Tarot divinatoire - Wikipedia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Papesse, arcane majeur du Tarot Visconti Le tarot divinatoire est l'application de la cartomancie aux cartes du Tarot de Marseille ou de ses variantes historiques ou modernes. Histoire[modifier | modifier le code] pour l'histoire des jeux de cartes utilisés dans le Tarot divinatoire voir l'article Tarot de Marseille L'usage divinatoire du Tarot pourrait être daté de 1527 avec la parution du Chaos del Tri per uno, essai littéraire de lecture divinatoire avec les tarots de Teofilo Folengo écrit sous le pseudonyme de Merlin Cocai. C'est à la fin du XVIIIe siècle à Bologne en Italie qu'est attesté un des premiers documents connus avec la liste de cartes du Tarot et leurs significations divinatoires[1]. Le rayonnement du Tarot divinatoire fondé sur le Tarot de Marseille ou le Tarot de Besançon prendra son essor en France avec Antoine Court de Gébelin. Son travail sera repris et réinterprété dans les livres d'Etteilla.
Plérôme Le plérôme (plénitude) dans le Nouveau Testament[modifier | modifier le code] Dans le Nouveau Testament, le mot plérôme signifie « plénitude ». Il apparaît par exemple dans la prière de saint Paul (Épître aux Éphésiens, III, 19) : « Ainsi, vous recevrez la force de comprendre, avec tous les saints, ce qu'est la Largeur, la Longueur, la Hauteur et la Profondeur, vous connaîtrez l'amour du Christ qui surpasse toute connaissance, et vous entrerez par votre plénitude dans toute la Plénitude de Dieu. » Le Plérôme chez les gnostiques[modifier | modifier le code] Selon Charlotte A. Le Plérôme chez Carl Gustav Jung[modifier | modifier le code] Dans son ouvrage Les Sept Sermons aux morts, habituellement qualifié de « gnostique » et dont il attribue la substance à Basilide, Carl Gustav Jung enseigne ainsi ce qu'est le Plérôme : « Le néant est à la fois vide et plein... Notre nature profonde, intime est la différenciation. Jung assimile l'abandon de l'individuation humaine à une régression.
Dharma : Ordre universel cosmique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dharmacakra, la roue de la loi, symbole du Dharma apparu dans le monde, lorsqu'un Bouddha médite. (statue thaïlandaise moderne) Dharma, (transcription depuis le sanskrit: धर्म), ou dhamma (depuis le pali: धम्म), est un terme polymorphe et important dans les philosophies et religions indiennes. Selon le contexte, la définition diffère et recouvre une grande variété des sens théoriquement dérivés de la racine dhar, porter, soutenir : ferme, établi ;loi naturelle ou juridique, coutume, devoir, droit, justice ;substance, essence, caractéristique, vérité, réalité ;vertu, religion, enseignement, doctrine ;phénomène, fait de conscience et même atome. Dans le monde chinois et d'influence chinoise, l'idéogramme de dharma est 法, prononcé fǎ en mandarin et hō en japonais. De façon générale, dharma désigne donc l'ensemble des normes et lois, sociales, politiques, familiales, personnelles, ou naturelles. Hindouisme[modifier | modifier le code]
Philosophie indienne La philosophie indienne est un ensemble de systèmes philosophiques originaires de l'Inde. On définit classiquement deux sortes de philosophies indiennes selon qu'elles reconnaissent ou non l'autorité du Veda : les philosophies āstika (आस्तिक en devanāgarī) sont celles qui reconnaissent l'autorité du Veda et les Upanishads qui en sont la conclusion. Les différentes écoles āstika[modifier | modifier le code] Nyāya et Vaiśeṣika[modifier | modifier le code] Le Nyāya[modifier | modifier le code] L'école du Nyāya (en sanskrit न्याय, nyāya) est basée sur un texte appelé le Nyāya Sūtra. Mais le Nyāya n'est pas simplement une logique. Le Vaiśeṣika[modifier | modifier le code] Le système de Vaiśeṣika (en sanskrit वैशेषिक, vaiśeṣika), fondé par le sage Kanada, postule un pluralisme atomique. Bien que le système de Vaiśeṣika se soit développé indépendamment du système Nyāya, les deux ont par la suite fusionné en raison de leurs théories métaphysiques étroitement liées[9]. Le yoga de la connaissance.
