background preloader

Talmud

Talmud
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Talmud (héb. : תַּלְמוּד talmoud, « étude ») est l’un des textes fondamentaux du judaïsme rabbinique, ne le cédant en importance qu’à la Bible hébraïque, dont il représente le versant oral. Il est rédigé dans un mélange d'hébreu et d'araméen. Composé de la Mishna et de la Guemara, il compile les discussions rabbiniques sur l’ensemble des sujets de la Loi juive, classés en six ordres (shisha sedarim, abrégé Sha"s). Sitôt clôturé, le Talmud a fait l’objet de nombreux commentaires et exégèses, les uns tentant d’en extraire la matière légale, les autres d’en poursuivre les discussions en développant sa dimension casuistique, aboutissant à de savantes discussions et à des interprétations novatrices. Étapes de la formation du Talmud[modifier | modifier le code] Judaïsme et tradition orale[modifier | modifier le code] Mise par écrit de l'enseignement oral[modifier | modifier le code] La Loi orale[modifier | modifier le code] Zeraïm (« Graines »). Related:  TalmudPhilosophie et culture généraleCONVERGENCES

A Page of Talmud Click here to read about the Ein Mishpat Ner Mitzvah (cross-references to the Codes) Click here to read about Page Numbers in the Talmud Click here to read about Tractate Names in the Talmud Click here to read about chapter names in the Talmud Click here to read about chapter numbers in the Talmud Click here to read about the Tosafot commentary to the Talmud Click here to read about marginal glosses to the Talmud Click here to read about other commentaries on the Talmud Click here to read about the Mesoret Ha-Shas (cross-references to Talmudic literature) Click here to read about the Torah Or (cross-references to the Bible) Click here to read about the Mishnah Click here to read about the Gemara (Babylonian Talmud) Click here to read about the Rashi's commentary to the Talmud Amazing! Click here to read what the said about this site [Original material in this module is copyright (©) by Eliezer Segal] You may also access the files through the following menus: Return to Eliezer Segal's Home Page

Denis Grozdanovitch Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Denis Grozdanovitch est un écrivain français, né en le 9 mai 1946 à Paris. C'est aussi par ailleurs un grand amateur d'échecs et un ancien joueur de tennis (champion de France junior en 1963), de squash (champion de France de 1975 à 1979) et de courte paume (plusieurs fois champion de France). Il est également diplômé de l'IDHEC[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Champion de France junior en 1963, Denis Grozdanovitch est promis à une grande carrière de joueur de tennis. À l'âge de quinze ans, il commence à prendre des notes dans des carnets. En 2014, il fait partie, avec Clément Bénech et Nicolas Lebeau, du jury du Prix EDHEC littérature[2]. Œuvres[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Ressources relatives au sport : Association of Tennis Professionals [archive] • Fédération internationale de tennis [archive]

Torah Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Torah (en hébreu תּוֹרָה, « instruction » ; en grec ancien Νόμος – Nomos –, « Loi »[1]) est, selon la tradition du judaïsme, l'enseignement divin transmis par Moïse (תּוֹרַת־מֹשֶׁה – Tōraṯ Mōshe) au travers de ses cinq livres (hébreu : חמשה חומשי תורה – Ḥamishā Ḥoumshē Tōrā) ainsi que l'ensemble des enseignements qui en découlent[2],[3]. Le christianisme, qui ne reconnait pas les enseignements rabbiniques, nomme les livres traditionnellement attribués à Moïse le Pentateuque, mot d'origine grecque Πεντάτευχος signifiant « Les cinq livres ». Elle est composée de cinq livres désignés en hébreu par le premier mot du texte et traditionnellement en français : la Genèse (Berēshīṯ : Commencement), l'Exode (Shemōṯ : Noms), le Lévitique (Wayyiqrā' : Et il appela), les Nombres (Bamiḏbar : Dans le désert), le Deutéronome (Devarim/ Deḇārīm : Choses). La Torah sert de charte historique et doctrinale au judaïsme orthodoxe[réf. à confirmer].

