Le boeuf coûte cher à l'environnement (étude) La production de viande de boeuf induit un coût environnemental bien plus élevé que celle de volaille, de porc ou de toute autre source de protéines animales, révèle une étude publiée lundi aux Etats-Unis. Pour élever un boeuf, un agriculteur aura ainsi besoin d'une surface 28 fois plus étendue que pour produire des oeufs ou de la viande de volaille, rapporte cette étude parue dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS). De même, il faut 11 fois plus d'eau pour irriguer les champs où poussent les foins et grains dont se nourrissent les bovins que pour les autres animaux d'élevage, selon les chercheurs du Bard College de New York, de l'Université de Yale et de l'Institut des Sciences Weizmann de Rehovot, en Israël. Les boeufs émettent aussi cinq fois plus de gaz à effet de serre que les autres animaux qui sont sources de protéines. "Et le boeuf est très clairement l'animal le moins économe en ressources parmi les cinq catégories d'animaux", pointe l'étude.
Ces 3 ennemis anti-perte de poids Merci de votre fidélité sur Expérience Paléo :) Bonne nouvelle : pour beaucoup, « manger paléo » rime avec « adieu les kilos » ! Et si le début du « régime » paléolithique amène souvent des pertes spectaculaires (le corps réagit à l’arrêt du sucre, des produits laitiers et des céréales), il arrive qu’ensuite la perte de poids ralentisse un peu, voire qu’elle stagne. Cela peut être lié au fait que l’on fait moins attention qu’au début, ou tout simplement que le corps trouve un nouvel équilibre. Or, cet équilibre n’est pas forcément celui vers lequel on souhaite tendre (vous savez, ces fameux 2 kilos qu’on traîne depuis des années !). Il faut donc parfois savoir briser le plateau et continuer la perte de poids. Aujourd’hui je vous présente les 3 ennemis qui freine votre perte de poids avec le régime paléolithique. Le paléo élimine le sucre raffiné, mais il reste des sucres naturels : fruits frais ou fruits secs, miel, sirop d’érable. Mes conseils si votre perte de poids stagne : Petit rappel :
The Primitivist Critique of Civilization--Richard Heinberg The Primitivist Critique of Civilization Richard Heinberg A paper presented at the 24th annual meeting of the International Society for the Comparative Study of Civilizations at Wright State University, Dayton, Ohio, June 15, 1995. I. Prologue Having been chosen--whether as devil's advocate or sacrificial lamb, I am not sure--to lead off this discussion on the question, "Was Civilization a Mistake?" From the viewpoint of any non-civilized person, this consideration would appear to be steeped in irony. Nevertheless, despite the possibility that at least some of our remarks may be ironic, disturbing, and pointless, here we are. The first has to do with certain deeply disturbing trends in the modern world. Now, it can be argued that civilization per se is not at fault, that the problems we face have to do with unique economic and historical circumstances. Many primal peoples tend to view us as pitiful creatures, too--though powerful and dangerous because of our technology and sheer numbers.
Les Français opposés à l'élevage intensif Si l’élevage intensif est encore la norme en France, un sondage montre que les Français, qui aiment manger de la viande, y restent pourtant majoritairement opposés. La lutte s’organise même pour s’opposer concrètement à des projets intensifs particulièrement spectaculaires, comme la Ferme des « Mille vaches » dans la Somme ou le centre d’engraissement des 1000 veaux dans La Creuse. Sommaire : L’élevage intensif, majoritaire en FranceUn exemple d’action : les Mille vaches, une opposition ferme à un projet d’élevage intensif à DrucatFerme des 1000 vaches : des limites du législatifUne ferme des 1000 veaux va ouvrir dans la Creuse [dernière maj : 17 janvier 2015] Si plus d’un millier d’animaux sont tués à chaque seconde dans le monde pour la viande, d’autres chiffres font également froid dans le dos, à commencer par celui-ci : plus de 80 % de l’élevage en France sont intensifs. Des contrôles encore rares Les sanctions sont rares, donc l’animal reste un produit comme un autre.
