Internet, grandes surfaces, hard discount… Comment les Français font-ils leurs courses Les Français achètent-ils plutôt en ligne ou dans les grandes surfaces ? Ou préfèrent-ils les commerces de proximité ? Pour répondre à ces questions, l’Insee a dévoilé vendredi une étude sur les habitudes d’achats sur la décennie 2001-2011. L’institut national de la statistique précise ainsi que depuis 2001, les lieux d’achats privilégiés par les Français ont assez peu varié. "Il dépend des produits achetés mais également des caractéristiques des ménages, notamment de leur lieu de résidence et de leur niveau de vie", analyse l’Insee. Parmi les résultats à retenir : la nette augmentation en cinq ans des achats sur Internet pour les biens durables et culturels. 72% des dépenses alimentaires dans les grandes surfaces Les dépenses alimentaires restent quant à elles effectuées à 72% dans les grandes surfaces. Pour ce qui est de l’habillement, les Français se tournent encore massivement vers les magasins de vêtements. En vidéo sur le même thème - Achats sur Internet : quels sont les risques ?
La valeur perçue par le client devient stratégique Pour se développer durablement, les entreprises doivent optimiser en priorité leurs processus les plus efficients pour assurer le maximum de "valeur pour le client" et donc de "valeur pour l'entreprise". Le terme de valeur est à la mode. C'est presque devenu un mot valise que chacun utilise pour emporter avec lui toutes sortes de sens à l'abri d'un contenant élégant et prestigieux… Pour ma part, la définition la plus générale de ce concept me semble être la suivante : "Propriété qui caractérise ce qui est important pour quelqu'un, ce pour quoi il a de l'estime, ce qui a du sens pour lui". Que ce soit la théorie de la valeur ajoutée, celle de l'analyse de la valeur ou bien celle de la valorisation d'une entreprise, toutes ont finalement retenu une unité de mesure unique : un montant financier. Ainsi est née la confusion souvent observée entre valeur, coût et prix.
Infographie | L'expérience de marque va-t-elle remplacer la qualité produit ? Source : emakina.fr L'agence Emakina (1) a interrogé les consommateurs français sur leur expérience des marques. Deux tiers des Français ont récemment vécu une mauvaise expérience client et se fient à leur propre expérience de la marque pour se décider dans leur acte d'achat. L'agence a réalisé, avec l'institut Odoxa (2), un sondage sur les expériences de marques vécues par les consommateurs français. 66% des Français déclarent avoir récemment vécu au moins une mauvaise expérience client avec l'une d'entre elles. Pour Manuel Diaz, président de l'agence Emakina " Cette étude confirme le basculement fondamental qui va impacter profondément les marques, celui d'un changement de critère d'appréciation. L'étude confirme que l'expérience client est un enjeu central pour les marques, notamment : qu'une mauvaise expérience client a un impact direct sur les ventes et sur l'image de la marque.
untitled En France, les jeunes partagent-ils plus que les autres La liberté chez les jeunes il y a quelques années: le vélo Solex ! Source Les jeunes sont-ils les principaux adeptes de la consommation collaborative ? La consommation, collaborative Si vous n’avez jamais entendu parler de consommation collaborative, la petite vidéo suivante devrait vous éclairer : Le ton est donné. Ce que le jeune fait plus que les autres : le partage de produits Faisons le point. Les jeunes pratiquent un peu plus la location d’objets et l’achat mutualisé: « 20 % des 18-25 ans déclarent avoir acheté un produit à plusieurs pour en partager l’usage, alors que c’est le cas de 16 % des personnes de plus de 25 ans » détaille l’observatoire. Ce que le jeune fait moins que les autres En revanche, le jeune reste un consommateur pragmatique qui favorise sa consommation sur les impacts de son mode de consommation. Comme les autres catégories d’âge, les jeunes agissent se tournent vers la location, l’achat mutualisé ou l’achat d’occasion pour des raisons économiques.
Media Webtv ! Qu’est ce que la valeur perçue d’un produit ? Qu’est ce que la valeur perçue d’un produit ? Publie le 03 juin 2013 par admin Il ne vous a pas échappé que tout produit ou tout service a une valeur intrinsèque liée à son coût de fabrication et la marge souhaitée par l’entreprise. Mais est ce que ce sont ces seuls paramètres qui déterminent la valeur d’un produit ou d’un service ? Vous achetez des lunettes de soleil qui valent dans le commerce 100€. Lorsque vous voulez vendre un produit ou un service, veillez à ce que le produit ou le service ait une valeur bien supérieure à son propre coût réel. Vous proposez un DVD de formation de 2h de contenu. La valeur perçue est alors moindre et tout à fait acceptable. Le meilleur moyen d’illustrer cette notion de valeur perçue est la démonstration de Rory Sutherland, publicitaire de son état, il vous propose d’autres exemples très éloquents de valeur perçue.
Le neuromarketing, entre fantasmes publicitaires et réalités scientifiques - Les Echos Social CGT : Lepaon s’accroche à son poste EXCLUSIF + VIDEO Affaibli par les affaires, Thierry Lepaon aurait réussi à convaincre de grosses fédérations de le maintenir à son poste jusqu’au prochain... Aéronautique - Défense Retour sur terre réussi pour la capsule Orion + VIDEO La capsule Orion non-habitée de la NASA a amerri dans le Pacifique après un vol expérimental en orbite terrestre. Banque - Assurances Règlements de compte au sein du Crédit Agricole Jean-Marie Sander, le président de Crédit Agricole SA, n’a pas été réélu au conseil de la SAS La Boétie.