Rachi Rabbi Chlomo ben Itzhak HaTzarfati (hébreu : רבי שלמה בן יצחק הצרפתי Rabbi Salomon fils d'Isaac le Français), plus connu sous les noms de Rachi, Rabbi Salomon et Salomon de Troyes, est un rabbin, exégète, talmudiste, poète, légiste et décisionnaire français, né vers 1040 à Troyes en France et mort le 13 juillet 1105 dans la même ville. Vigneron de son état, il est surtout l’auteur de commentaires sur la quasi-totalité de la Bible hébraïque (le Livre de Daniel ni les Chroniques ne sont commentés) et la majeure partie du Talmud de Babylone. Devenus des outils indispensables à la bonne intelligence de ces textes du vivant de leur auteur, ils sont diligemment répandus dans l’ensemble du monde juif, et lui assurent une place de choix au sein des autorités rabbiniques du Moyen Âge. Famille[modifier | modifier le code] Peu de faits historiques sûrs et avérés nous restent concernant la vie de Rachi. Son père est désigné dans le manuscrit par le nom « le saint rabbi Isaac ».

Aporie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une aporie (en grec aporia, absence de passage, difficulté, embarras) est une difficulté à résoudre un problème. Contradiction insoluble dans un raisonnement[1]. Pour Aristote, c'est une question qui plonge le lecteur ou l'auditeur dans le doute tout en le poussant à trancher entre deux affirmations : « απορία, διαπορια », c'est-à-dire « contradiction, embarras ». Le sens actuel d'aporie est plus fort et concerne tout problème insoluble et inévitable. Pour prendre une image en relation avec l'étymologie du mot, on peut dire aussi que l'aporie est une impasse dans un raisonnement procédant d'une incompatibilité logique. Aspect[modifier | modifier le code] On nomme aporétique un système construit sur une ou des aporie(s). Exemples de réponse à une question d'allure aporétique[modifier | modifier le code] Cet exemple est dû à Banesh Hoffmann, dans son livre L'Étrange Histoire des quanta : — L'élève : « La lumière est-elle une onde ou une particule ?

Bible Bible de Gutenberg, ouvrage imprimée en 1455, Latin vulgate, conservée à la New York Public Library. La Bible est un ouvrage composé de textes sacrés pour les juifs et les chrétiens, et saints pour les musulmans. Les diverses confessions peuvent inclure des livres différents dans leurs canons, dans un ordre différent. Les textes eux-mêmes ne sont pas toujours identiques d'une religion à l'autre. La Bible rassemble une collection d’écrits très variés et fragmentaires (récits des origines, textes législatifs, récits historiques, textes sapientiaux, prophétiques, poétiques, hagiographies, épîtres) dont la rédaction s’est échelonnée entre le VIIIe et IIe siècles av. La Bible hébraïque se nomme en hébreu TaNaKh (תנ״ך), un acronyme formé à partir des titres de ses trois parties constitutives : la Torah (la Loi), les Nevi'im (les Prophètes) et les Ketouvim (les Écrits). La Bible a été traduite dans de très nombreuses langues et à plusieurs reprises. Étymologie[modifier | modifier le code]

Shammaï Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. la tombe de Shammaï à Méron Shammaï (mort en 30 ap. J.-C.) fut contemporain d'Hillel, et comme lui, une figure majeure de la Mishna. Shammaï et Hillel forment le couple de Sages le plus célèbre de l'histoire talmudique. Shammai est vraisemblablement né en Terre d'Israël, et exerçait le métier d'architecte, ou tout au moins maçon, car on le voyait souvent avec un instrument de mesure. Néanmoins, Shammaï n'était ni misanthrope ni implacable, il recommandait une attitude amicale envers chacun et était resté modeste, même avec ses élèves. Shammaï fut élu Av Bet Din (vice-président du Sanhédrin) lorsqu'Hillel en était le Nassi (président). Rabban Gamaliel I, petit-fils de Hillel, lui succéda à la tête du Sanhédrin en 30, mais l'influence de l'école de Shammaï persista jusqu'en 70, année de la destruction du Second Temple. Enseignement[modifier | modifier le code] Source[modifier | modifier le code] Personnages du Talmud du Rav Adin Steinsalz.

Utilitarisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'utilitarisme est une doctrine éthique qui prescrit d'agir (ou ne pas agir) de manière à maximiser le bien-être global de l'ensemble des êtres sensibles. L'utilitarisme est donc une forme de conséquentialisme, théorie évaluant une action (ou une règle) uniquement en fonction des conséquences escomptées, qui se distingue de la morale rationnelle et notamment kantienne. Explication[modifier | modifier le code] L'utilitarisme est une forme de conséquentialisme : il évalue une action (ou une règle, voire une disposition ou un désir) uniquement en fonction de ses conséquences, ce qui l'oppose à une morale idéaliste plaçant la raison à la source des actions. L'utilitarisme définit classiquement le bien-être par le bonheur. L'utilitarisme est donc un conséquentialisme eudémoniste. Il convient donc de ne pas réduire le concept d'utilité à son sens courant de moyen en vue d'une fin immédiate donnée. L'Utilité utilitariste[modifier | modifier le code]

Coran Le Coran est parfois appelé al-kitāb (« le Livre »), adh-dhikr (« le Rappel ») ou encore al-furqān (« le Discernement »). Pour les musulmans sunnites, il est l'expression d'un attribut incréé de Dieu adressé à toute l'humanité. Étymologie Qurʾān est le terme le plus utilisé par le Coran pour se désigner lui-même. Le mot arabe قُرْآن, qurʾān, dérive, pour la tradition musulmane, du verbe َقَرَأ, qaraʾa, qui signifie « lire, réciter »[7]. Pour A. Description Les versets sont au nombre de 6 236[13] pour le hafs (lecture orientale) et le warch (lecture occidentale). Ordre des sourates Selon la tradition musulmane, à la suite de la mort de Mahomet, c'est sous le calife Othman que le texte a été fixé et qu'il est devenu la version officielle du Coran entre 644 et 656 de l'ère chrétienne. Certains des manuscrits de Sanaa montrent des ordonnancements de sourates différents de la version de Othman. Chronologie de la rédaction Vision musulmane traditionnelle Recherche historique Contenu et thématiques M.

Pirkei Avot Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le traité Avot (hébreu : אבות « pères » ou « principes ») est le neuvième et avant-dernier de l’ordre Nezikin dans la Mishna. Seul traité à ne pas aborder des points de Loi juive, il comprend cinq chapitres d’apophtegmes et de réflexions à caractère majoritairement éthique, occupant dans la littérature rabbinique la même place que le Livre des Proverbes dans la Bible. Augmenté au Moyen Âge d’un « chapitre » supplémentaire issu de la littérature tannaïtique extra-mishnaïque, il est intégré, sous le nom de Pirke Avot (hébreu : פרקי אבות « chapitre des pères »), à la liturgie de l’après-midi du chabbat. Objet du traité[modifier | modifier le code] Avant-dernier traité de l’ordre Nezikin consacré aux dommages et à leur compensation, Avot a pour fonction, selon Maïmonide, d’enseigner aux juges les coutumes et vertus des Sages ainsi que l’antiquité de la chaîne de transmission de leurs savoirs. Contenu[modifier | modifier le code]

Hermétisme Jean-Jacques Boissard, de divinatione et magicis præstigiis, Oppenheim, début du XVIIe siècle représentation d'Hermès Trismégiste. Hermétisme désigne deux courants de pensée : une doctrine ésotérique fondée sur des écrits (les Hermetica) de l'Antiquité classique attribués à l'inspiration de Hermès Trismégiste.son développement dans la doctrine des alchimistes au Moyen Âge puis essentiellement à partir de la Renaissance. Antoine Faivre a suggéré d'employer deux termes distincts pour ces deux traditions de pensée. À côté du mot « hermétisme », servant à désigner le corps de doctrines des Hermetica ainsi que leurs gloses et exégèses, on peut employer le mot « hermétisme » pour désigner « un ensemble plus vaste de doctrines, de croyances et de pratiques, dont la nature s'est précisée à la Renaissance. L'hermétisme est une philosophie, une religion, un ésotérisme, ou une spiritualité en quête du salut, par l'esprit (comme le gnosticisme) mais supposant la connaissance analogique du cosmos.

Bouddhisme Le bouddhisme est une religion et une philosophie dont les origines se situent en Inde aux VIe – Ve siècles av. J.-C. à la suite de l'éveil de Siddhartha Gautama à Bodhgaya dans le Bihar et de la diffusion de son enseignement. Les notions de dieu et de divinité dans le bouddhisme sont particulières : bien que le bouddhisme soit souvent perçu comme une religion sans dieu créateur[n 1], cette notion étant absente de la plupart des formes du bouddhisme[n 2], la vénération et le culte du Bouddha historique Siddhartha Gautama en tant que bhagavat jouent un rôle important dans le Theravāda tout comme dans le Mahāyāna, qui voient en ce personnage un être éveillé doté d’un triple corps[n 3]. Le bouddhisme, à travers ses différentes écoles, présente un ensemble ramifié de pratiques méditatives, de rituels religieux (prières, offrandes), de pratiques éthiques, de théories psychologiques, philosophiques, cosmogoniques et cosmologiques, abordées dans la perspective de la bodhi, « l'éveil ». Origines

