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L'affaire du "pourrisseur du web". Points de vue critiques

L'affaire du "pourrisseur du web". Points de vue critiques
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Projet Tic'Ethique Par Sophie Nagot (collège Albert Camus, Ris-Orangis (91)) le 06 avril 2012, 14:38 Cette année la classe de 5°5 travaille sur les réseaux sociaux, les messageries, les blogs... Mais la question à se poser est: NON! La Nétiquette: Ce sont les règles habituelles qui doivent s'appliquer sur Internet, par exemple quand on écrit un courrier je dois employer des formules de politesses comme "Bonjour", "Au revoir" et "Merci". Ce que j'écris en lettres capitales a une importance spéciale. Les messageries instantanées, les réseaux sociaux, les forums, les blogs sont des sites à prendre au sérieux. Je peux parler de mes goûts, de mes activités... mais je ne dois pas donner mon numéro de téléphone, mon adresse ou mon nom. Derrière l'ordinateur ne se cachent pas toujours vos amis mais des personnes qui ont volé leur identité ou des personnes mal intentionnées. Écrire sur des réseaux sociaux aide à créer des liens et à avoir des amis. Christelle, Sophie et Calypso.

Je suis prof et je ne veux pas pourrir Je reviens à mon tour sur l’article d’un professeur de lettres qui a fait le buzz cette semaine : “Comment j’ai pourri le web”, pour lequel on trouve sur ce topic de Marie-Anne Paveau un certain nombre, déjà, de réponses. J’avais pensé écrire ma réaction sur mon blog drmlj mais j’ai trouvé plus intéressant de faire cela ici, comme pour donner une dimension vraiment professionnelle à ma tentative de réponse. ces fleurs sont des digitales, bien sûr On aurait aimé que “l’expérience pédagogique” (sic !) Je ne me reconnais pas dans cette figure de professeur. Mais revenons à ce qui justifie la présence de ce billet ici, dans ce carnet qui cherche à examiner ce que le numérique apporte de profitable à mes élèves. Màj à 19h17 : lu cet article sur le blog aux bords des mondes : ici :-) Imprimer ce billet Mots clefs : Lecture, numérique Posté dans : Actualités / News

Pourquoi (et comment) utiliser le document de collecte m'a permis d'abandonner la méthode de recherche par étapes Je parle du document de collecte dans mes différents billets mais je réalise que depuis le jour où j'ai décidé (grâce à l'enthousiasme d'une collègue d'Histoire-Géographie) de l'introduire dans mes séquences, je n'en ai pas vraiment fait de bilan. Pourtant, depuis ce jour, je ne l'ai plus lâché. Le document de collecte est devenu mon compagnon fidèle, celui de certains de mes collègues (même partis enseigner ailleurs, au lycée, où semble-t-il il séduit beaucoup) et celui de mes élèves. Je ne l'utilise qu'associé à la carte mentale de réorganisation des idées. Il pourrait être construit autrement, sous forme de tableau par exemple pour comparer des informations issues de différents sites comme le font certains collègues de Bretagne. Le document de collecte intervient dans lors de la première séance de recherche avec les élèves. Peut-être est-ce de la fainéantise ? Je demande donc aux élèves de construire des documents de collecte sur des sujets dont ils ne savent rien, ou presque rien.

Les conseils Par le biais des navigateurs, des informations sur vous peuvent être récupérées sans que vous ne vous en rendiez compte (voire la rubrique « Données et tracking »). Afin de protéger vos données, et donc votre vie privée, il est important de bien paramétrer vos navigateurs. : supprimer régulièrelment l'historiqu et les cookies, indiquer aux sites qu'on refuse d'être pisté, et éventuellement utiliser le mode navigation privée et un bloqueur de publicités. Sur Mozilla Firefox : Ouvrir le menu puis cliquer sur Historique et sur effacer l’historique récent Sélectionner l’intervalle à effacer, vérifier que toutes les cases sont cochées puis cliquer sur « effacer maintenant » Sur Google Chrome Aller dans le menu sur « History » ou Historique puis cliquer sur « Clear browsing data » ou effacer les données du navigateur Sur Internet Explorer Aller dans les réglages et cliquer sur « Options Internet » et cocher la case « supprimer l’historique de navigation à la fermeture du navigateur »

Notes sur la socialisation des profs Voici un billet que je voulais écrire depuis longtemps et que je n'ai cessé de repousser à chaque fois que j'en ai eu l'occasion... par paresse, manque de temps ou par pudeur - vous verrez pourquoi. Le succès, que certains appellent "buzz", , me pousse, sinon à boucler toutes les idées, au moins à dire deux mots de ce sujet : la socialisation professionnelle des enseignants. Une socialisation qui, pour un groupe qui se sent menacé par Internet, emprunte de plus en plus cette voie. L’école soumet les élèves à des injonctions contradictoires : pensez par vous-même, répétez ce qu’on dit. Jamais les thèses de Bourdieu, honni de certains profs qui ne l'ont pas lu, ne m'auront jamais semblé plus pertinentes : ce que l'on entend juger chez un élève, ce n'est pas l'acquisition simple de savoir qu'un rapport au savoir, rapport de gratuité, rapport d'évidence, rapport de facilité. Bref. Ce texte n'est pas le seul. J'ai parlé plus haut de "montée en généralité" : c'est le mot clef.

