Barnbrook Nicholas Felton index Graphisme relationnel — Sylvain Aubry Ce projet de graphisme relationnel propose au public de vivre une expérience collective autour de la création graphique. Chaque participant agit au sein d’un dispositif qui lui permet de s’intégrer au processus créatif d’une affiche générative manuelle et collaborative. Le public est incité à manier des outils graphiques (pochoirs typographiques, pochoirs de formes, grilles de compositions) conçues pour être facile à prendre en main tout en permettant de comprendre certaines problématiques de la composition graphique. Chaque participant est appelé à agir dans un laps de temps défini avec des outils également prédéfinis ce qui permet d’établir un niveau d’égalité en terme de possibilités d’actions entre les différentes membres du public devenus acteurs. Ce dispositif permet ainsi d’apporter un aspect pédagogique singulier de par la forme ouverte, participative et évolutive de l’expérience et de la production qui en résulte.
Tom Bücher - graphic design Esthétique relationnelle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L‘esthétique relationnelle ou art relationnel est un mouvement ou une théorie de l'art contemporain, originellement défini par le critique français Nicolas Bourriaud en 1995. Ce dernier a défini cette approche comme « théorie esthétique consistant à juger les œuvres d'art en fonction des relations interhumaines qu'elles figurent, produisent ou suscitent[1]. » Définition[modifier | modifier le code] L‘esthétique relationnelle ou art relationnel se réfère à un ensemble de pratiques artistiques contemporaines dont l'essence repose sur la question très vaste de la relation. Ce concept se distingue de l'esthétique relationnelle, bien que dans l'usage il y ait une confusion entre les deux concepts. L’esthétique relationnelle telle que la conçoit Nicolas Bourriaud pourrait être résumée par cette phrase de son essai : « L’art est un état de rencontre ». Quelques exemples d’œuvres[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code]
Graphisme d’utilité publique à Manchester — M-Four La cité de Manchester [parfois connu sous le nom de Madchester] est connu pour être le grand rival de Liverpool [sans oublier Londres] pour des nouvelles tendances en musique. Comme, par exemple, Joy Division/New Order, Happy Mondays, Stone Roses… C’est aussi le lieu où le designer Peter Saville a fait ses premières armes de graphisme. M-Four est une agence/studio de graphisme, mais au sein de la municipalité de la Cité de Manchester. Et ils produisent du travail d’étonnement bonne qualité. Vous pouvez lire l’article en entier à Creative Review, mais voici quelques extraits notables… Sur la campagne de rappeler aux jeunes de se protéger lors des rapports sexuels [affiches en illustration de cet article] : “M-Four ne voulait pas sermonner les jeunes. Ce qui je trouve intéressant car, très souvent, les annonceurs institutionnels veulent que leurs campagnes soient signées afin que la population [contribuables, électeurs…] puisse voir ce qu’on fait avec leur argent.
deValence SuperTerrain Tout va bien Saul Bass Designer Saul Bass Saul Bass (May 8, 1920 — April 25, 1996) was a graphic designer and filmmaker, perhaps best known for his design of film posters and title sequences. During his 40-year career Bass worked for some of Hollywood’s greatest filmmakers, including Alfred Hitchcock, Stanley Kubrick, Otto Preminger, Billy Wilder, and Martin Scorsese. He became well-known in the film industry after creating the title sequence for Otto Preminger’s The Man with the Golden Arm in 1955. Bass also designed some of the most iconic corporate logos in North America, including the original AT&T “bell” logo in 1969, as well as their later “globe” logo in 1983. In 1955, Elaine Makatura came to work with Saul Bass and after the opening title sequence to Spartacus in 1960, which Elaine co-directed and produced, the two were married. From the mid-60s to the late 1980s, Saul and Elaine moved away from main titles to focus on filmmaking and their children. Articles
Władysław Pluta L'exposition L’Évidence Du Signe: Affiches, Livres & Identités, présentée du 2 décembre 2014 au 31 janvier 2015 à la Petite Galerie du Bel Ordinaire à Pau, retrace le parcours d’un designer d’exception au travail minimaliste, véritable quête simultanée de réduction des moyens visuels d’expression et d’efficacité du sens. Władysław Pluta (1949), designer graphique et enseignant du Département Design Industriel de l’Académie des Beaux-Arts de Cracovie, a su développer une écriture qui lui est propre basée sur un usage exclusif de la typographie, à la fois clairement ancrée dans le modernisme et capable de se renouveler à travers chaque contexte de projet, et ce, aux antipodes de l’image communément admise de «l’École Polonaise». Le signe typographique, trop souvent utilisé comme une image gratuite dans une fascination formelle stérile, devient dans la méthodologie de travail de Władysław Pluta une solution faisant sens et appel à l’intelligence de chacun.
Karel Martens « Il experimente la superposition et les jeux de transparence de couleurs, à l’affut de combinaisons inattendues. Encres fluorescentes et vieux papiers jaunis fusionnent dans d’élégantes textures. Et de cette union émane une étonnante beauté. Tout en s’amusant, Martens développe une nouvelle forme de sensibilité. » (cit. étapes no.184) « Le graphiste néerlandais Karel Martens occupe une place essentielle dans le paysage du graphisme, de l’art et du design d’aujourd’hui. Ses contributions au graphisme incluent des timbres et des cartes téléphoniques, des revues et des livres, mais également de la signalétique et des interventions spécifiques dans des bâtiments. Parmi ses nombreuses distinctions: le prix H.N. Plus de ressources surKarel Martens: … … … … …