Combien de satellites tournent autour de la Terre ?
L'orbite terrestre est de plus en plus encombrée par des milliers de satellites d'opérateurs privés et publics. Combien sont-ils à tourner au-dessus de nos têtes ? Quelles sont leurs missions ? Quels pays en comptent le plus ? Quelles sont leur taille et altitude ? Retrouvez tous les chiffres grâce à cette infographie. Selon l'association UCS (Union of Concerned Scientists), 2.063 satellites opérationnels étaient en orbite autour de la Terre au 1er avril 2019. Pays et taille des satellites Cette prolifération est liée à deux phénomènes : d'une part, de plus en plus de pays s'intéressent à l'espace. Utilisation des satellites Sur les 2.063 satellites en orbite terrestre, 38 % (788) sont dédiés à l'observation de la Terre (étude du climat, des précipitations, surveillance...) et 37 % (773) aux services de communication. Orbite des satellites 64 % des satellites (1.325) sont envoyés en orbite basse (LEO), située entre 500 et 2.000 kilomètres d'altitude.
Concours Arts en plastiques pour l'océan
Pour participer au concours, les professeurs volontaires inscrivent les classes sur le site de la Fondation de la mer en remplissant le formulaire d'inscription dédié, en ligne. Chaque école ou collège a la possibilité de présenter plusieurs productions plastiques (maximum 3 par classe), qui constitueront autant de candidatures et nécessiteront autant d'inscriptions distinctes au concours. Le dossier de candidature joint au formulaire d'inscription doit comporter impérativement : Le titre de la réalisation ;Une brève note d’intention écrite avec les élèves et expliquant comment l’œuvre s’insère dans le projet d’année de la classe ou de l’établissement (une page maximum) ;Une description des matériaux utilisés ;Des photos numériques ou une vidéo de la réalisation Poids maximum des photos : 5Mo. Format : jpeg ou png Poids maximum des vidéos : 10Mo. Les réalisations seront impérativement élaborées en tirant parti de diverses qualités de plastiques usagés et répandus dans la mer.
La pollution numérique, c'est quoi
Nos usages numériques ont un impact considérable sur l’environnement. Avec l’illustratrice Ana Magenta, décryptons cette pollution numérique et voyons quelles solutions sont à notre portée En partenariat avec l’EMF et In Fine Pour aller plus loin : Greenpeace, Qu’est-ce qu’on fait ?
Réparer le futur - Inès Leonarduzzi - | Maison de littérature générale
On compte plus de 14 milliards de smartphones dans le monde ; 21 milliards d’objets connectés nous assistent au quotidien ; 7 milliards de requêtes Google sont effectuées chaque jour, soit 80 000 par seconde, et un milliard d’heures de vidéos sont visionnées. Ces chiffres vous donnent le tournis ? Ils masquent surtout trois types de pollutions numériques : environnementale, mais aussi intellectuelle et sociétale, ou comment le numérique désincarné affecte au quotidien la planète, nos capacités cognitives et certaines fondations de notre société, comme le vivre-ensemble. Des mines boliviennes aux data centers des fjords norvégiens, en passant par les décharges ghanéennes, Inès Leonarduzzi, spécialiste en développement durable et en stratégie numérique, retrace son parcours en faveur de l’« écologie numérique », l’étude des interrelations entre l’homme, l’environnement et la machine. L’enjeu : ne pas décrier le numérique – cet outil fabuleux –, mais en initier le futur.
L’espace sous la menace des mégaconstellations de satellites
24 mai 2019, mission Starlink-0 : soixante satellites mis en orbite simultanément. 11 novembre 2019, Starlink-1 : soixante satellites de plus. 7 janvier 2020, Starlink-2 : soixante satellites de plus. 29 janvier, Starlink-3 : soixante satellites de plus. 17 février, Starlink-4 : soixante satellites de plus. Entre-temps, l’opérateur OneWeb est lui aussi entré dans la danse spatiale en lançant sa première fournée de trente-quatre satellites, le 6 février. En mars, Starlink et OneWeb prévoient tous les deux un nouveau lancement. Et ainsi de suite. Il faut s’obliger à lire cette liste monotone de décollages de fusées pour comprendre que le spatial vient, presque subrepticement, d’entrer dans une nouvelle ère, celle des mégaconstellations de satellites, destinées à fournir, depuis l’orbite basse (moins de 2 000 kilomètres d’altitude), du débit Internet à tous les Terriens, partout, tout le temps. Un chiffre qui angoisse aussi.