Régime Trail : le paléo, bon pour les traileurs? Le régime paléolithique a toujours existé et correspond à ce que mangeaient non ancêtres. Est-ce que cette manière de manger est bonne pour nous les traileurs? Le point avec Utrail. Le régime paléolithique est adopté surtout chez les personnes qui souhaitent perdre du poids et il a été prouvé qu’un tel régime pouvait faire perdre jusqu’à 1 kilo de graisse par semaine. Mais en quoi consiste ce type de régime? Il faut consommer suffisamment de protéines pour conserver la masse musculaire maigre. Mais est-ce que le régime paléo est approprié pour les traileurs? Xavier a ainsi déclaré à Nordic Magazine: « Côté nourriture, j’ai misé, avec mon ostéo, sur un régime sans gluten ni lactose, ce qui n’est pas simple quand on est jurassien et qu’on aime le fromage. Dans une autre interview à Doubs il a expliqué : « J’ai également changé beaucoup de choses dans mon alimentation avant et pendant les courses (plus de gluten ni de lactose). En bref: Articles trail sur le même sujet :
Le Temps, la Multidimensionnalité et votre Soi de Lumière Par Pamela Kribbe. Dans les chapitres précédents de la Série Artisans de la Lumière, nous avons raconté de façon plus ou moins chronologique l’histoire et le développement intérieur des âmes des artisans de la lumière. Cette histoire peut vous donner l’impression que vous vous développez dans le temps, du point A vers le point B, de l’obscurité vers la lumière, de l’ignorance vers la sagesse. Cependant, dans ce chapitre final, nous souhaitons attirer votre attention sur une perspective différente, une façon différente de vous regarder. Selon votre perspective terrestre, vous voyagez du point A vers le point B d’une façon linéaire. Selon la perspective de votre Soi spirituel éternel, vous êtes à tout moment libres d’expérimenter n’importe quel point sur la ligne allant de A à B à Z. La raison pour laquelle nous voulons attirer votre attention sur cette perspective, c’est que ça peut vous aider à vaincre des barrières intérieures. Le Temps Le temps est essentiellement subjectif.
Are you a baby eater? | Viva! By Justin Kerswell, Viva! campaigns manager If you picture the scene: a crowded shopping centre; then from amongst the jumble of legs wanders a tiny kitten. Then imagine a young piglet or lamb wandering amongst shoppers. It is hard-wired into most of us to protect infants – be they human or other mammals. Such is the collective moral schizophrenia, people melt at the site of kittens and new-born lambs gambolling in the fields yet will eat meat without a twinge of conscience. One of the things that constantly shocks people I speak to is how young farmed animals are before they are killed. The brutal truth is that farmed animals are only kept alive as long as there is profit in doing so. Although it is often termed reaching adult weight that term is misleading. For me, this fast track to death really hit home during a visit to a massive ‘broiler’ factory farm hidden behind trees and hedgerows near a pretty English village. For some, death comes before they are even born.
Le jus de citron, votre meilleur allié Détox On ne compte que 19 calories pour 100 grammes dans le citron, mais c’est surtout pour ses propriétés qu’il est intéressant à consommer. Le citron contient plein de substances, en particulier de l’acide citrique, du calcium, du magnésium, de la vitamine C, des bioflavonoïdes, de la pectine et du limonène qui renforcent les défenses de l’organisme et combattent les infections. Un verre d’eau tiède citronnée chaque matin pour bien démarrer la journée. Mais quelles sont les effets si magiques de ce fruit qui font que nous vous conseillons d’en boire chaque matin ? En boire chaque matin pour… 1. Le citron contient de la pectine qui permet de réduire l’appétit. 2. En buvant du jus de citron vous aller aider votre organisme à éliminer les toxines dans votre corps. 3. Le jus de citron est aussi un bon moyen d’augmenter la quantité de ses urines et de favoriser l’élimination des toxines en urinant. 4. 5. 6. L’arôme du citron a des facultés énergisantes qui activent la bonne humeur. 7.
