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Talmud

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Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Talmud (héb. : תַּלְמוּד talmoud, « étude ») est l’un des textes fondamentaux du judaïsme rabbinique, ne le cédant en importance qu’à la Bible hébraïque, dont il représente le versant oral. Il est rédigé dans un mélange d'hébreu et d'araméen. Composé de la Mishna et de la Guemara, il compile les discussions rabbiniques sur l’ensemble des sujets de la Loi juive, classés en six ordres (shisha sedarim, abrégé Sha"s). Sitôt clôturé, le Talmud a fait l’objet de nombreux commentaires et exégèses, les uns tentant d’en extraire la matière légale, les autres d’en poursuivre les discussions en développant sa dimension casuistique, aboutissant à de savantes discussions et à des interprétations novatrices. Étapes de la formation du Talmud[modifier | modifier le code] Judaïsme et tradition orale[modifier | modifier le code] Mise par écrit de l'enseignement oral[modifier | modifier le code] La Loi orale[modifier | modifier le code] Zeraïm (« Graines »). Related:  TalmudPhilosophie et culture généraleCONVERGENCES

EXTRAITS DU TALMUD : LES LOIS CONTRE LES NON-JUIFS - Le blog de Pekeles Le Talmud est le livre le plus important du judaïsme, plus important pour la majorité d'entre eux que l’ancien testament (la Torah) de la Bible. Ce serait une compilation de traditions qui remonteraient aux enseignements de Moïse, conservées, transmises et interprétées par les « scribes ». A travers ces extraits, le sionisme prend tout son sens : Talmud, Ereget Rashi Erod.22 30 Un Non-juif est comme un chien. Les écritures nous apprennent qu'un chien mérite plus de respect qu'un non-juif. Talmud, Iebhammoth 61a : Les juifs ont droit à être appelés « hommes », pas les Non-juifs. Talmud, Iore Dea 377, 1 : Il faut remplacer les serviteurs Non-juif morts, comme les vaches, ou les ânes perdus et il ne faut pas montrer de sympathie pour le juif qui les emploie. Talmud, Jalkut Rubeni Gadol 12b: Les âmes des non-juifs proviennent d'esprits impurs que l'on nomme porcs. Talmud, Kerithuth 6b p. 78 : Les juifs sont des humains, non les Non-juifs, ce sont des animaux. Talmud, Yebamoth 98a.

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Talmud de Jérusalem — Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Talmud de Jérusalem (en Hébreu Talmoud Yeroushalmi, ou simplement Yeroushalmi), anciennement connu comme le Talmud palestinien ou galiléen, est une compilation de discussions rabbiniques discussions élaborant sur la Mishna en Araméen occidental, s'étant tenues en terre d'Israël à la même période que le Talmud de Babylone. Néanmoins, rédigé à la hâte deux siècles plus tôt que celui-ci, sous la pression des circonstances historiques, s'il couvre davantage de sujets (notamment les sujets relatifs aux lois agricoles et aux dîmes, dont la validité se limite en principe à la terre d'Israël), il s'approfondit moins et est en définitive moins complet et important en volume. Les traités de l'ordre Neziqin présentent d'importantes différences de forme et de style par rapport aux autres traités, ce qui laisse penser qu'ils sont le fruit d'une composition plus ancienne (50 ans avant le reste du Talmud). Articles connexes[modifier | modifier le code]

Denis Grozdanovitch Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Denis Grozdanovitch est un écrivain français, né en le 9 mai 1946 à Paris. C'est aussi par ailleurs un grand amateur d'échecs et un ancien joueur de tennis (champion de France junior en 1963), de squash (champion de France de 1975 à 1979) et de courte paume (plusieurs fois champion de France). Il est également diplômé de l'IDHEC[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Champion de France junior en 1963, Denis Grozdanovitch est promis à une grande carrière de joueur de tennis. À l'âge de quinze ans, il commence à prendre des notes dans des carnets. En 2014, il fait partie, avec Clément Bénech et Nicolas Lebeau, du jury du Prix EDHEC littérature[2]. Œuvres[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Ressources relatives au sport : Association of Tennis Professionals [archive] • Fédération internationale de tennis [archive]

Torah Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Torah (en hébreu תּוֹרָה, « instruction » ; en grec ancien Νόμος – Nomos –, « Loi »[1]) est, selon la tradition du judaïsme, l'enseignement divin transmis par Moïse (תּוֹרַת־מֹשֶׁה – Tōraṯ Mōshe) au travers de ses cinq livres (hébreu : חמשה חומשי תורה – Ḥamishā Ḥoumshē Tōrā) ainsi que l'ensemble des enseignements qui en découlent[2],[3]. Le christianisme, qui ne reconnait pas les enseignements rabbiniques, nomme les livres traditionnellement attribués à Moïse le Pentateuque, mot d'origine grecque Πεντάτευχος signifiant « Les cinq livres ». Elle est composée de cinq livres désignés en hébreu par le premier mot du texte et traditionnellement en français : la Genèse (Berēshīṯ : Commencement), l'Exode (Shemōṯ : Noms), le Lévitique (Wayyiqrā' : Et il appela), les Nombres (Bamiḏbar : Dans le désert), le Deutéronome (Devarim/ Deḇārīm : Choses). La Torah sert de charte historique et doctrinale au judaïsme orthodoxe[réf. à confirmer].