Lecture de la paracha Berechit en français Pour télécharger un MP3, faites un double-clic sur le bouton "lecture". בְּרֵאשִׁ֖ית בָּרָ֣א אֱלֹהִ֑ים אֵ֥ת הַשָּׁמַ֖יִם וְאֵ֥ת הָאָֽרֶץ ׃ וְהָאָ֗רֶץ הָיְתָ֥ה תֹ֨הוּ֙ וָבֹ֔הוּ וְחֹ֖שֶׁךְ עַל־פְּנֵ֣י תְה֑וֹם וְר֣וּחַ אֱלֹהִ֔ים מְרַחֶ֖פֶת עַל־פְּנֵ֥י הַמָּֽיִם ׃ וַיֹּ֥אמֶר אֱלֹהִ֖ים יְהִ֣י א֑וֹר וַֽיְהִי־אֽוֹר ׃ וַיַּ֧רְא אֱלֹהִ֛ים אֶת־הָא֖וֹר כִּי־ט֑וֹב וַיַּבְדֵּ֣ל אֱלֹהִ֔ים בֵּ֥ין הָא֖וֹר וּבֵ֥ין הַחֹֽשֶׁךְ ׃ וַיִּקְרָ֨א אֱלֹהִ֤ים׀ לָאוֹר֙ י֔וֹם וְלַחֹ֖שֶׁךְ קָ֣רָא לָ֑יְלָה וַֽיְהִי־עֶ֥רֶב וַֽיְהִי־בֹ֖קֶר י֥וֹם אֶחָֽד ׃ פ וַיֹּ֣אמֶר אֱלֹהִ֔ים יְהִ֥י רָקִ֖יעַ בְּת֣וֹךְ הַמָּ֑יִם וִיהִ֣י מַבְדִּ֔יל בֵּ֥ין מַ֖יִם לָמָֽיִם ׃ וַיַּ֣עַשׂ אֱלֹהִים֮ אֶת־הָרָקִיעַ֒ וַיַּבְדֵּ֗ל בֵּ֤ין הַמַּ֨יִם֙ אֲשֶׁר֙ מִתַּ֣חַת לָרָקִ֔יעַ וּבֵ֣ין הַמַּ֔יִם אֲשֶׁ֖ר מֵעַ֣ל לָרָקִ֑יעַ וַֽיְהִי־כֵֽן ׃ וַיִּקְרָ֧א אֱלֹהִ֛ים לָֽרָקִ֖יעַ שָׁמָ֑יִם וַֽיְהִי־עֶ֥רֶב וַֽיְהִי־בֹ֖קֶר י֥וֹם שֵׁנִֽי ׃ פ וַיֹּ֣אמֶר אֱלֹהִ֗ים יִקָּו֨וּ הַמַּ֜יִם מִתַּ֤חַת הַשָּׁמַ֨יִם֙ אֶל־מָק֣וֹם אֶחָ֔ד וְתֵרָאֶ֖ה הַיַּבָּשָׁ֑ה וַֽיְהִי־כֵֽן ׃

Barbara Stiegler Barbara Stiegler (née en 1971) est une philosophe française, professeure à l'université Bordeaux-Montaigne ; elle travaille en collaboration avec les milieux de la santé. Elle est membre de l’Institut universitaire de France[1]. Elle s’intéresse tout d'abord à Nietzsche, dans ses rapports à la biologie et au corps. Théoricienne du néolibéralisme, elle met ensuite en évidence les sources évolutionnistes du néolibéralisme pour lequel l’espèce humaine devrait apprendre à vivre dans un nouvel environnement et s’adapter grâce à des politiques de santé et d’éducation menées par des experts. Biographie[modifier | modifier le code] Famille et formation[modifier | modifier le code] Barbara Stiegler est la fille aînée du philosophe Bernard Stiegler[2]. Elle réussit l'agrégation de philosophie en 1994 et fait du monitorat entre 1995 et 1998, puis travaille comme professeure de philosophie dans le secondaire. Parcours universitaire[modifier | modifier le code] Recherches[modifier | modifier le code]

Related: