Réseaux sociaux : comment renforcer l'engagement ? | Saisines en cours | Travaux du CESE Les réseaux sociaux structurent de plus en plus notre vie, le lien social et amical, la vie économique et les relations professionnelles. L’émergence de ces outils de communication gratuits, rapides, interactifs, simples et efficaces qui ciblent en temps réel le plus grand nombre transforme les relations traditionnelles au sein de nos sociétés. Le web social est un lieu de socialisation qui peut créer de nouveaux liens sociaux, où les communautés numériques se structurent en espace de coopération et de collaboration. Le projet d'avis s'interrogera sur les conditions à créer pour favoriser dans ces réseaux le renforcement des liens sociaux, la cohésion sociale, la démocratie et la citoyenneté. Comment insérer positivement ces réseaux dans le débat public, voire la décision collective ?
Ma cité s’organise. Community organizing et mobilisations dans les quartiers populaires « Depuis la mort de Zyed et Bouna, rien n’a changé. Il y a toujours autant de brutalités policières, de violences institutionnelles, de racisme structurel qui touchent les habitants des quartiers populaires et les descendants de l’immigration. Plus que jamais il appartient à la société civile de s’organiser, de taper du poing sur la table pour obtenir la dignité, le respect de ses droits et la justice qui s’impose »[1]. Le 31 octobre 2015, une dizaine de milliers de militant-e-s des quartiers populaires défilaient dans les rues de Paris au nom de la dignité, de la justice, de l’égalité et contre le racisme. Pourquoi cette nouvelle génération politique s’est-elle davantage nourrie de la lutte pour les droits civiques, des actions de Malcom X ou de Saul Alinsky – un des inventeurs du community organizing – que des écrits de Marx ou de Trotsky ? [1] [1] S. [2] [2] O. [3] [3] « Ma cité a craqué », Mouvements, 2015/3. [4] [4] C. [5] [5] Voir A. [6] [6] S.
NPDC _ Forum Démocratie participative - citoyenneté 2011 Quelle vision de la démocratie participative porte la Région ? Faire de la démocratie participative : pour une meilleure action publique et plus de justice sociale La démocratie participative, c’est inviter des citoyens, des habitants, des usagers, non élus, en dehors des moments électoraux, à exprimer leurs avis et proposer leurs propres expertises, pour contribuer à enrichir et améliorer les décisions politiques portant sur des questions et sujets qui les concernent et aussi suivre la mise en œuvre de ces décisions. Pour une démocratie participative, vivante et efficace, il importe de renforcer les capacités de réfléchir et d’agir des personnes qui souhaitent participer et créer des espaces à cet effet. Pour une démocratie participative, juste et équitable, il convient de mobiliser et donner la parole à tous. C‘est cette vision de la démocratie participative que défend le Conseil régional et qu’il veut faire vivre au travers de la politique qu’il a adoptée en novembre 2011. Impliquez-vous
NPDC - 2ème Forum régional des acteurs de la Démocratie participative Vidéo En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies. En savoir plus Quelques références à creuser de l'empowerment La Fabrique des Futurs | — CivicTech et innovations démocratiques : un premier bilan Le 8 juin dernier, La 27e Région et Démocratie Ouverte tentaient un état des lieux des nouvelles expérimentations démocratiques. Intitulée “CivicTech et innovations démocratiques : un premier bilan”, cette rencontre a été accueillie par Superpublic, le premier tiers-lieu dédié à la transformation de l’action public. Une cartographie des innovations démocratiques Devant un public venu en nombre, Armel Le Coz a introduit le débat en proposant une tentative de cartographie de la nébuleuse des innovations démocratiques sous la forme d’un jeu de 7 familles. Pour chaque famille repérée par Armel, le(s) porteur(s) d’une initiative venaient nous raconter rapidement leurs projet afin d’illustrer plus concrètement cet état des lieux. Se sont donc succédés au fur et à mesure de la présentation d’Armel : (Armel Le Coz et Stig pour la famille des Civic Tech, source : @OrianneLedroit) Quand la recherche entre dans le débat… Réinterroger le rapport à la connaissance Faire collectif à l’ère numérique
Civic Tech : les innovations démocratiques en questions Faire se croiser chercheurs et nouvelles formes d’innovation démocratiques… Telle était l’ambition du débat organisé à Super Public, le 8 juin dernier à l’invitation du politiste Loïc Blondiaux (@loicblondiaux), qui signait récemment une tribune plutôt bienveillante à l’égard des « Civic Tech », ces solutions qui réinterrogent la démocratie par le levier de la technologie. Mais quelles sont-elles ces innovations ? De quelle nature sont-elles ? Que proposent-elles ? Image : photos de la soirée via le storify de la rencontre. Les 7 familles des Civic Techs A l’heure où la mairie de Paris envisage la création d’un CiviHall, d’un espace pour accueillir les différentes formes d’innovations démocratiques, il est nécessaire de mieux comprendre leur diversité. Pour Armel Le Coz, celles-ci se classent en 7 grandes familles. Les citoyens autonomes : agir d’abord ! La première famille est celle qu’il appelle « les citoyens autonomes ». Les formateurs : créer des citoyens critiques ? Les fédérateurs ?
Yves sintomer - Tirage au sort et démocratie délibérative Le tirage au sort semble revenir dans des expériences politiques après avoir été éclipsé pendant des siècles [1]. L’expérience islandaise est de ce point de vue emblématique. Après la crise économique de 2008 et la quasi-faillite du pays, la volonté de changer l’équipe gouvernementale et les règles du jeu politique s’exprime lors d’énormes manifestations de rue. Les élections anticipées d’avril 2009 portent au pouvoir une coalition entre les sociaux-démocrates et les Verts – le procès de l’ancien premier ministre a commencé en mars 2012. Cette expérience n’est que la pointe la plus avancée de centaines, voire de milliers d’autres où intervient la sélection aléatoire. Pourquoi le tirage au sort avait-il disparu dans les démocraties modernes après les révolutions du XVIIe siècle ? La disparition du tirage au sort dans les démocraties modernes Ces deux arguments sont importants mais ne peuvent à eux seuls épuiser l’explication. Des mini-publics délibératifs Une politique plus délibérative.
Démocratie : quand des grandes villes œuvrent à une transformation des pratiques Citoyenneté 27/09/2016par Aurélien Hélias Le 22 septembre 2016, sous les ors de l’hôtel de ville de Paris, France Urbaine réunissait ses adhérents pour sa 16e Conférence des villes. Au milieu des nombreux élus présents à la tribune pour s’exprimer sur la « démocratie citoyenne », thème de la deuxième des trois tables rondes, siège un seul universitaire, Loïc Blondiaux, professeur en sciences politiques à l’université Paris I Panthéon-Sorbonne. « Aujourd’hui, il y a autant de signes que nos démocraties ne vont pas bien que de signes qu’elles vont bien », débute-t-il. La multiplication et la sophistication des outils de la participation citoyenne — entre autres, les outils numériques de la Civic tech — [font] sauter des barrières physiques et techniques à la participation. » [Loïc Blondiaux] La démocratie à la croisée des chemins Au rang des mauvaises nouvelles : l’état de défiance record des citoyens à l’égard de leurs élus et de leur gouvernement. Appuyer la transition démocratique
Panels citoyens à Grenoble - Site de l'innovation dessinée ! Annexe 2 : Pistes bibliographiques pour 'aller plus loin' - Loïc Blondiaux, Le nouvel esprit de la démocratie. Actualité de la démocratie participative. Collection La République des Idées, Seuil, 2008, 110 p. L'auteur retrace l'histoire de la démocratie participative et des théories afférentes, ainsi que des critiques qui leur sont adressées. - Yves Sintomer, Petite histoire de l'expérimentation démocratique. Ouvrage qui offre un panorama historique et géographique de l'usage du tirage au sort à des fins démocratiques.
Des habitants s'investissent pour le village - 20/02/2017, Saint-Dyé-sur-Loire (41) En matière d'environnement, la Maison de la Loire de Saint-Dyé cherche à responsabiliser les habitants par rapport au cadre de vie du village. « Cette initiative s'inspire d'une expérimentation menée en région Centre de démarches participatives du citoyen notamment pour les communes de moins de 1.500 habitants », explique Julien Guillemart, directeur. L'association a donc souhaité organiser une première réunion : « J'espérais une dizaine de personnes, vingt-cinq étaient là ». Quel est donc l'objectif ? « Notre volonté est d'accompagner un groupe de citoyens dans la réalisation de projets en faveur de l'environnement et de l'amélioration du cadre de vie plus durable. » Pour cela, l'étape de l'échange et du partage est privilégiée.