Publication du rapport "Déployer la sobriété numérique"
Nous sommes heureux de partager avec vous le troisième volet de nos travaux sur l’impact environnemental du numérique : « Déployer la sobriété numérique ». Téléchargez le Rapport complet (120p) Téléchargez le Résumé aux décideurs (4p)Téléchargez les annexes , et découvrez le modèle STERM sur Github Ce rapport est également disponible en version anglaise. Nos deux premiers rapports, « Lean ICT – Pour une sobriété numérique » (2018) et « Climat : l’insoutenable impact de la vidéo en ligne » (2019), nous ont permis de définir notre vision du concept de sobriété numérique. Les constats ainsi établis ont alimenté, notamment grâce à la production de chiffres, une prise de conscience de l’importance de l’empreinte environnementale du numérique, de son augmentation préoccupante et des raisons systémiques qui conduisent à cette situation. Face à la double contrainte carbone Relever les défis du XXIème siècle implique de comprendre les limites physiques auxquelles sont soumis nos systèmes.
Parti Pirate - Quand l'ivresse écologiste fait parler la « sobriété numérique »
Le réchauffement climatique s’impose à nous par ses graves conséquences et par les efforts que nous devons réaliser pour décarboner les activités humaines. Et au-delà du CO2, réduire l’impact de nos activités sur l’environnement devient crucial si nous voulons que notre planète puisse continuer à nous accueillir. De leur côté, les objets et usages du numérique sont aujourd’hui omniprésents et utiles à tout le monde, en croissance dans nos sociétés et vecteurs majeurs d’évolution de ces dernières. L'idée de se préoccuper de leur impact est donc apparue plutôt naturellement avec ce poids croissant. C'est la raison pour laquelle, depuis quelques années, nous voyons fleurir des évaluations d’impact du numérique dont découlent des propositions de mesures visant à décarboner notre économie. Si le débat public doit bien entendu se nourrir de faits vérifiables comme d’opinions, il nous semble cependant important de clairement différencier les deux.
La face cachée du numérique_ADEME
Les outils numériques nous intéressent et nous séduisent : amélioration des échanges, meilleur partage de l'information, communication instantanée, autant de nouvelles pratiques qui s'invitent dans notre vie quotidienne et notre travail... Et avec le télétravail qui se développe rapidement, les échanges numériques se multiplient. Cependant, même si nous parlons de dématérialisation des documents, des échanges, etc., la réalité est que l'utilisation des outils numériques et d'Internet n'est pas immatérielle et a des impacts sur l'environnement, notamment : consommations d'énergieconsommation de matières premièrespollutionsproduction de déchets...En tant qu'utilisateurs, nous pouvons agir pour alléger ces retombées.
Parcours d'éducation aux médias et à l'information (EMI) | Accueil
Les technologies numériques sont-elles compatibles avec les contraintes écologiques et sanitaires ? | Documentation
L’intérêt d’enseigner la discipline SNT pour l’enseignant documentaliste est qu’il peut enrichir son cours de problématiques liées à l’EMI, ici concernant Internet. Cet enseignement comprend six autres thèmes répartis entre trois enseignants de physique-chimie et trois enseignants de mathématiques, donc tous scientifiques. Le contenu technique du thème Internet ne peut pas être supprimé, il peut néanmoins être adapté aux compétences et connaissances de l’enseignant dans ce domaine. La discipline SNT offre un cadre suffisamment souple qui permet cela, et souligne la richesse de cet enseignement. Dans l’établissement, le principe d’enseignement de SNT repose sur une mise en barrettes des huit classes de seconde quatre à quatre. Le thème Internet se prête facilement à un traitement par enjeu, environnemental ou sanitaire. Introduction : le quiz du manuel scolaire permet à l’enseignant et aux élèves de se rendre compte de ce qui n’a pas été acquis, afin d’y insister au moment opportun.
Pollution numérique : voyage au bout d'un like
Et si votre "like" avait bien plus d’impact environnemental que vous ne pouviez l’imaginer. Alors que le maître mot du monde numérique est "dématérialisation" il existe bel et bien un impact matériel et palpable. Et si votre "like" avait bien plus d’impact environnemental que vous ne pouviez l’imaginer. Dans les méandres du monde numérique apparaissent des empreintes écologiques bien réelles de ce que nos habitudes et actions quotidiennes numériques provoquent. Besoins en eau, usage de centrale à charbon, consommations dantesques de gigawatt, et occupation du sol par des datacenters, le monde du numérique laisse des traces, exponentielles à l’instar de notre civilisation qui se numérise toujours plus. Le journaliste Guillaume Pitron a cherché à faire l’expérience sensorielle du monde numérique que nous avons pour habitude de qualifier d’immatériel et dont les impacts sont bien palpables. La diète numérique, c'est pour demain ? On en parle avec Guillaume Pitron, journaliste