Mythologie nordique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mythologie nordique est l'ensemble des mythes provenant d'Europe du Nord (plus particulièrement de la Scandinavie et de l'Islande) à la base du système religieux polythéiste pratiqué dans ces régions au haut Moyen Âge avant leur christianisation. Il s'agit d'une variante régionale et historique de la plus vaste mythologie germanique. Pendant des siècles, les mythes nordiques étaient transmis oralement, notamment par la poésie scaldique qui éleva la narration d'épopées mythologiques en une expression artistique. Longtemps oubliée, cette mythologie a été redécouverte dès le XVIIIe siècle avec le courant romantique en Europe. Sources[modifier | modifier le code] Cette mythologie reste relativement méconnue, notamment du fait de la fragilité des sources dont on dispose. Témoignages archéologiques[modifier | modifier le code] Textes mythologiques[modifier | modifier le code] Textes évhéméristes[modifier | modifier le code]
Cosmogonie nordique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La cosmogonie nordique est le système de la création du Monde, selon la mythologie nordique. Du néant originel aux premiers géants et aux premiers dieux[modifier | modifier le code] Tel est le commencement des temps qui nous est présenté dans la Völuspá. Le néant originel, Ginnungagap (vide béant en vieux norrois) est bordé au nord par Niflheim, monde du froid et de la glace, du brouillard et de l’obscurité, au sud par Muspellheim, domaine du feu et des flammes, de la chaleur et de la lumière. De la rencontre de la chaleur et du froid naquit également la vache Audhumla. Mais Audhumla ne joue pas seulement le rôle de « nourrice » d’Ymir. Quant à Ymir, il engendre durant son sommeil deux « enfants ». Buri eut, dans des conditions que l’on ignore, un fils nommé Burr ou Borr (ce qui signifie tout simplement « fils »). Le meurtre d'Ymir et la création de l'univers[modifier | modifier le code] Arriva ensuite le jour où Odin, Vé et Vili tuèrent Ymir.
Mythologie indienne En Inde, le culte de l’eau a deux origines principales qui sont liées, l’une comme l’autre, aux conditions de vie de la population . Tout d’abord, il y a l’énorme débit de Gange ; son fleuve immense, né dans l’Himalaya, va se jeter dans le golfe du Bengale après avoir fertilisé de vastes territoires. Et puis, l’Inde a toujours été largement dépendante de pluies (régime des moussons) et des inondations qui ont donné naissance à un mythe du déluge. Fleuve sacré, le Gange apparaît dans la plupart des récits mythologiques hindous. L’un deux raconte que le fleuve venait du ciel et qu’il était descendu sur la Terre pour la nettoyer et la purifier des cendres humaines que le vent y avait déposées. Quant au mythe du déluge, c’est également un thème fréquent de la mythologie indienne. Dans l’Inde brahmanique, Agni, comme dieu du feu, possède la foudre dans ses attributs. Dans l’hindouisme, après son sommeil sur le serpent cosmique, à la surface des eaux, Visnu crée la terre de par sa volonté.
Merveilleuses mythologies Pensée magique pour Lévi-Strauss, clé du passé pour Eliade, miroir magique pour Velikovsky, les mythologies sont pour nombre d’entre nous de merveilleux souvenirs d’enfance. D’où qu’elles viennent, quoi qu’elles content, les mythologies me fascinent et ça ne date pas d’hier. Derrière leur apparence fantaisiste, ou fantastique, ces chroniques improbables se ressemblent pourtant. Et si elles nous racontaient ce qui s’est vraiment passé ? Car elle montre l’inévitable arbitraire qui fait dire aux observateurs de notre passé « ceci est crédible, donc historique. Platon lui-même, qui n’était pas un rigolo, nous invite à la prudence. Eternels, ces récits résonnent au lointain écho d’un monde différent et si familier. C’est tout à fait l’opinion de Robert Charroux : « La mythologie est l’histoire métamorphosée par le temps et la mauvaise transmission d’évènements qui se sont déroulés à l’aube des civilisations. Ils sont le précieux testament des dieux d’avant.
Panthéon de la mythologie nordique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le panthéon de la mythologie nordique, souvent abrégé panthéon nordique, désigne l'ensemble des dieux (et, par extension, de toutes les créatures ne faisant pas partie du commun des mortels) de la mythologie nordique. Le Valhöll, la demeure d'Odin aux 640 portes, telle que représentée par Emil Doepler en 1905. Les dieux[modifier | modifier le code] Dans la mythologie nordique, on peut classer les dieux en deux groupes : les Ases, qui présentent de nombreux traits indo-européens, et les Vanes, leurs aînés. Ces derniers sont sans doute les dieux primordiaux d'une religion antérieure aux invasions indo-européennes. Dans la culture nordique, les Ases étaient plutôt priés par les aristocrates nordiques. Cette particularité de la religion nordique est un exemple intéressant d'intégration culturelle. Les Ases[modifier | modifier le code] Les noms en vieux norrois seront ajoutés ultérieurement. Ali est le fils de Loki et Sigyn. Andhrímnir Bertha Bil Bragi
les dieux de l'inde Brahma, Shiva, Vishnu, Durga, Kali, Ganesh, Hanuman, Saraswati, Lakshmi, Parvati, Ganga... Les Dieux hindou sont innombrables et il n'est pas toujours facile de reconnaître les différentes divinités... Mais avec un peu de curiosité et d'attention, on arrive à identifier les principaux dieux et déesses, et cela surprend toujours les Indiens qu'un occidental puisse les reconnaître !... 30 millions de Dieux Avec plus de 30 millions de Dieux, on pourrait croire qu'il est impossible de s'y retrouver... Les trois principaux Dieux sont Brahma, Vishnu et Shiva. Tous ces Dieux et Déesses émanent cependant de la même Entité Suprême… Iswara, Narayana, Brahman, Maha Shakti, Maheshwari, Parasakti, Devi, Shakti, la Déesse Mère, autant de noms différents pour un même concept de Créateur Suprême. Les principales divinités Les représentations des Divinités sont partout. Alors à force de les voir, on finit par les reconnaître... Galeries de portraits Les Divinités les plus vénérées sont partout présentes ...
Mythologie hindoue: Creation Selon la pensée indienne, plutôt q'un acte de création, l'origine du monde est un acte d'organisation du chaos en un ordre universel - un aspect sur lequel s'accordent aussi bien les mythes cosmogoniques que les canons théologiques. Les divers mythes d'origine comprennent une variétés de métaphores pittoresques, suggérées par toutes sortes d'activités humaines. Dans la littérature védique tardive en particulier, les images s'inspirent du sacrifice d'un animal. Ainsi un hymne dit-il que le premier sacrifice -celui de la création- fut accompli par Vishvakarman, "l'artisan de tout". Un autre affirme que l'objet du premier sacrifice fut Purusha, l'Homme cosmique primordial, dont les différentes parties du corps donnèrent naissance à toutes les entités de l'univers, des dieux védiques traditionnels à l'homme et aux animaux, en passant par l'Ether, le Ciel, la Terre. Toutefois, seul un quart de sa personne est ainsi manifesté, les trois autres quarts constituant l'immortalité, au paradis.
Jötunheim Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Loki volant avec le manteau Valshamr jusqu'à Jötunheim, où règne le géant Þrymr (illustration de 1871). Jötunheim (ou Jötunheimr ou Jötunheimar) est, dans la mythologie nordique, le territoire qu'Odin laissa aux géants de glace à la Création. Avec Utgard pour forteresse, c'est l'un des neuf mondes portés par l'arbre cosmique Yggdrasil. Selon F. Jötunheim, dont le géant Þrymr est le chef, est entouré d’un mur de feu. Étymologie[modifier | modifier le code] « Jötunheim » (v. isl. Références dans les textes[modifier | modifier le code] La Gylfaginning[modifier | modifier le code] Dans le chapitre 14, Snorri rapporte l'organisation du monde par les dieux, guidés par Odin. Les Skáldskaparmál[modifier | modifier le code] Quelques géants[modifier | modifier le code] Certains géant(e)s sont connu(e)s au travers d'histoires ou de mariages avec les Ases vivent aux Jötunheimar. Voir aussi[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code]
CROIRE : Définition de CROIRE CROIRE, verbe trans. I.−Emploi trans. dir. A.−Croire + compl. 1. a)[Le subst. désigne une pers.] − Croire qqn.Attacher une valeur de vérité, ajouter foi à ce que dit une personne; tenir quelqu'un pour sincère, pour véridique; estimer vraies ses paroles.Si nous devions croire Jean-Jacques (Guéhenno, Jean-Jacques,1948, p. 161): 1. ♦ Je vous/te crois; j'te crois (fam.). ♦ Croyez-moi, crois-moi. − Croire + subst. + attribut du compl. : croire qqn + qualité.Prêter à quelqu'un une qualité. b)[Le subst. désigne une chose]Croire qqc.Le tenir pour véritable.J'ai de la peine à croire cela (Ac.1835, 1878).Dieu vous l'avait donnée, Dieu vous l'a reprise (...). − Je n'aurais jamais cru ça de lui (A. − Faire croire qqc. à qqn.Persuader quelqu'un d'une chose (gén. inexacte ou fausse). − Expressions ♦ Croire quelque chose comme l'Évangile/comme parole d'Évangile/comme article de foi. ♦ Croire tout comme article de foi.Être très crédule. Rem. Rem. Rem. Rem. 2. ♦ Croyez-m'en, si vous m'en croyez. 2. Rem. 4. 3.