Evaluation de l'information sur Internet Ce support de formation a été élaboré par Alexandre Serres, co-responsable de l'URFIST de Rennes, en vue d'un stage de l'URFIST. Objectifs du stage et du support : Il vise deux objectifs, réflexif et pratique : - pointer quelques uns des enjeux de l'évaluation de l'information à l'heure du "déluge informationnel" et essayer de cerner les questions, théoriques et méthodologiques, liées à cette problématique ; - proposer une démarche en deux étapes et recenser les critères d'évaluation et les questionnements nécessaires à une validation de l'information sur Internet. Publics visés : Ce support de formation vise prioritairement les professionnels de l'information (bibliothécaires, documentalistes) et les enseignants, impliqués dans la formation des usagers. - connaissance et pratique d'Internet - connaissance de la recherche d'information sur Internet : outils, méthodologies Ce support est référencé sur :

Formation à l’évaluation de l’information trouvée sur internet. Les travaux de nos élèves sont de plus en plus souvent élaborés à partir des informations issues de documents trouvés sur Internet. On peut toujours le déplorer ou former des voeux pieux, mais ce constat doit nécessairement aboutir à une formation systématique de nos élèves à l’analyse des sources d’information sur le web et à leur apporter les outils utiles à leur validation. Pour nous, enseignants, ce comportement critique vis à vis des informations est résumé sur la page du site canadien Réseau Education MediaLes 6 questions du cyberespace Autre ressource, un diaporama en .pdf résumant les points essentiels pour une critique rationnelle des sites que l’on consulte. [Source : Commission français et informatique] Eléments de réflexion Comment acquérir de bons réflexes lorsqu’on navigue sur Internet ? Mise en place et progression de la formation Des suggestions : Alterner séances encadrées et recherches en autonomie avec fiche-guide de repérage sur un site. Le décryptage d’une adresse URL

Éduquons à l’esprit critique, pas au mépris du travail des autres Un professeur se vante d’avoir trompé ses élèves en leur fournissant de mauvaises informations sur internet… reprises ensuite par ces derniers. Je ne voulais pas réagir (d’autant que certains l’ont très bien fait) mais plusieurs amis m’ont demandé ce que j’en pensais : voici donc un court billet sur la question. Le sujet me touche d’autant plus que je suis issu de ce milieu de profs, que j’estime beaucoup pour sa curiosité, ses connaissances, son ouverture, son désintéressement. Je suis donc chagriné de constater un tel comportement, bien loin des valeurs de ce milieu. Non, cela ne m’amuse pas. Et cela me semble même indiquer de gros problèmes à divers niveaux de notre société. *Des profs obligés de prouver qu’ils sont plus compétents que leurs propres élèves ? La première réaction est d’être extrêmement surpris qu’un prof soit obligé de faire appel à de tels guet-appens… Soit les élèves repompent des sites de manière évidente et point n’est besoin de leur tendre des pièges. Like this:

Exercer son jugement critique sur Internet (partie 1) Patrick Giroux, publié le 28 mars 2011 Un dossier conjoint de l’Infobourg et de Carrefour éducation Des chercheurs de l’Université du Québec à Chicoutimi s’intéressent actuellement à l’exercice de la pensée critique lorsque l’on navigue sur Internet. Introduction L’utilisation d’Internet pour les loisirs et les études est de plus en plus généralisée chez les jeunes. Voilà ce qui a motivé les professeurs Patrick Giroux et Mathieu Gagnon, en collaboration avec leurs étudiantes Stéphanie Lessard et Josiane Cornut, de l’Université du Québec à Chicoutimi, à réaliser une recherche sur les compétences critiques de futurs enseignants. Pour lire la suite : Internet dans la vie des jeunes Mettre sa pensée critique en pratique Pour être un chercheur critique : 1. Pour en savoir plus :

Les enfants et Internet : la règle du 3-6-9-12 ? Vidéo de Serge Tisseron. Les écrans sont partout dans les familles et les enfants sont confrontés de plus en plus tôt et partout aux images numériques. La télévision est elle bénéfique aux tout petits ? La question centrale est celle de l’âge à partir duquel les bienfaits sont reconnus pour un développement harmonieux. Serge TISSERON, docteur en psychologie, psychiatre et psychanalyste, directeur de recherches à l’Université Paris X, dans la conférence qu’il a donnée à Talence aborde ces questions et plus particulièrement celle de l’entrée sur Internet et les réseaux sociaux. Pas d’écran avant 3 ans ; « Le temps passé par les bébés devant la télé, y compris les programmes des chaînes qui leur sont spécialement dédiées, les éloigne en effet de la seule activité vraiment utile à leur âge : interagir spontanément avec leur environnement grâce à leurs 5 sens.

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