sur les bancs de l’école « Il ne faut pas se demander seulement quelle planète nous laisserons à nos enfants, mais quels enfants on laissera à la planète ! » plaide le philosophe Edgar Morin. Dans un monde qui fait de moins en moins sens, par trop de divisions, de repli et d’indifférence, remettre la compassion au cœur de l’éducation devient fondamental. Comment procéder ? Focus sur quelques initiatives clés. © Mission Rosalie Cadron Sur le terrain, les actions d’ouverture à la citoyenneté se multiplient : par ici, des jeux coopératifs destinés à favoriser l’écoute et le respect ; par là, des projets d’éducation à la philanthropie, afin d’éveiller les plus jeunes aux défis sociaux et au bien commun... Suffisant pour ancrer une culture de la compassion ? Enraciner le questionnement Pendant des années, l’école primaire de Tursac, en Dordogne, a proposé à ses élèves des ateliers d’apprentissage des valeurs humaines. Repenser la relation Tirer le fil D'autres ont aimé... Sur le même thème...

Cessons de démotiver les élèves : 18 clés pour favoriser l’apprentissage Le rôle de l’enseignant doit évoluer. Il n’est plus celui qui « oblige » des élèves à effectuer des tâches pour lesquelles ils ne sont pas motivés mais celui qui « accompagne » des sujets en devenir à travers la mini-crise affective et cognitive que constitue tout apprentissage, en sachant que c’est au terme de cette épreuve que se produit la "récompense endogène cérébrale". Sa tâche essentielle revient donc à éviter que les élèves se démotivent pour l’apprentissage, car si cela se produit, ils risquent de chercher ailleurs dans la motivation d’addiction (drogues, alcool, jeux, conduites à risque, violence, …) des sources exogènes alternatives d’excitations et de plaisir. QUESTIONS à Daniel Favre En quoi les neurosciences peuvent-elles aider à mieux comprendre les élèves qui apprennent ? L’apport des neurosciences est très important pour éclairer la pédagogie. L’apprentissage est donc « naturellement » récompensé. Vous évoquez le rôle des émotions dans l’apprentissage. En ligne

Les 7 habitudes de ceux qui apprennent par eux-mêmes | Le blog de C-Campus Parodiant un titre de livre à succès, nous osons vous proposer dans ce post les 7 habitudes de ceux qui apprennent par eux-mêmes, de tout et tout le temps. Elles sont tirées de notre observation de “serial learner“ Se fixer en permanence de nouveaux défis Les “apprenants en série“ font de l’apprentissage une activité pérenne. Quant ils savent, ils s’ennuient et ont besoin de se mettre à nouveau dans une zone d’inconfort. Professionnellement, ils sont très mobiles et changent souvent de poste et d’entreprise pour satisfaire leur soif d’apprendre. Les “Serials learners“ ne sont pas forcément des rats de bibliothèque. Organiser son apprentissage Les “apprenants systématiques“ savent s’organiser pour apprendre. Observer pour mieux capturer le savoir autour de soi Les assoiffés du savoir sont par définition curieux. Accepter la critique et les conseils On l’a vu plus haut, l’apprenant en série a confiance en lui, mais il sait aussi se remettre en cause et apprendre des autres. Oser la sérendipité

Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre. Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale. Le maître-mot, alors, est la plasticité cérébrale. Car c’est précisément ce qui nous permet d’apprendre. Les circuits cérébraux : des capacités disponibles dès l’origine Les circuits cérébraux qui sous-tendent les apprentissages ne sont d’ailleurs pas si variés. L’apprentissage de la lecture active une région spécifique, mais il mobilise et active aussi d’autres zones. Différentes zones du cerveau Mais ce recyclage n’est pas une simple réutilisation. Comment alors passe-t-on d’une lecture ânonnante à une lecture fluide ? 1. 2.

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