The 32 Elements of Health: Emotional Poise and Stability | Foodnsport: The Home of the 80/10/10 Diet, the low-fat vegan raw food diet and athletic performance lifestyle “One's suffering disappears when one lets oneself go, when one yields―even to sadness.” “It is only with one's heart that one can see clearly. What is essential is invisible to the eye.” — Antoine de Saint-Exupéry “Poise is just being yourself.” — John Wooden Our Emotions Defined Our emotions are multifaceted sensations that cannot be completely understood by our minds. Emotional poise is not the absence of “negative” emotions, no. Stabilizing Our Emotions Stabilizing our emotions involves living our lives and perceiving our situations in ways that allow us to be on top of distress before and as it arises. Our emotions are expressions of our needs through the filters of our perceptions. The system of emotions that course within us is there for us to thrive. Achieving emotional stability is an endless work-in-progress. Truly Feeling The problem comes when, instead of letting our emotions be, we numb them out with unhealthy lifestyle practices.
Facebook Nutrition: <br>It's NOT Just About Food, Part 1 Nutrition Is an Inside and an Outside Job Nutrition is a perennial hot topic, no matter what your diet. And, it seems, almost everyone considers themselves to be experts on the subject. Just ask anyone if they think they eat well, or tell them that you are considering eating a diet made up solely of raw fruits and vegetables, and see what kind of response you get. Oddly enough, the more attention we put upon the quality of the food we eat, the more concerned about nutrition we become. We can view the issue of nutrition in a variety of ways. What has become clear to me, however, is that the great majority of factors that critically affect our nutrition have nothing whatever to do with the food we eat. What are some of these "outside" (nonfood) factors that are so important to our nutrition? Sunshine and Daylight It is interesting to note that two nutrients making the nutrition headlines these days don't even come from food-vitamin D and vitamin B12. Intrinsic Factor Physical Activity
L’élevage accentue l’effet de serre et la déforestation | Viande : l'environnement, la santé et les animaux L'élevage est responsable de 14,5 % des émissions de gaz à effet de serreEt de 80 % de la déforestation en AmazonieLe 5e rapport du GIEC recommande une diminution importante de la consommation de viande. Ce serait aussi efficace que de diviser par deux le parc automobile mondial.Un végétalien émet 2,5 fois moins de GES par son alimentation qu'un omnivore occidental L’élevage émet plus de gaz à effet de serre que les transports En 2006, un rapport de la FAO, Livestock's long shadow, a révélé que l’élevage produisait une quantité importante de gaz à effet de serre (GES), environ 18 % des émissions d'origine humaine. Les émissions de GES dans le monde. Chiffres clés Le secteur de l'élevage produit 7,1 milliards de tonnes d'équivalent CO2, soit environ 1/7 de l'ensemble des émissions de gaz à effet de serre. Il apparaît que les émissions sont dues majoritairement à l'élevage des ruminants. Source : GIEC. L'Europe contribue pour 8,5 % des émissions de GES liés à l'élevage. Bibiliographie
Serons-nous tous végétariens en 2050 Si les pays développés connaissent l’urgence à réduire la consommation de viande, peu imaginent adopter dans les prochaines décennies un régime végétarien quasi-généralisé. C’est pourtant la réalité qui attend la population mondiale d’ici à 2050 afin d’éviter des pénuries alimentaires catastrophiques et des déficits en eau considérables, si l’on en croit une étude du Stockholm International Water Institute, citée par le Guardian. Aujourd’hui, à l’échelle de la Terre, les 7 milliards d’hommes tirent en moyenne 20 % de leurs apports en protéines de produits d’origine animale. Les Nations unies ont calculé que le monde aura besoin d’augmenter sa production alimentaire de 70 % d’ici le milieu du siècle pour répondre à la demande galopante. D’après les scientifiques, le végétarisme serait donc une façon d’augmenter la quantité de ressources naturelles disponibles pour produire plus de nourriture. La question du végétarisme n’est toutefois pas totalement tranchée. Audrey Garric
www.agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/doctravail50112.pdf