Etude d'image et étude de notoriété - Marketing Méditerranée L’étude de notoriété vise à savoir si la marque ou l’entreprise est connue, qui la connaît et doit permettre de quantifier cette connaissance. L’objectif principal est de mesurer l’efficacité de la politique de communication et des actions menées pour améliorer la visibilité de l’entreprise. On vérifie également si la marque est spontanément citée, à quoi elle est immédiatement associée ou si tous les produits et services sont connus. L’étude d’image permet de définir ce que les individus pensent d’une marque ou d’une entreprise. L’objectif principal est de déterminer la manière dont la marque est perçue. L’étude de notoriété s’appuie donc toujours sur une étude quantitative grâce à laquelle on mesure la proportion de personnes connaissant la marque. A l’inverse, pour une étude d’image, on utilise en priorité une méthode qualitative, qui peut être ensuite complétée par une phase quantitative. L’étude de notoriété ou d’image vous permettra de :
CV de R. Ladwein Mes activités de recherche ont été initialement centrées sur la marque. Plusieurs travaux se sont concentrés sur les problématiques de l’extension de marque et sur la personnalité de la marque. Ces travaux ont conduit à valoriser des concepts issus de la psychologie cognitive, plus particulièrement l’intérêt du jugement de typicalité et des catégories cognitives dans l’évaluation de la marque ou de l’extension de marque. Ces travaux ont permis de mettre en évidence que plus un produit est jugé typique de la marque et plus la marque est jugée typique de la catégorie de produits et plus l’extension de marque est jugée favorablement. Ces travaux ont ouvert un champ plus large, celui de l’accessibilité cognitive et comportementale de l’offre. Mon troisième axe de recherche est centré sur les mécanismes par lesquels les consommateurs créent de la valeur à partir de leurs expériences de consommation.
Le besoin du client naît toujours d'une insatisfaction ! Il faut créer le besoin du client ! Combien de fois ai-je entendu cette phrase fourre-tout de la part de commerciaux ou de formateur en techniques de vente ? Qui peut se prévaloir d'avoir créé un besoin qui n'existait pas ? Il convient déjà de rassurer les commerciaux, un besoin ne se crée pas, il se révèle. En fait le besoin client nait toujours d'une insatisfaction ! L'insatisfaction croissante d'un client se nourrit d'éléments aussi subtils que la perte de temps, que la complexité d'un service ou d'une démarche, de l'exaspération liée, d'un niveau de qualité insuffisante, bref elle nait de situations jugées imparfaites par nos clients. Le meilleur moyen connu de chasser les insatisfactions des clients et prospects est d'être au contact d'eux le plus possible et cela de différentes façons : visite, invitation, co-construction de nos offres de services, questionnement, enquête mystère, stratégie d'alliance... Bio
Marketing, consommation et comportement du consommateur Pouvoir et résistance du consommateur - le boycott by Sabine Pfeifer on Prezi Nouvelle consommation Un article de Encyclo-ecolo.com. La nouvelle consommation La nouvelle consommation Les Nouveaux visages de la consommation moderne sont multiples et de nombreuses appellations apparaissent : que sont tous ces nouveaux termes ? couchsurfing, greeters, wwoofing, locavore, slugging, ecohabitat, slow food cradle to crade, flawsome, eco-cycology, recommerce: le consommateur moderne est un innovateur né qui surfe sur les innovations technologiques mais aussi sur un rejet des valeurs classiques de la consommation de masse (rejet du gaspillage, solidarité, sobriété, ... : les valeurs changent) 53 % des Français sont d’ores et déjà, selon des modalités variables, significativement engagés dans ces pratiques de consommation émergentes en 2012. 48% des Français ne sacrifient pas les marques auxquelles ils tiennent au quotidien. Sur la Nouvelle consommation, voire les articles suivants : > Le tour du monde de la consommation collaborative Une consommation non statutaire non propriétaire Les digital mums
Consommer sans limite, une nouvelle attente des clients 79 € par mois pour consommer le TGV comme un forfait de téléphone illimité Netflix pour les séries, la carte UGC pour le cinéma, Deezer, Spotify et bien d’autres pour la musique, des forfaits illimités pour la téléphonie mobile et les box Internet… Une nouvelle culture a émergé dans les modes de consommation : l’abonnement pour un usage illimité. Ces derniers mois, les offres se sont multipliées, gagnant de nouveaux secteurs. L’enjeu pour la SNCF : reconquérir les jeunes qui se détournent du train au profit du covoiturage et des bus longues distances, des alternatives moins chères. « Les études qualitatives ont convaincu la direction de la SNCF que les jeunes veulent pouvoir ‘consommer’ du train comme ils le font avec leur téléphone portable ou leur carte de cinéma : en illimité », écrivent Les Échos. Plus d’infos : Les Échos Challenges 89 $ par mois pour partager un Uber à volonté à Manhattan Depuis 2015, New York compte plus de voitures Uber que de taxis jaunes. Uber New York Time Out