Le Talmud démasqué Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Talmud démasqué — Les enseignements rabbiniques secrets concernant les chrétiens (latin : Christianus in Talmude Iudaeorum — sive Rabbinicae doctrinae de christianis secreta, « Le chrétien dans le Talmud des Juifs — ou les doctrines rabbiniques secrètes au sujet des chrétiens ») est un faux rédigé en latin à la fin du XIXe siècle par le prêtre catholique lituanien Justin Bonaventure Pranaitis dans un but de polémique et de promotion de l’antisémitisme. Rédigeant son livre à la demande de l’archevêque métropolite de Moguilev, Szymon Marcin Kozlowski, l’auteur, maître en théologie et professeur d’hébreu à l’Académie impériale ecclésiastique de l’Église catholique romaine de Saint-Pétersbourg, présente son livre comme une enquête sur les enseignements juifs sur le christianisme, entendant révéler ce que le Talmud comprend d’enseignements authentiquement antichrétiens et offrant une version hébraïque (sic) en regard du texte latin.

Rachi Rabbi Chlomo ben Itzhak HaTzarfati (hébreu : רבי שלמה בן יצחק הצרפתי Rabbi Salomon fils d'Isaac le Français), plus connu sous les noms de Rachi, Rabbi Salomon et Salomon de Troyes, est un rabbin, exégète, talmudiste, poète, légiste et décisionnaire français, né vers 1040 à Troyes en France et mort le 13 juillet 1105 dans la même ville. Vigneron de son état, il est surtout l’auteur de commentaires sur la quasi-totalité de la Bible hébraïque (le Livre de Daniel ni les Chroniques ne sont commentés) et la majeure partie du Talmud de Babylone. Devenus des outils indispensables à la bonne intelligence de ces textes du vivant de leur auteur, ils sont diligemment répandus dans l’ensemble du monde juif, et lui assurent une place de choix au sein des autorités rabbiniques du Moyen Âge. Famille[modifier | modifier le code] Peu de faits historiques sûrs et avérés nous restent concernant la vie de Rachi. Son père est désigné dans le manuscrit par le nom « le saint rabbi Isaac ».

Talmud de Babylone — Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La page de garde du Talmud Les traités du Talmud de Babylone sont regroupés, tout comme la Mishna qui en forme le socle, en six ordres appelés Sédarim. Chaque traité aborde un thème principal et de très nombreux autres thèmes aussi variés qu'inattendus. Histoire du Talmud de Babylone[modifier | modifier le code] Après la compilation de la Mishna (vers 200), les Sages entreprirent d'approfondir et d'élargir son étude, à la fois en Palestine (ce qui donna lieu au Talmud de Jérusalem) et dans la diaspora babylonienne (Talmud de Babylone). L'étude de la Mishna comprenait la recherche du raisonnement derrière les Halakhot et la révélation de la dépendance de la Torah aux Halakhot de la Mishna. Chaque page de Talmud comprend aussi les Mishnayot et les références indiquées par le mot "Matni" (abréviation de Matnitine, Mishna en araméen). Le premier traité fut imprimé en 1475. Exégèse et nouveaux concepts du Talmud[modifier | modifier le code]

Aporie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une aporie (en grec aporia, absence de passage, difficulté, embarras) est une difficulté à résoudre un problème. Contradiction insoluble dans un raisonnement[1]. Pour Aristote, c'est une question qui plonge le lecteur ou l'auditeur dans le doute tout en le poussant à trancher entre deux affirmations : « απορία, διαπορια », c'est-à-dire « contradiction, embarras ». Le sens actuel d'aporie est plus fort et concerne tout problème insoluble et inévitable. Pour prendre une image en relation avec l'étymologie du mot, on peut dire aussi que l'aporie est une impasse dans un raisonnement procédant d'une incompatibilité logique. Aspect[modifier | modifier le code] On nomme aporétique un système construit sur une ou des aporie(s). Exemples de réponse à une question d'allure aporétique[modifier | modifier le code] Cet exemple est dû à Banesh Hoffmann, dans son livre L'Étrange Histoire des quanta : — L'élève : « La lumière est-elle une onde ou une particule ?

