LE BAL | Espace d’exposition dédié à l’image-document : photographie, vidéo, cinéma, nouveaux médias. Le Château Coquelle, centre culturel, Dunkerque DIAPHANE : Pôle photographique des Hauts de France, Clermont-de-l'Oise Qui sommes-nous ? Diaphane, pôle photographique en Hauts-de-France, a pour vocation de présenter la diversité de l’image photographique, sur toutes les échelles du territoire. Son projet est nourri par : - le soutien à la création lors de résidences de recherche et de séjours de production, - la réalisation de parcours d’expositions réguliers, - une offre de médiation qui comprend des temps de lecture et de pratique, - l’organisation d’un temps fort annuel, « Les Photaumnales », festival qui fédère autour d’un thème un ensemble d’expositions inédites. Diaphane porte un intérêt particulier au soutien des jeunes photographes, une attention responsable à la transversalité des projets, à la mutualisation des moyens et des énergies, et se plait à déployer ses actions du local à l’international... La maison Diaphane à Clermont-de-l’Oise accueille l’équipe du pôle photographique, un centre de ressources et un espace d’exposition à destination de jeunes photographes.
Musée Nicéphore Niépce - Musée de la photographie - Châlon-sur-Saône Pavillon populaire - Montpellier Le Pavillon Populaire de Montpellier présente la première grande exposition en France sur l’oeuvre du photographe catalan Antoni Campañà i Bandranas (Arbúcies, 1906 - Sant Cugat del Vallès, 1989) consacrée à la guerre d’Espagne. Caché et inédit pendant quatre-vingts ans – jusqu’à la découverte, il y a cinq ans, de sa fameuse « boîte rouge », contenant cinq mille photographies prises durant les trois années de la guerre civile espagnole –, son travail déroule la complexité du conflit et des tensions croisées qui éclateront à l’été 1936 et finiront par entraîner l’Europe dans la seconde guerre mondiale. Partant du principe que la guerre est l’expérience la plus absolue, à travers des milliers d’images, Campañà en relève les contradictions, sans concession à la propagande d’aucune partie, avec la recherche de la beauté totale comme prémisse. Campañà photographie le début et la fin du conflit dans sa ville avec le même malaise. Légendes photos :
Institut pour la photographie, Lille Le Point du Jour, centre d’art éditeur Expositions - Fondation Henri Cartier-Bresson Du 6 novembre 2018 au 10 février 2019 la Fondation présente l’exposition Martine Franck. Traversée d’une vie de femme libre (belge 1938-2012), de compagnonnages militants en paysage méditatifs, d’engagements politiques en portraits amicaux, ce regard ouvert à l’histoire des arts, d’une grande humanité s’est associé aux collectifs de Viva, qu’elle participa à créer, puis de la coopérative Magnum Photos. « Une goutte d’eau dans la rivière, mais j’y crois. Née à Anvers en 1938, Martine Franck grandit en Angleterre et aux États-Unis au sein d’une famille de collectionneurs. Le travail sur l’exposition et l’ouvrage qui l’accompagne a été entrepris très en amont en 2011 avec Martine Franck.
Galerie Les Filles du Calvaire Inaugurée en 1996 à Paris, dans un beau bâtiment industriel du Marais sur deux niveaux, la programmation de la galerie comporte trois axes majeurs : les champs de la peinture abstraite et figurative, la photographie contemporaine autour de la problématique de l’image et la notion du sujet, et les créations pluridisciplinaires autour de la notion d’installation et la vidéo. En peinture, la sélection est un reflet de l’abstraction internationale, avec des artistes tels qu’Olivier Mosset, de tendances radicales et minimales et d’autres à l’expression plus ancrée dans une gestualité picturale, tel Dominique Gauthier. Il s’agit d’ouvrir le champ pictural dans toute sa contemporanéité. Depuis quelques années la programmation s’est élargie à des artistes singuliers dans la tendance figurative comme Katinka Lampa et Paz Corona. En photographie, la galerie est reconnue pour sa programmation tant française qu’internationale avec des artistes importants tels que Helena Almeida.