Les Deux Vérités Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Deux Vérités ou Les Deux Réalités, l'une relative et l'autre ultime, est une notion fondamentale du bouddhisme. Dans le bouddhisme la réalité est interprétée sous deux perspectives appelées Les Deux Vérités ou Les Deux Réalités. I. La réalité relative. Philippe Cornu déclare : « La réalité relative ou réalité d'enveloppement, réalité de surface, ou réalité conventionnelle se rapporte au mode d'apparence des phénomènes et de l'existence. II. « La réalité absolue désigne le mode réel des choses, leur nature essentielle et ultime[1]. » Georges Dreyfus ajoute : « L'importance de l'enseignement des deux vérités est bien révélé par Nagarjuna lorsqu'il dit que l'enseignement du Bouddha est entièrement basé sur les deux vérités, la vérité conventionnelle et la vérité ultime [...] Guy Bugault dit que « la distinction de deux vérités n'est pas une invention de Nagarjuna. Au niveau absolu, les deux vérités sont identiques. Georges Dreyfus explique :
Raymond Abellio Cet article peut contenir un travail inédit ou des déclarations non vérifiées (septembre 2016). Vous pouvez aider en ajoutant des références ou en supprimant le contenu inédit. Voir la page de discussion pour plus de détails. Raymond Abellio. Georges Soulès, dit Raymond Abellio (né à Toulouse le 11 novembre 1907 - mort à Nice le 26 août 1986), est un écrivain et philosophe gnostique français. Il a également été un homme politique des années 1930 et 40, occupant des postes de responsabilité à la SFIO avant-guerre puis, durant l'Occupation, au Mouvement social révolutionnaire (MSR) dont il sera l'un des dirigeants aux côtés de son fondateur Eugène Deloncle, puis à sa place. Son œuvre philosophique se développe à travers plusieurs essais et de nombreux articles montrant son approche de la gnose, questionnant le sens et les enjeux de la connaissance. Biographie[modifier | modifier le code] En 1945, Georges Soulès devient dès lors officiellement et définitivement Raymond Abellio[1]. Gnose
Jnana : connaissance d'ordre supérieur, métaphysique et intuitif Jnana or gnana or gnaan (Sanskrit; Pali: jñāna) is a Sanskrit word that means knowledge. It has various nuances of meaning depending on the context, and is used in a number of different Indian religions. The idea of jnana centers around a cognitive event which is recognized when experienced.[1] It is knowledge inseparable from the total experience of reality, especially a total reality,[1] or supreme being within Mahesha-dhama (and/or material world) such as Siva-Sakti.[2] Absence of jnana (knowledge, gnosticism) is known as ajnana (see: agnosticism): Famous mantra in this relationship says: "Om ajnana timirandhasya..." (I was born in ajnana, agnosticism, but my spiritual master opened my eyes with fire of transcendental knowledge, jnana). In Buddhist philosophy[edit] In Tibetan Buddhism, it refers to pure awareness that is free of conceptual encumbrances, and is contrasted with vijnana, which is a moment of 'divided knowing'. In Vedic philosophy[edit] Sahu explains: See also[edit]
Kundakunda : s’émanciper des chaînes - ZONE CRITIQUE Posted by Eloïse in't Groen on mercredi, novembre 10, 2021 · Leave a Comment Alors que la fête de la lumière Dīpāvalī était célébrée par les jaïna il y a quelque jours, nous revenons sur l’oeuvre de Kundakunda, éditée cette année dans la collection “Rivages poche” par Payot, tant son influence résonne encore non seulement chez ses adeptes mais également dans la philosophie contemporaine occidentale. Réformatrice de la pratique religieuse, la conception de « l’absolu » kundakundienne ne manque pas de poser des enjeux didactiques bien actuels, en ce qu’elle interroge la transmission du savoir et participe d’une conception éducative de la philosophie. Kundakunda est un penseur majeur de l’Inde appartenant à l’école Digambara, branche du Jaïnisme, religion qui prône la fin des cycles de transmigrations de l’âme afin d’atteindre un état d’illumination. Le Soi éveillé : naissance d’un dualisme Transcendance et omniscience dans l’immanence Une traduction délicate Imprimer cet article Commentaires
Ikigai Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ikigai (生き甲斐) est l'équivalent japonais en français de "la joie de vivre" et "raison d'être". Bien que les significations soient identiques, les attitudes culturelles envers le concept sont différentes. Peu possèdent une raison d'être, mais ceux qui passent leur vie avec une passion pour quelque chose, peuvent être consumés par elle au détriment des rapports sociaux et d'un style de vie « normal ». Ainsi, il y a un aspect désirable et indésirable à avoir une raison d'être. Chacun, selon les Japonais, a un ikigai caché. (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Ikigai » (voir la liste des auteurs) Portail du Japon
Périchorèse La périchorèse (du grec: περιχώρησις perikhōrēsis, « rotation ») décrit la relation entre chaque personne du Dieu trinitaire (Père, Fils et Saint-Esprit). Ce terme désigne ce qui unit les Trois Personnes de la Trinité c’est-à-dire l’union consubstantielle (inséparable) dans un mouvement incessant d’amour par lequel le Père engendre le Fils dans l’Esprit[1]. Le mot latin circumincessio (plus tard circuminsessio) est utilisé pour désigner la même notion. Le terme, tel qu'il est utilisé dans la théologie chrétienne, a d'abord été employé par les Pères de l'Église. Il a été repris par des personnalités contemporaines telles que Jürgen Moltmann, Miroslav Volf, John Zizioulas, C. Baxter Kruger et d'autres. Les auteurs modernes utilisent le terme de périchorèse comme une analogie pour décrire d'autres relations interpersonnelles. Étymologie[modifier | modifier le code] Utilisation[modifier | modifier le code] Ensemble, ils spirent l'Esprit Saint. Trinitarisme social[modifier | modifier le code]
Maya ; l'illusion de la dualité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Māyā (devanāgarī: माया)[1] est un terme sanskrit qui a plusieurs sens dans les religions indiennes. Māyā est la déité principale qui crée, perpétue et régit l'illusion de la dualité dans l'univers phénoménal. Māyā a les sens suivants dans l'hindouisme : "1) faculté de mesurer, géométrie ; 2) sagesse éternelle, éternel pouvoir du Brahman (chez Shri Aurobindo) ; 3) puissance cosmique grâce à laquelle l'univers se manifeste et s'organise ; 4) Illusion cosmique qui conduit l'homme à prendre le phénomène pour le noumène ; 5) puissance d'illusion du Seigneur ; 6) Prakriti inférieure (selon shrî Aurobindo) ; la Nature (selon Râmana Maharshi) ; le monde (selon shrî Rāmakrishna) ; 7) pouvoir mystérieux par lequel un Dieu manifeste sa souveraineté ; 8) la Mère divine (selon shrî Aurobindo) ; 9) puissance d'illusion (selon swâmî Ramdas) ; 10) apparence ; 11) magie"[2]. Le nirvāna lui-même, est semblable à une illusion magique (māyā), à un rêve.