Bible Bible de Gutenberg, ouvrage imprimée en 1455, Latin vulgate, conservée à la New York Public Library. La Bible est un ouvrage composé de textes sacrés pour les juifs et les chrétiens, et saints pour les musulmans. Les diverses confessions peuvent inclure des livres différents dans leurs canons, dans un ordre différent. Les textes eux-mêmes ne sont pas toujours identiques d'une religion à l'autre. La Bible rassemble une collection d’écrits très variés et fragmentaires (récits des origines, textes législatifs, récits historiques, textes sapientiaux, prophétiques, poétiques, hagiographies, épîtres) dont la rédaction s’est échelonnée entre le VIIIe et IIe siècles av. La Bible hébraïque se nomme en hébreu TaNaKh (תנ״ך), un acronyme formé à partir des titres de ses trois parties constitutives : la Torah (la Loi), les Nevi'im (les Prophètes) et les Ketouvim (les Écrits). La Bible a été traduite dans de très nombreuses langues et à plusieurs reprises. Étymologie[modifier | modifier le code]

Juifs du Talmud & Goyim « Depuis son accession au pouvoir, le ministre de l'Intérieur Manuel Valls essaye d'étouffer le scoop d'Oumma dévoilant sa propre confession de son « lien éternel » avec « la communauté juive et Israël ». [...] Depuis quelques semaines, la rumeur parcourt les réseaux sociaux et les sites alternatifs : selon certains, Manuel Valls aurait lui-même demandé à Youtube et Dailymotion de retirer une vidéo, révélée en 2011 par Oumma, dans laquelle il affirma, entre autres paroles stupéfiantes, être « par sa femme, lié, de manière éternelle, à la communauté juive et à Israël ». […] Notre ministre de l'intérieur travaillerait pour un pays étranger au nôtre : Israël. Or il me semble qu'Israël et la France n'ont pas obligatoirement vocation à poursuivre partout et tout le temps une même politique. Mais pour l'élite française de droite et de gauche cela semble être une évidence. » Taraudés par les médias aux ordres, les Français sombrent dans une islamophobie qui fait le jeu des sionistes. Droit

Shammaï Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. la tombe de Shammaï à Méron Shammaï (mort en 30 ap. J.-C.) fut contemporain d'Hillel, et comme lui, une figure majeure de la Mishna. Shammaï et Hillel forment le couple de Sages le plus célèbre de l'histoire talmudique. Shammai est vraisemblablement né en Terre d'Israël, et exerçait le métier d'architecte, ou tout au moins maçon, car on le voyait souvent avec un instrument de mesure. Néanmoins, Shammaï n'était ni misanthrope ni implacable, il recommandait une attitude amicale envers chacun et était resté modeste, même avec ses élèves. Shammaï fut élu Av Bet Din (vice-président du Sanhédrin) lorsqu'Hillel en était le Nassi (président). Rabban Gamaliel I, petit-fils de Hillel, lui succéda à la tête du Sanhédrin en 30, mais l'influence de l'école de Shammaï persista jusqu'en 70, année de la destruction du Second Temple. Enseignement[modifier | modifier le code] Source[modifier | modifier le code] Personnages du Talmud du Rav Adin Steinsalz.

YHWH — Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans son ouvrage Mishné Torah, Maïmonide explique que seuls les prêtres du Temple de Jérusalem étaient habilités à prononcer le Tétragramme, lors de la bénédiction sacerdotale quotidienne des fidèles[4],[5]. Après la mort du grand-prêtre Shimon HaTzadik au IIIe siècle av. La prononciation originelle du Tétragramme demeure imprécise depuis cette époque[6]. Le Talmud énonce l'interdiction de le prononcer[7], en vertu du Troisième Commandement: « Tu ne prononceras pas le nom de YHWH en vain… » Dans leurs prières ou pendant la lecture de la Torah, les Juifs le remplacent par « Adonaï », dont la traduction courante est « mon Seigneur », et « Adonaï » est remplacé par « HaShem », « Le Nom », dans la vie de tous les jours. Certaines traductions bibliques l’ont parfois transcrit par « Yahvé », « Yahweh » ou « Jéhovah ». Les quatre consonnes[modifier | modifier le code] Interdit de prononciation dans le judaïsme[modifier | modifier le code]

Utilitarisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'utilitarisme est une doctrine éthique qui prescrit d'agir (ou ne pas agir) de manière à maximiser le bien-être global de l'ensemble des êtres sensibles. L'utilitarisme est donc une forme de conséquentialisme, théorie évaluant une action (ou une règle) uniquement en fonction des conséquences escomptées, qui se distingue de la morale rationnelle et notamment kantienne. Explication[modifier | modifier le code] L'utilitarisme est une forme de conséquentialisme : il évalue une action (ou une règle, voire une disposition ou un désir) uniquement en fonction de ses conséquences, ce qui l'oppose à une morale idéaliste plaçant la raison à la source des actions. L'utilitarisme définit classiquement le bien-être par le bonheur. L'utilitarisme est donc un conséquentialisme eudémoniste. Il convient donc de ne pas réduire le concept d'utilité à son sens courant de moyen en vue d'une fin immédiate donnée. L'Utilité utilitariste[modifier | modifier le code]

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